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Histoire de Jacques Jacob Bourgeois
Les Bourgeois de descendance acadienne ne remontent qu'a une seule souche, celle de Jacques Bourgeois, originaire de La Ferte-Gaucher, une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne dans la région Île-de-France. Il est arrivé en Acadie, le 6 juillet 1641, sur le St-François en provenance de La Rochelle en France.
Jacques (appelé aussi Jacob) a choisi une carrière médicale et est qualifié de chirurgien militaire. Il a pu apprendre cette profession dans une commanderie de l'ordre de Malte près de sa demeure en France.
Jacob est né le 7 janvier 1621 à La Ferte-Gaucher, France. Il arrive à Port-Royal avec Menou d'Aulney, gouverneur de l'Acadie, à la tête d'une flotte de quatre navires.
En 1643, Jacob Bourgeois épouse à Port-Royal, Jeanne Trahan, née vers 1629, à Bourgueil, dans la province d'Anjou, en France. Elle est venue en Acadie en 1636, avec son père Guillaume Trahan, sa mère Françoise Corbineau et une soeur (dont le prénom est inconnu).
Jeanne n'avait que 14 ans à l'heure de son mariage avec Jacques. Cette union est la souche de la famille Acadienne des Bourgeois d'aujourd'hui.
En 1645, à la mort d'Isaac Pesseley (ancêtres de plusieurs Acadiens), major de la garnison de Port-Royal, le beau-frère de Jacob Bourgeois, Germain Doucet dit Laverdure, l'homme de confiance du gouverneur d'Aulney, est nommé major de la garnison, tandis que Jacques Bourgeois devient "lieutenant de la place".
Vers 1646, M. de Menou d'Aulney concède à Jacob Bourgeois une île appelée Île aux Cochons, située dans la rivière Dauphin (aujourd'hui Annapolis River) en amont de Port Royal.
Au mois d'août 1654, le major Sedgewick, " sans aucun ordre de ses supérieurs " et malgré que la France et l'Angleterre soient en paix, arrive dans le bassin de Port-Royal, à la tête d'une armée de 500 soldats anglais. Il arrive du fort Saint-Jean, où il a fait prisonnier Charles de Saint-Étienne de La Tour, gouverneur de l'Acadie. Après plusieurs jours de siège, Germain Doucet doit capituler. Charles de Saint-Étienne est amené prisonnier en Angleterre.
Jacob Bourgeois, seul chirurgien de la place, est fort occupé durant plusieurs semaines à donner des soins aux blessés.
Les anglais ne laissent aucune présence militaire ou civile à Port Royal et en 1667, la colonie est cédée de nouveau à la France, bien que les Français ne prennent la possession qu'en 1670. Dans l'intérim, les Acadiens se régissent sous un syndic géré par Guillaume Trahan, le beau-père de Jacob.
Le recensement de 1670 indique que Jacques et Jeanne avaient ajouté six enfants à leur famille ; un fils, Guillaume, et cinq filles ; Marguerite, Françoise, Anne, Marie (la plus jeune) et Jeanne (la plus jeune). Dans ce recensement, Jacques était l'habitant le plus riche de Port Royal.
Dans ce même recensement, Charles, leur fils ainé, avait épousé Anne Dugas (du Gast) et ils avaient une fille, Marie.
La fille ainée de Jacques et de Jeanne était mariée à Pierre Sire (CYR) et ils ont un fils, Jehan (Jean).
Jacob devient par la suite cultivateur-marchand. Ses bateaux suivent la côte de la Baie Française (Baie de Fundy) pour faire le commerce avec les Indiens Micmac et la côte de la Nouvelle Angleterre pour faire le commerce avec les Anglais.
En 1671, Jacques, aidé par ses trois fils et son beau-fils, Pierre Sire, et son futur beau-fils, Jean Boudrot, a fondé la "colonie Bourgeois", qui deviendra plus tard Beaubassin, quand on accordera à Michel Leneuf de La Vallière, la Seignerie de Beaubassin. La colonie était près de la frontière séparant le Nouveau Brunswick actuel de la Nouvelle-Écosse. Jacques et son fils, Guillaume, retourne vivre à Port Royal après l'établissement de Beaubassin, bien qu'ils aient gardé des fermes dans la nouvelle colonie. Les deux autres fils de Jacques, Charles et Germain, restent à Beaubassin avec leurs familles.
En 1686, Jacques et Jeanne aménagent définitivement à Beaubassin pour vivre avec leur fils, Germain. Le 15 octobre 1687, Jacques Bourgeois signe un document avec d'autres Acadiens, certifiant les travaux de l'ex-gouverneur d'Aulnay dans la colonie.
Au début de septembre 1696, le colonel anglais Benjamin Church de Boston attaque Beaubassin, qui n'est pas défendu par les Français. Jacques est enrôlé pour négocier avec le contingent anglais de Boston. Jacques obtient une promesse de Church que les résidants seraient laissés en paix, mais Church renonce à sa promesse et les soldats mettent en flamme la plupart des maisons de la région. Les Acadiens de Beaubassin ont été forcés de se sauver dans la forêt avoisinante. Cependant, les anglais, respectant les capacités des Acadiens qu'ils reconnaissent comme tireurs d'élite, refusent de chasser les Acadiens hors du champ de tire des canons de leur bateau.
Au recensement acadien de 1686, Jacques Bourgeois a 67 ans et Jeanne Trahan en a 57. Au recensement de 1698, Jacob Bourgeois a 82 ans et Jeanne Trahan en a 72 et ils demeurent chez leur fils, Germain Bourgeois, à Beaubassin. Au recensement de 1700, ils ne sont pas mentionnés. Ils doivent être décédés.
En 1702, le commandant du fort de Port Royal dans un rapport officiel fait allusion au défunt Jacques Bourgeois.
Des dix enfants de Jacob et de Jeanne, deux fils nous lient à la grande famille des Bourgeois.
Le premier, Charles né vers 1646, épouse Marie Anne Dugas fille d'Abraham Dugas et Marguerite-Louise Doucet, entre 1668 et 1670. Ils eurent quatre enfants.
L'autre Germain, né vers 1650, épouse Marguerite Béliveau, fille d'Antoine Béliveau et Marie- Andrée Guyon, en 1673. Ils eurent trois enfants. Elle décède en 1680. Germain épouse en 1682 Magdeleine Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite-Louise Doucet, née en 1663. Ils eurent dix enfants.
Jacob et Jeanne eurent un troisième fils Guillaume, né vers 1655. Il épousa Marie Anne D'Aprendestiguy, dit de Martingnon, vers 1686. Ils n'eurent qu'une fille, Jeanne vers 1687.
C'est donc les fils de Charles et Germain Bourgeois qui continuent la descendance de la famille Bourgeois.
Pour plus d'information sur l'arbre généalogique des Bourgeois voir http://histoire-de-bourgeois.ca/
Pendant la déportation en 1755, plusieurs des enfants de Jacques ont été déportés aux colonies américaines où elles ont souffert considérablement. D'autres aboutissent à St-Pierre-et-Miquelon, et un petit nombre n'ont pas été déportés du tout.
Après la capitulation de Québec en 1763, certains des survivants ont fait leur chemin de retour au Canada, et le nom Bourgeois est aujourd'hui commun au sud-est du Nouveau Brunswick (région de Memramcook), au Québec (comté de Montcalm, le long des rives de la rivière Richelieu et les Iles de la Madeleines).
Voici des exemples:
La veuve Anne Leblanc (Joseph Bourgeois) et son fils Joseph Thimothée, la veuve Marguerite Dugas (Claude Bourgeois) et son fils Amand Bourgeois, et Germain Bourgeois et Ludivine Béliveau déménagent leurs familles à la nouvelle communauté de St-Jean-de-l'Achigan, Québec.
Michel Bourgeois et Marguerite Richard, et Joseph Bourgeois (dit Grégoire) et Catherine Commeau déménagent leurs familles à St-Antoine-De-Richelieu, Québec.
Claude Bourgeois et Anne Marie Cormier déménagent leurs familles à l'Acadie, Québec.
Joseph Bourgeois et Madeleine Boudrot déménagent leurs familles à St-Pierre-et-Miquelon où ils ont été déportés une deuxième fois, cette fois-ci en France, retournant plus tard à St-Pierre-et-Miquelon, puis avec certains de leurs enfants, ils déménagent aux Îles-Madeleine.
Pierre Benjamin Bourgeois qui s'est marié trois fois, 1) Cécile Aucoin 2) Anne Leblanc et 3) Anne Thibeault, n'a pas été déporté et habitait Pisiguit, Nouvelle-Écosse jusqu'aux environs de 1771 quand il se déplace avec sa troisième épouse à Memramcook, Nouveau Brunswick.
D'autres ont fait leur chemin vers la Louisiane. Au moins neuf hommes Bourgeois se sont installés sur la rive est du fleuve Mississippi dans la Paroisse de St-James. Cinq de ses derniers, Paul, Joseph, Michel, Pierre et Jean-Baptiste, étaient des frères, les fils de Paul Bourgeois et Marie-Josèphe Brun, originaire de Beaubassin, en Acadie.
Commençant dans les années 1790 et continuant jusque dans les 1820, certains des enfants et petit enfants des colons Bourgeois originaux se sont déplacés vers le bayou LaFourche. La plupart s'installant au-dessous de Thibodaux.
Au moins trois des fils des colons originaux de la Louisiane ont émigré vers l'ouest et les Attakapas.
Simon (fils de Joseph Bourgeois et de Marie Giroir) et Joseph (fils de Pierre, Sr. et Marie Bergeron) s'installent au bayou de Teche au nord de St- Martinville.
Louis (fils de Michel Bourgeois et d'Anne Landry) s'installe au bayou de Vermillon près de Lafayette.
Un Bourgeois, Jean-Baptiste et son épouse, Marie Borel, s'installent au bayou Teche au Sud de St- Martinville.
Plusieurs de ses descendants ont par la suite déménagés plus au sud, près de Charenton et de Franklin.
L'ABDA sollicite toutes informations généalogiques ou historiques que vous pouvez avoir concernant les Bourgeois de descendance acadienne. Si vous avez des informations pertinentes que vous voulez partager veuillez nous communiquer .
Tiré de http://abda.histoire-de-bourgeois.ca/
Jacques (appelé aussi Jacob) a choisi une carrière médicale et est qualifié de chirurgien militaire. Il a pu apprendre cette profession dans une commanderie de l'ordre de Malte près de sa demeure en France.
Jacob est né le 7 janvier 1621 à La Ferte-Gaucher, France. Il arrive à Port-Royal avec Menou d'Aulney, gouverneur de l'Acadie, à la tête d'une flotte de quatre navires.
En 1643, Jacob Bourgeois épouse à Port-Royal, Jeanne Trahan, née vers 1629, à Bourgueil, dans la province d'Anjou, en France. Elle est venue en Acadie en 1636, avec son père Guillaume Trahan, sa mère Françoise Corbineau et une soeur (dont le prénom est inconnu).
Jeanne n'avait que 14 ans à l'heure de son mariage avec Jacques. Cette union est la souche de la famille Acadienne des Bourgeois d'aujourd'hui.
En 1645, à la mort d'Isaac Pesseley (ancêtres de plusieurs Acadiens), major de la garnison de Port-Royal, le beau-frère de Jacob Bourgeois, Germain Doucet dit Laverdure, l'homme de confiance du gouverneur d'Aulney, est nommé major de la garnison, tandis que Jacques Bourgeois devient "lieutenant de la place".
Vers 1646, M. de Menou d'Aulney concède à Jacob Bourgeois une île appelée Île aux Cochons, située dans la rivière Dauphin (aujourd'hui Annapolis River) en amont de Port Royal.
Au mois d'août 1654, le major Sedgewick, " sans aucun ordre de ses supérieurs " et malgré que la France et l'Angleterre soient en paix, arrive dans le bassin de Port-Royal, à la tête d'une armée de 500 soldats anglais. Il arrive du fort Saint-Jean, où il a fait prisonnier Charles de Saint-Étienne de La Tour, gouverneur de l'Acadie. Après plusieurs jours de siège, Germain Doucet doit capituler. Charles de Saint-Étienne est amené prisonnier en Angleterre.
Jacob Bourgeois, seul chirurgien de la place, est fort occupé durant plusieurs semaines à donner des soins aux blessés.
Les anglais ne laissent aucune présence militaire ou civile à Port Royal et en 1667, la colonie est cédée de nouveau à la France, bien que les Français ne prennent la possession qu'en 1670. Dans l'intérim, les Acadiens se régissent sous un syndic géré par Guillaume Trahan, le beau-père de Jacob.
Le recensement de 1670 indique que Jacques et Jeanne avaient ajouté six enfants à leur famille ; un fils, Guillaume, et cinq filles ; Marguerite, Françoise, Anne, Marie (la plus jeune) et Jeanne (la plus jeune). Dans ce recensement, Jacques était l'habitant le plus riche de Port Royal.
Dans ce même recensement, Charles, leur fils ainé, avait épousé Anne Dugas (du Gast) et ils avaient une fille, Marie.
La fille ainée de Jacques et de Jeanne était mariée à Pierre Sire (CYR) et ils ont un fils, Jehan (Jean).
Jacob devient par la suite cultivateur-marchand. Ses bateaux suivent la côte de la Baie Française (Baie de Fundy) pour faire le commerce avec les Indiens Micmac et la côte de la Nouvelle Angleterre pour faire le commerce avec les Anglais.
En 1671, Jacques, aidé par ses trois fils et son beau-fils, Pierre Sire, et son futur beau-fils, Jean Boudrot, a fondé la "colonie Bourgeois", qui deviendra plus tard Beaubassin, quand on accordera à Michel Leneuf de La Vallière, la Seignerie de Beaubassin. La colonie était près de la frontière séparant le Nouveau Brunswick actuel de la Nouvelle-Écosse. Jacques et son fils, Guillaume, retourne vivre à Port Royal après l'établissement de Beaubassin, bien qu'ils aient gardé des fermes dans la nouvelle colonie. Les deux autres fils de Jacques, Charles et Germain, restent à Beaubassin avec leurs familles.
En 1686, Jacques et Jeanne aménagent définitivement à Beaubassin pour vivre avec leur fils, Germain. Le 15 octobre 1687, Jacques Bourgeois signe un document avec d'autres Acadiens, certifiant les travaux de l'ex-gouverneur d'Aulnay dans la colonie.
Au début de septembre 1696, le colonel anglais Benjamin Church de Boston attaque Beaubassin, qui n'est pas défendu par les Français. Jacques est enrôlé pour négocier avec le contingent anglais de Boston. Jacques obtient une promesse de Church que les résidants seraient laissés en paix, mais Church renonce à sa promesse et les soldats mettent en flamme la plupart des maisons de la région. Les Acadiens de Beaubassin ont été forcés de se sauver dans la forêt avoisinante. Cependant, les anglais, respectant les capacités des Acadiens qu'ils reconnaissent comme tireurs d'élite, refusent de chasser les Acadiens hors du champ de tire des canons de leur bateau.
Au recensement acadien de 1686, Jacques Bourgeois a 67 ans et Jeanne Trahan en a 57. Au recensement de 1698, Jacob Bourgeois a 82 ans et Jeanne Trahan en a 72 et ils demeurent chez leur fils, Germain Bourgeois, à Beaubassin. Au recensement de 1700, ils ne sont pas mentionnés. Ils doivent être décédés.
En 1702, le commandant du fort de Port Royal dans un rapport officiel fait allusion au défunt Jacques Bourgeois.
Des dix enfants de Jacob et de Jeanne, deux fils nous lient à la grande famille des Bourgeois.
Le premier, Charles né vers 1646, épouse Marie Anne Dugas fille d'Abraham Dugas et Marguerite-Louise Doucet, entre 1668 et 1670. Ils eurent quatre enfants.
L'autre Germain, né vers 1650, épouse Marguerite Béliveau, fille d'Antoine Béliveau et Marie- Andrée Guyon, en 1673. Ils eurent trois enfants. Elle décède en 1680. Germain épouse en 1682 Magdeleine Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite-Louise Doucet, née en 1663. Ils eurent dix enfants.
Jacob et Jeanne eurent un troisième fils Guillaume, né vers 1655. Il épousa Marie Anne D'Aprendestiguy, dit de Martingnon, vers 1686. Ils n'eurent qu'une fille, Jeanne vers 1687.
C'est donc les fils de Charles et Germain Bourgeois qui continuent la descendance de la famille Bourgeois.
Pour plus d'information sur l'arbre généalogique des Bourgeois voir http://histoire-de-bourgeois.ca/
Pendant la déportation en 1755, plusieurs des enfants de Jacques ont été déportés aux colonies américaines où elles ont souffert considérablement. D'autres aboutissent à St-Pierre-et-Miquelon, et un petit nombre n'ont pas été déportés du tout.
Après la capitulation de Québec en 1763, certains des survivants ont fait leur chemin de retour au Canada, et le nom Bourgeois est aujourd'hui commun au sud-est du Nouveau Brunswick (région de Memramcook), au Québec (comté de Montcalm, le long des rives de la rivière Richelieu et les Iles de la Madeleines).
Voici des exemples:
La veuve Anne Leblanc (Joseph Bourgeois) et son fils Joseph Thimothée, la veuve Marguerite Dugas (Claude Bourgeois) et son fils Amand Bourgeois, et Germain Bourgeois et Ludivine Béliveau déménagent leurs familles à la nouvelle communauté de St-Jean-de-l'Achigan, Québec.
Michel Bourgeois et Marguerite Richard, et Joseph Bourgeois (dit Grégoire) et Catherine Commeau déménagent leurs familles à St-Antoine-De-Richelieu, Québec.
Claude Bourgeois et Anne Marie Cormier déménagent leurs familles à l'Acadie, Québec.
Joseph Bourgeois et Madeleine Boudrot déménagent leurs familles à St-Pierre-et-Miquelon où ils ont été déportés une deuxième fois, cette fois-ci en France, retournant plus tard à St-Pierre-et-Miquelon, puis avec certains de leurs enfants, ils déménagent aux Îles-Madeleine.
Pierre Benjamin Bourgeois qui s'est marié trois fois, 1) Cécile Aucoin 2) Anne Leblanc et 3) Anne Thibeault, n'a pas été déporté et habitait Pisiguit, Nouvelle-Écosse jusqu'aux environs de 1771 quand il se déplace avec sa troisième épouse à Memramcook, Nouveau Brunswick.
D'autres ont fait leur chemin vers la Louisiane. Au moins neuf hommes Bourgeois se sont installés sur la rive est du fleuve Mississippi dans la Paroisse de St-James. Cinq de ses derniers, Paul, Joseph, Michel, Pierre et Jean-Baptiste, étaient des frères, les fils de Paul Bourgeois et Marie-Josèphe Brun, originaire de Beaubassin, en Acadie.
Commençant dans les années 1790 et continuant jusque dans les 1820, certains des enfants et petit enfants des colons Bourgeois originaux se sont déplacés vers le bayou LaFourche. La plupart s'installant au-dessous de Thibodaux.
Au moins trois des fils des colons originaux de la Louisiane ont émigré vers l'ouest et les Attakapas.
Simon (fils de Joseph Bourgeois et de Marie Giroir) et Joseph (fils de Pierre, Sr. et Marie Bergeron) s'installent au bayou de Teche au nord de St- Martinville.
Louis (fils de Michel Bourgeois et d'Anne Landry) s'installe au bayou de Vermillon près de Lafayette.
Un Bourgeois, Jean-Baptiste et son épouse, Marie Borel, s'installent au bayou Teche au Sud de St- Martinville.
Plusieurs de ses descendants ont par la suite déménagés plus au sud, près de Charenton et de Franklin.
L'ABDA sollicite toutes informations généalogiques ou historiques que vous pouvez avoir concernant les Bourgeois de descendance acadienne. Si vous avez des informations pertinentes que vous voulez partager veuillez nous communiquer .
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