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2751 né possiblement autour du 20 août Boucher François (I4931)
 
2752 Né à Montréal, le 9 août 1930, fils de Gérard Parizeau, courtier d'assurance, et de Germaine Biron.

Étudia au Collège Stanislas, à l'École des hautes études commerciales (HEC), à l'Institut d'études politiques et à la Faculté de droit à Paris. Titulaire d'un doctorat en économie de la London School of Economics.

Professeur aux HEC de 1955 à 1976 et directeur de l'Institut d'économie appliquée de cette école de 1973 à 1975. Consultant pour plusieurs ministères à Québec, puis conseiller économique et financier du premier ministre et du Conseil des ministres de 1961 à 1969. Président du comité d'étude sur les institutions financières de 1966 à 1969.

Membre des conseils d'administration de la Société générale de financement, de la Caisse de dépôt et placement, de la Société d'exploitation minière et de la Régie de l'assurance-dépôts de leur création jusqu'en 1969.

Dans le domaine journalistique, fut directeur de la revue L'Actualité économique de 1955 à 1961, chroniqueur de l'hebdomadaire Québec-Presse de 1969 à 1974, puis président du conseil d'administration et éditorialiste du journal Le Jour en 1974 et en 1975. Collabora à plusieurs revues et ouvrages dans le domaine économique au Québec, au Canada, en France et aux États-Unis.

Président du conseil exécutif du Parti québécois de 1970 à 1973. Candidat de ce parti défait dans Ahuntsic en 1970 et dans Crémazie en 1973. Élu dans L'Assomption en 1976. Réélu en 1981. Ministre des Finances dans le cabinet Lévesque du 26 novembre 1976 au 22 novembre 1984. Président du Conseil du trésor de 1976 à 1981. Ministre du Revenu du 26 novembre 1976 au 21 septembre 1979. Ministre des Institutions financières et Coopératives du 30 avril 1981 au 9 septembre 1982. Démissionna du cabinet le 22 novembre 1984 et comme député le 27 novembre 1984.

De nouveau professeur aux HEC de 1985 à 1989. Président de la Commission d'étude sur les municipalités créée par l'Union des municipalités du Québec en 1985 et en 1986. Chroniqueur invité au Ottawa Citizen en 1987.

Élu chef du Parti québécois le 19 mars 1988. Élu dans L'Assomption en 1989. Réélu en 1994. Chef de l'opposition officielle du 28 novembre 1989 au 24 juillet 1994. Président du comité du Non lors du référendum de 1992. Premier ministre et président du Conseil exécutif du 26 septembre 1994 au 29 janvier 1996. Ministre de la Culture et des Communications du 30 janvier au 3 août 1995. Annonça son intention de démissionner comme député et premier ministre le 31 octobre 1995. Démissionna le 29 janvier 1996.

Chroniqueur invité au Journal de Montréal en 2014.

Récipiendaire du prix Louis-Joseph-Papineau remis par le Rassemblement pour un pays souverain le 22 mai 2006. Décoré de l'Ordre national du Québec le 19 juin 2008. Reçut un doctorat honorifique de l'Université de Montréal en octobre 2014.

Publia notamment Pour un Québec souverain en 1997, Le Québec et la mondialisation : une bouteille à la mer? en 1998 et La souveraineté du Québec hier, aujourd'hui et demain en 2009.

Décédé le 1er juin 2015 à l'âge de 84 ans et 9 mois.

Avait épousé à Montréal, le 2 avril 1956, Alicya Poznanski, fille de Stanislas Poznanski, industriel, et de Bronislawa Ostrowska; puis à Sainte-Agathe-des-Monts, le 12 décembre 1992, Lisette Lapointe, fille de Philippe Lapointe, enseignant et cadre scolaire, et de Laurette Picard, enseignante.

Arrière-petit-fils de Damase Parizeau.

Date de mise à jour de la biographie : Juin 2015 (Assnat) 
Parizeau Jacques (I11603)
 
2753 At least one living or private individual is linked to this note - Details withheld. Masson A. (I820)
 
2754 At least one living or private individual is linked to this note - Details withheld. Masson J. (I821)
 
2755 Né en février 1949 à Québec, au Canada. Études primaires et secondaires à Québec et à Saint-Jean-sur-Richelieu, au Québec, ainsi qu'à Londres, en Angleterre. Baccalauréat en génie physique au Collège militaire royal de Kingston, en 1970, et doctorat en génie électrique à l'Imperial College of Science and Technology à Londres, en Angleterre, en 1973. Au cours des années 1982 et 1983, M. Garneau fréquente le Collège d'état-major et de commandement des Forces canadiennes à Toronto.

De 1974 à 1976, Marc Garneau assume les fonctions d'ingénieur des systèmes de combat sur le Navire canadien de Sa Majesté Algonquin, puis devient instructeur des systèmes d'armes navales à l'École de la flotte des Forces canadiennes à Halifax de 1976 à 1977. Au cours de cette période, il conçoit un simulateur permettant aux officiers préposés aux armes de s'entraîner à l'utilisation de missiles à bord de contre-torpilleurs de la classe Tribal. De 1977 à 1980, il est ingénieur de projets pour les systèmes d'armes navales à Ottawa. Il retourne ensuite à l'Unité de génie naval d'Halifax, qui est chargée d'effectuer les essais et les ajustements nécessaires sur les équipements de bord des navires. Pendant son séjour, il collabore à la mise au point d'une cible remorquée par avion servant à évaluer la précision du tir de l'artillerie navale. Il est étudiant au Collège d'état-major lorsqu'il est promu au grade de commandant en 1982. L'année suivante, il est muté à Ottawa, où il devient responsable de la conception d'équipements et de systèmes électroniques de guerre et de communications navales. En janvier 1986, il est promu au grade de capitaine, et il se retire de la Marine canadienne en 1989.

Il fait partie du groupe des six astronautes canadiens choisis au mois de décembre 1983. En 1984, il est détaché par le ministère de la Défense nationale pour suivre son entraînement d'astronaute dans le cadre du Programme des astronautes canadiens. Il devient le premier astronaute canadien à aller dans l'espace, en octobre 1984, lors de la mission STS-41G durant laquelle il assume les fonctions de spécialiste de charges utiles. Nommé directeur adjoint du Programme des astronautes canadiens en 1989, il assure un soutien technique lors de la préparation d'expériences à exécuter en vol au cours de missions canadiennes subséquentes. En juillet 1992, il est choisi pour suivre l'entraînement de spécialiste de mission à la NASA.


Marc Garneau arrive au Centre spatial Johnson en août 1992. Il y complète sa première année d'entraînement comme spécialiste de mission et se qualifie alors pour une affectation de mission. M. Garneau participe à divers projets techniques au sein du groupe de travail en intégration robotique du Bureau des astronautes. Il occupe également les fonctions de CAPCOM (responsable des communications entre l'équipage de la navette et le personnel du Centre de contrôle de mission de la NASA) durant les vols de navettes spatiales. Vétéran de trois missions spatiales (STS-41G en 1984, STS-77 en 1996 et STS-97 en 2000), Marc Garneau cumule plus de 677 heures de vol dans l'espace. En février 2001, il est nommé premier vice-président de l'Agence spatiale canadienne, puis il en devient officiellement le président le 22 novembre 2001. Il quitte l'Agence spatiale canadienne le 28 novembre 2005 afin de se présenter comme candidat aux élections fédérales.

M. Garneau est membre honoraire de l'Institut aéronautique et spatial du Canada. Il est également membre de l'Association of Professional Engineers of Nova Scotia et de la Ligue navale du Canada. Il est nommé membre honoraire de la Canadian Society of Aviation Medicine en 1988 et membre de la International Academy of Astronautics en 2002. Il est le président d'honneur national de l'organisme Vols d'espoir et du projet North Star, et le président du Conseil de l'Orchestre de chambre McGill.

Il a été promu Compagnon de l'Ordre du Canada en 2003, ayant été nommé Officier en 1984. Il devient chancelier de l'Université Carleton (2003). L'Université York (2002) et l'Université de Lethbridge (2001) lui décernent un doctorat honoris causa ès sciences. Il obtient le prix Montfort en sciences (2003), la Médaille du jubilé de Sa Majesté la reine Elizabeth II (2002), la médaille pour service exceptionnel de la NASA (1997), la Space Flight Medal de la NASA (1984, 1996 et 2000), la Décoration des Forces canadiennes (1980), la bourse Athlone (1970) et une bourse du Conseil national de recherches du Canada (CNRC) (1972). Il reçoit un doctorat honoris causa de l'Université d'Ottawa (1997), du Collège militaire royal de Saint-Jean (1990), de l'Université Laval de Québec (1985), de la Technical University of Nova Scotia en Nouvelle-Écosse (1985) et du Collège militaire royal de Kingston en Ontario (1985). En 1985, il est corécipiendaire du prix F.W. (Casey) Baldwin pour le meilleur article publié dans le « Canadian Aeronautics and Space Journal ».

http://www.asc-csa.gc.ca/fra/astronautes/biogarneau.asp 
Garneau Marc (I8530)
 
2756 Né le mercredi 26 décembre 1612, à Périgny dans La Rochelle, en Aunis, département actuel de la Charente-Maritime.- L'ancêtre des Chalifoux et Chalifour est baptisé au temple calviniste de La Rochelle, le 30 décembre suivant. Nommé Paul Chalifour comme son père, laboureur, et fils de Marie Gabourit ou Gaborit, veuve en premières noces d'un nommé Renaud.Paul pratique le métier de charpentier.- Il abjure le calviniste pour devenir catholique.- Le 10 avril 1644, il épouse à Notre-Dame-de-Cogne de La Rochelle, "Marie Jeannet". Cette dernière meurt avant 1647, année ou Paul décide de venir s'établir en Nouvelle-France, juste avant de célébrer son 35e anniversaire de naissance.- Grâce à son métier et à son expérience, l'ancêtre exécute un début de maître, dans la Colonie.- Le 28 septembre 1648, il est prêt à fonder un nouveau foyer. La bien-aimée se nomme "Jacquette Archambault" (16 ans)arrivée vers 1645, avec ses parents, "les aïeux Jacques Archambault et Françoise Tourrault".- Jacquette est née vers 1632, au hameau de Lardillière, à Dompierre-sur-Mer.- Le couple Archambault-Chalifour-Chalifoux s'installe à Québec, où l'ouvrage ne manque pas.- Le 16 mai 1649, Paul promet à "Jean Juchereau", sieur de Maure, de lui fabriquer un moulin.- Puis le 29 octobre, il élève la charpente d'un moulin à vent pour "Jacques LeNeuf", sieur de La Poterie.- Le 8 juillet 1652, les Chalifour reçoivent une concession située dans la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges. C'est à cet endroit que la famille installe ses pénates pour toujours.- Le maître charpentier en 1654, prend comme apprenti pendant trois ans, "Abraham Fiset", jeune de 20 ans, qui devient l'ancêtre Fiset.- Au recensement de 1666, Paul Chalifour dit avoir 48 ans, alors qu'il en a 53, et Jacquette, 34 ans, vivent près de la Rivière Saint-Charles.- "Jean Talon", le 19 janvier 1671, demande à Paul Chalifour la "construction d'un moulin à vent", à tour de bois de colombage, dans le village du Bourg Royal.- Quatorze enfants naissent, tous ont leur acte de baptême inscrit dans le registre de Notre-Dame de Québec, entre le 5 octobre 1649 et le 31 janvier 1673.
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"Marguerite Chalifour", née en 1652, "épouse en 1665, Jean Badeau", né en 1642, arrivé vers 1647 avec son père l'ancêtre "Jacques Badeau et sa mère Anne Ardouin".
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"Françoise Chalifour", née en 1657, "épouse en 1671, l'ancêtre Jacques Nolin, dit Deschatelets".
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"Louise Chalifour", née en 1661, épouse en 1678, l'ancêtre "Joseph Vandandaigue, dit Gatebois".
- L'ancêtre Paul Chalifour-Chalifoux décède vers 1679, puis sa veuve, Jacquette Archambault est inhumée au mois de décembre 1705.
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"Donation" par "François Bibault (Bibeau)", habitant de la côte de Batiscan à "Paul Chalifour et Jacquette Archambault", sa femme, lesquels stipulent "pour Jeanne Chalifour", leur fille, mention du "contrat de mariage" entre ledit Bibault et ladite Jeanne Chalifour passé devant le notaire Vachon le 9 octobre 1668. Ledit Bibault étant sur le point de faire un voyage aux Outaouais, il donne en cas de mort tous ses biens meubles et immeubles à sadite femme.== Pierre Disy dit Monplaisir, Gabriel Beauchamp et Jean Bourdon dit Romainville, huissier royal, "sont témoins". - 15 janvier 1669 [Document insinué le 16 avril 1669].- Source : Normes et procédures archivistiques des Archives nationales du Québec, 4e éd., Québec, Ministère des Affaires culturelles, 1992, p. 105 (règle 302).- Pièce disponible sur support numérique et sur le microfilm M65/1.- Pièce provenant des registres des insinuations de la Prévôté de Québec, vol. 1 (Anciennement registres 1, 2 et 3) (1er mars 1667 - 25 septembre 1696), folios 35-35v. - NOUVELLE-FRANCE. COUR DE LA PREVOTE DE QUEBEC - (Voir : CR301,P44 - PISTARD).
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"Jugement rendu par le juge prévôt Guillaume Roger" en faveur de Jean Méthot (Métot, Metet), farinier demeurant au moulin de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, propriété des Révérends Pères de la Compagnie de Jésus, seigneurs dudit lieu, dans le procès l'opposant à "Michel Huppé", "Jacquette Archambault", "veuve de Paul Chalifou (Chalifour, Chalifoux)", André Parent, Jacques Parent, Pierre Parent (fils), Maurice Paquet (Pasquier) et André Coudray, tous habitants de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, lesquels sont condamnés pour avoir fait moudre leur grain ailleurs qu'au moulin seigneurial tenu par ledit Jean Méthot (Métot, Metet) . - 26 février 1686.- Notes générales :- Une transcription dactylographiée. - MOULINS NOTRE-DAME-DES-ANGES, DE (SEIGNEURIE : QUEBEC, QUEBEC) - (Voir : E21,S64,SS5,SSS5,D118 - PISTARD)
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"Chalifour (Chalifou, Chalifoux), Paul (1612-1680). Né le 28 décembre 1612 à Périgny en Aunis (France), il est baptisé au temple Saint-Yon de La Rochelle.- En 1644, "il épouse Marie Jeannet" à La Rochelle en l'église Notre-Dame-de-Cougnes.- Il quitte son pays vers 1647 pour le Canada.- Il épouse Jacquette Archambault en 1648 à Québec qui lui donne quatorze enfants.- À titre de maître charpentier, il construit divers ouvrages notamment des moulins et des maisons. En 1671, il érige le moulin à vent du Bourg-Royal pour le compte de l'intendant Jean Talon.- Vers 1650, il reçoit une concession de 3 arpents de front sur 24 de profondeur dans la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges sur laquelle il construit une maison en bois. Il y habite jusqu'à sa mort, survenue en 1680. (Dorion, Jacques, 1990 ; Fournier, Marcel, 2001)
 
Chalifou Ou Chalifour Ou Chalifoux Paul (I5516)
 
2757 Né vers 1637 de Jacques et d'Isabelle Beguin, de la paroisse Saint-Pierre de Villefagnan, 16240, Charente, Poitou-Charentes. (Angoumois).
Il épouse une fille du roi Marie Chauvet ou Quinquenel, le 16 août 1668 à Québec (Contrat du 10 août 1668, Not. Le Comte). Née vers 1641, de Jacques, matelot, et de Marie Michelette, de la paroisse Sainte-Marguerite de Tonnay-Charente, 17430, Charente-Maritime, Poitou-Charentes, (Saintonge). Cette femme dut comparaître devant le Conseil souverain, le 21 janvier 1669, accusée du crime d'adultère avec Pierre Vivier et Étienne Roy, et condamnée «à estre razé et battue de verges par les carefours ordinaires de cette ville, et ensuite enfermée dans un lieu seul pour y demeurer».
Au recensement de 1681, on le dit présent au village Saint-Claude, et on lui donne le nom de Fagnan, et sa femme Dubois?
Pierre Faye ou Failly, décède le 27 décembre 1692 à l'Hôtel-Dieu de Québec.
Elle décède après le 10 avril 1709 à Québec.
Ménage établi à Charlesbourg. 9 enfants.

(Tanguay: vol.1, p.229; Jetté, p.415; Dumas, p.205; Landry, p.290; Sulte, Hist. vol.5, p.82; J.C.S., vol.1, p.540-541; Langlois p 327.)

http://www.migrations.fr/compagniescarignan/compagnielafouille.htm

 
Faye Pierre (I10824)
 
2758 At least one living or private individual is linked to this note - Details withheld. Boucher E. (I15)
 
2759 Née en 1928 selon la pierre tombale de la famille Boucher Shirley (I3701)
 
2760 Née et baptisée le jour de Noël, ses parents lui donne le nom de Noëlla Vaillancourt Noëlla (I7160)
 
2761 Nicolas et Jacques avaient respectivement 25 et et 23 ans lorsqu'ils décidèrent de quitter la France en février 1667
 
Family F4349
 
2762 Nicolas Patenôtre, Patenaude ou Patenostre est né vers 1626, originaire de la paroisse de Berville, de l'évêché de Caux, en Normandie, fils de Nicolas Patenostre et d'Adrienne ou Adriane Simon. Aujourd'hui, ce Berville, semble être Berville-sur-Seine, canton de Deauville, arrondissement de Rouen, dans le département de La Seine-Maritime, en Normandie.

Nicolas Patenôtre est l'ancêtre de tous les Patenaude d'Amérique du Nord. Leur nom de famille est un dérivé du nom de leur métier de patenôtrier, ce qui est un fabriquant de chapelets. Il arrive à Québec vers 1650, peut-être avant, comme drapier de métier ou vendeur de tissu. Il se met au service de Charles Sevestre, commis au magasin de Québec, lieutenant particulier de la sénéchaussée et juge prévôt.

Nicolas Patenostre fait ensuite la rencontre de Marguerite Breton, née en 1635, fille d'Antoine Breton et de Sainte Paulin, à Saint-Nicolas-des-Champs, de Paris. Sainte Paulin, mère de Marguerite, après la mort de son mari Antoine Breton, convole avec Robert Vié. Deux filles Vié, demi-sœurs de Marguerite Breton, Marie-Sainte et Marie viennent également dans la Colonie. Marie-Sainte Vié, qui épouse l'ancêtre Jean Poitras, a 17 enfants.
Le mercredi 25 octobre 1651, à Québec, devant le notaire Audouart, Nicolas Patenostre et Marguerite Breton signent leur contrat de mariage. Le lundi suivant 30 octobre 1651, la bénédiction de l'engagement matrimonial de Nicolas et de Marguerite a lieu à l'église Notre-Dame de Québec.

Nicolas, le 16 janvier 1652, obtient une concession dans Sillery, mais la revend en 1656. Le 1er août 1655, il a prit à bail pour six ans une terre d'un arpent de front, située sur la Grande-Allée entre Antoine Brassard et Denis Duquet.
Le 10 mars, il fait l'acquisition d'une autre ferme dans la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, arrière-fief Grandpré de la Déroute, entre Jean Normand et Nicolas Gendron, dit Lafontaine.
Nicolas Patenostre et sa famille en 1662, vont enfin se fixer pour toujours à l'Ile d'Orléans, dans la paroisse de Sainte-Famille.

Au recensement de 1666, Nicolas, drapier, Marguerite Breton et leurs sept enfants demeurent à l'Ile. L'année suivante, ils déclarent posséder neuf arpents en culture et neuf bêtes à cornes. Les voisins immédiats nommés sont Jean Royer et Jean Foucher.

Des onze Patenaude ou Patenostre qui naissent, c'est Charles Patenaude, né et baptisé le 21 mai 1656, il épouse à Boucherville, le 8 février 1694, Françoise Séguin, née le 1 novembre 1674, fille de l'ancêtre François Séguin, dit la Déroute et de Jeanne Petit. À la suivante génération, des dix enfants, Étienne Patenaude, né le 9 octobre 1697, à Longueuil, épouse en 1721, Angélique Lamarre, dit Saint-André, née en 1701. Leur fille, à la quatrième génération, Angélique Patenaude, née en 1724, épouse en 1742, Joseph Pagé.
L'ancêtre Nicolas Patenostre quitte les siens le jeudi 13 février 1670, à l'âge de 50 ans. Il est inhumé le lendemain à Sainte-Famille de l'Ile d'Orléans.

Quant à l'aïeule, Marguerite Breton, elle est encore vivante au mariage d'un de ses fils le 11 novembre 1698. Selon une hypothèse, elle est peut-être morte à Montréal, durant la grande épidémie de 1702.

Ce texte est de Robert Rochon.

http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Patenaude_Nicolas&id=3787

11 novembre 2012 
Patenaude Nicolas (I8498)
 
2763 Nicolas Rioux est né en 1684. Le 15 mars 1696, un contrat d'échange est signé entre Charles Denis de Vitré et Jean Rioux, de la seigneurie de la rivière des Trois-Pistoles, avec tous les droits et privilèges concédés contre une terre à Saint-François de l'Île d'Orléans

Après la mort de Jean, Nicolas, son fils, en devient le deuxième seigneur. Il agrandit la seigneurie en achetant des terres et en se faisant concéder, le 6 avril 1751, l'étendue de terrain située entre sa seigneurie et les terres du Bic.

Il y fait construire un moulin à farine, une grange et une chapelle. C'est ce terrain qui prend le nom «Seigneurie Nicolas Rioux».

Le 15 février 1723, il se rend au château Saint-Louis, à Québec, pour y prêter foi et hommage au roi en sa qualité de seigneur.

Il épouse Louise Asselin, avec qui il a dix enfants. Il meurt le 3 janvier 1756 à Trois-Pistoles.

Historique de la conservation/Source immédiate d'acquisition
Les documents de ce fonds ont été acquis par le centre des Archives nationales du Québec et transférés au centre des Archives nationales du Québec situé à Rimouski au printemps 1985.
 
Rioux Nicolas (I10433)
 
2764 Noces de Fernand Paul et Angèle Bourgeois Family F17
 
2765 Noëlla Bourgeois est décédée dans un accident d`auto Bourgeois Noëlla (I399)
 
2766 Nom de famille Mousseau dit Désilet selon
http://gw3.geneanet.org/monartque?lang=fr&p=therese&n=mousseau+dit+desilets&oc=0 
Family F1042
 
2767 Nom de famille: MAUGER ou MAUGIS ou MONGIS
Il y a deux dates de mariage: en 1629 a Fribourg et en 1631 a Brouage, Rochefort, Poitou, France

S 11 octobre 1676, Rg Notre-Dame de Québec, Le LaFrance
Charlotte Mongis, veuve de Pierre Miville LeSuisse, âgée de 95 ans [sic]
Elle n'a que 60 ans au recensement 1667  
Maugis Charlotte (I5283)
 
2768 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivière Bourgeois Marie (I409)
 
2769 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières Bourgeois Madeleine (I429)
 
2770 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières Bourgeois Anne (I608)
 
2771 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières Bourgeois Claude (I788)
 
2772 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières qui a obtenu ces terres en concession seigneuriale. Dugas Anne (I420)
 
2773 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières qui a obtenu ces terres en concession seigneuriale. Bourgeois Michel (I952)
 
2774 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières qui a obtenu ces terres en concession seigneuriale. Bourgeois Jacques (I954)
 
2775 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières qui a obtenu ces terres en concession seigneuriale. Bourgeois Claude (I962)
 
2776 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières qui a obtenu ces terres en concession seigneuriale. Bourgeois Michel (I964)
 
2777 Nom donné par Michel Leneuf de la Valière, gentilhomme de Trois-Rivières Bourgeois Charles (I548)
 
2778 Noms des parents dans l'acte de baptême de leur fils David Family F6084
 
2779 Note de S.A. White
Lors du recensement de Nipisiguit en 1761, nous trouvons Pierre Gravois tout près de Jean-Jacques Bourgeois. Par la suite, Pierre Gravois et "Jacques" Bourgeois ont été prisonniers ensemble à  Halifax. Ceci nous assure que Pierre Gravois et Jean-Jacques Bourgeois étaient beaux-frère 
Bourgeois Jean - Jacques (I1494)
 
2780 Note Stephen White p.125
Au contrat de mariage passé par Loppinot, notaire à Port-Royal, le 5 octobre 1701, entre Abraham Landry, fils de feu René Landry et de Marie Bernard avec Marie Guillebaud, fille de Pierre Guillebaud et de Cathérine Thériot, assiste Jean Bélliveau, oncle maternel du futur. Par cette expression il faut entendre que Jean Bélliveau est frère de Marie Bernard, mère d'Abraham Landry. Et puisque le frère et la soeur ne portent pas le même nom de famille, c'est que Jean Bélliveau et Marie Bernard sont frère et soeur utérins. Andrée Guion, mère de ces deux personnes, épousa donc en première noces un Bernard - dont le nom de baptême est ignoré - et , en seconde noce Antoine Bélliveau.
Au recensement de l'Acadie de 1698 et 1700, nous trouvons chez Jean Bélliveau Anna Lavalée, sa nièce, née en 1680. Cette Anne Lavalée n'est autre que Anne, fille de Guyon Chiasson dit Lavalée et de Jeanne Bernard, et futre femme de Jean Brau. Elle est la nièce de Jean Bélliveau par sa mère Jeanne Bernard, soeur utérine de celui-ci. Point n'est besoin pour expliquer le lien de parenté.

http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Antoine_Belliveau&pid=5732&lng=fr&partID=5733

 
Guyon Gouin Andrée (I417)
 
2781 At least one living or private individual is linked to this note - Details withheld. Bourgeois R.J.M. (I269)
 
2782 On L'appelait Jack Bourgeois Hyacinthe Bernard J. (I268)
 
2783 On ne sait pas si Robert est né en France. Son acte de mariage s'est perdu également.

Il exerce le métier de bedeau à St-Antoine de la Pocatière

Il serait décédé entre le 18/1/1722 et le 28/8/1729, St-Roch-des-Aulnaies
 
Morin Robert (I10947)
 
2784 Originaire de La-Roche-sur-Yon selon son acte de mariage Gauvreau Étienne (I10276)
 
2785 Originaire de St-Philbert-du-Pont-Charrault, il s'engage à La Rochelle, le 14-05-1658 ,devant le notaire Abel Cherbonnier. Contrat de trois ans, avec François Perron, marchand, en Nouvelle-France, pour 81 livres tournois, par an. Le''Taureau'', navire de 75 tonneaux les amènent au Canada, avec 13 compatriotes. Le commandant est Élie Tadourneau, de Marennes

Habitant, engagé La Rochelle le 14-5-1658
Arrivé le 6-8-1658 Québec

Son frère Charles est baptisé à St-Philbert du Pont-Charrault le 02-08-1637. Il s'engage auprès du marchand François Perron et arrive à Québec sur le navire le Taureau. Son grand-père paternel est Guillaume Allaire. Son grand-père maternel est René Fleurisson. (Fichier Origine) 
Allaire Jean (I10481)
 
2786 Page du quotidien La Patrie de 1939 annoncant le décès de Thomas Madgin. Madgin Thomas (I66)
 
2787 parain Odilon VILLENEUVE
maraine Eulalie VENNE 
Venne Joseph Zéphirin Stanislas (I5149)
 
2788 Parents + Claude et Antoinette TIN
archev Bourges Bourbonnais
38 ans rec 81(1643) à Sorel; arrivé 17-08-1665, soldat cie de La Varenne ou de cie de Sorel au régiment de Carignan, confirmé 02-06-1666 à Sorel, maître chirurgien 
Chaudillon Antoine (I5590)
 
2789 Parents + Jean et Madeleine PLATON
21 ans rec 67 (1646) ; 35 ans rec 81 (1646) 
Thomas Anne (I5634)
 
2790 Parents André et Marie COUDRÉ
88 ans au décès en 1698 (1610 ) né entre 1610 et 1626
cousin germain d'André COUDRAY m Jeanne BOURGEOIS
50 ans rec 1667 (1617)
55 ans rec 1681 (1626) à Beauport

Francine Jodoin

 
Parent Ou Parant Pierre (I4547)
 
2791 parents et origine inconnus
26 ans rec 81 (1655)
née entre 1651 et 1655 
Philippeau Nicole (I5693)
 
2792 Parents Jacques & Marie-Agnès GRENON Bergeron Louise-Catherine (I5581)
 
2793 Parents Marin et Julienne BARIL (n'est pas venue au Canada, m 07-02-1611 à St-Jean ar. Mortagne en Basse-Normandie, décédée en 1627, ils ont eu 7 enfants, François 4ième; ascendance de Julienne (7))
François est décédé entre 26-05-1672 et 18-11-1678 et avant 02-05-1678 dépendant du chercheur.
au rec 66 à Sillery, en 67 à Cap Rouge ou Côte St-Ignace à Sillery 
Boucher François (I5701)
 
2794 parents Pierre et Anne LEMAISTRE
38 ans rec 81 (1643) à l'Île Ste-Thérèse
né entre 1641 et 1643 
Gauthier Dit Landreville Mathurin (I5692)
 
2795 Parents Pierre et Madeleine CHARLOT
décédée entre 23-07-1686 et 21-11-1689
37 ans rec 66 (1629), 38 ans rec 67 (1629), 60 ans rec 81 (1621)
Confirmée 10-08-1659 Québec, 30 ans (1629), 
Gareman Florence (I5702)
 
2796 Parr et Marr: Francois Rivest, Eloise Bouegeois Bourgeois Angelbert J. (I255)
 
2797 Parr et marr: Henri Vigneault, Rose-Anna Lajeunesse son épouse Bourgeois Edmond J. Jean Baptiste (I256)
 
2798 Parr et Marr: Isai Bourgeois, Stéphanie Bourgeois sa fille Bourgeois Marguerite M. (I258)
 
2799 Parr et Marr: Louis-Philippe Malo, Bella Monette Bourgeois René J. Philippe (I271)
 
2800 parrain Augustin JODOIN
marraine Josette DUBOIS 
Jodoin Marie Josette (I5207)
 

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