Notes
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| 2501 | I001989 0002 This person witnessed event # 2 for person #I001989 | Lizotte Lydia Marie (I1660)
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| 2502 | I001993 0002 This person witnessed event # 2 for person #I001993 | Ricard Antoinette Yvonne Marie (I1602)
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| 2503 | I001993 0002 This person witnessed event # 2 for person #I001993 | Pronovost Euchariste Nazaire (I1603)
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| 2504 | I001999 0002 This person witnessed event # 2 for person #I001999 | Thiffault Laurette Rita Marie (I1967)
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| 2505 | I001999 0002 This person witnessed event # 2 for person #I001999 | Auger Willie (I1968)
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| 2506 | I002011 0002 This person witnessed event # 2 for person #I002011 | Thiffault Nazaire Junior (I1971)
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| 2507 | I002015 0002 This person witnessed event # 2 for person #I002015 | Pronovost Euchariste (I1604)
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| 2508 | I002015 0002 This person witnessed event # 2 for person #I002015 | Gendron Marie-Louise (I1605)
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| 2509 | I002016 0002 This person witnessed event # 2 for person #I002016 | Côté Gaudias Joseph (I1599)
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| 2510 | I002255 0002 This person witnessed event # 2 for person #I002255 | Strasbourg Edouard (I2245)
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| 2511 | I002257 0004 This person witnessed event # 4 for person #I002257 | Strasbourg Edouard (I2245)
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| 2512 | Ignace et son épouse son de Rimouski selon l'acte de mariage entre leur fils Pierre et Ellen Madgin | Family F2391
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| 2513 | Il a 3 ans au recensement de 1891 | Labelle Honoré (I9984)
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| 2514 | Il arrive à Québec sur le navire le Taureau le 15 juin 1656. http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Louis_Garneau&pid=30103&lng=fr&partID=30104 | Garneau Louis (I8510)
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| 2515 | Il arrive au Canada le 18-8-1665, soldat de la compagnie de Grand-Fontaine au régiment de Carignan Procureur du Roi à la Prévôté du Québec du 16-8-1676 au 30-4-1681 (interdit par le Conseil Souverain) puis en 1684 (restauré par Frontenac) au 4-6-1686 (interdit par le roi)Passé en France peu après (R. Jetté) (CT 18 Lecomte) avec Elisabeth Hubert Son père est décédé à Paris le 15-05-1670. Sa mère a été baptisée à Paris (St-Jacques-de-la-Boucherie) le 14-03-1623. Elle est la fille de Adam Pijart, maître orfèvre, et Jacqueline Charron. Quatre frères sont nés à Paris : Pierre, procureur au Châtelet ; Simon, apothicaire ; Gilles et Jacques, religieux chez les Augustins. Ses grands-parents paternels, Pierre Boulduc et Françoise Lebrun se sont mariés à Paris par contrat Rossignol et Chazerets du 06-08-1595. Il existe un portrait de Pierre Boulduc dans la salle des Actes de la Faculté de Pharmacie de Paris. (Fichier Origine) Était entre autres présent au mariage, Daniel de Rémy de Courcelles, Gouverneur de la Nouvelle-France (1665-1672) | Bolduc Louis (I10669)
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| 2516 | Il avait 64 ans à son décès, Ex-directeur de l’école Vanguard faisant partie de la CS Baldwin-Cartier dans la région de Pointe-Claire. Denis était homosexuel et très gentil mais la famille Laberge avait du mal accepté surtout du côté de la famille d’Henri Barrette. Son conjoint était de nationalité française car il avait étudié en France. Conjoint Rolland Blancheton. Ns.ne l’avons jamais rencontré car Jn. Charles Barrette aurait fait une vraie risée s’il y était venu. Crois-moi. Il travaillait avec les enfants ayant une déficience. Ma tante Lucia a jamais parlé de lui comme son conjoint. Juste un très gentil ami Marie-Claire Provost 23/11/2018 | Laberge Denis (I7145)
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| 2517 | Il décède à l'âge de 72 ans en 1905 selon son avis de décès | Bushey Peter (I8037)
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| 2518 | Il emmène avec lui deux de ses fils, Charles et Germain, et ses trois gendres Pierre Cyr, Germain Girouard et Jean Boudreau. Puis il y installa Jacques Belou, marié à Marie Girouard (soeur de Germain) et Thomas Cormier, marié à Madeleine Girouard (soeur de Marie et de Germain) | Family F5
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| 2519 | Il est aussi connu sous le nom de Pierre Goyette et Pierre Coquet. Il est le fils de Pierre Goguet et Louise Garnier. Il est baptisé le 16 mai 1664 à Montréal, Île de Montréal, Québec, Canada. Jeanne Goguet, Anne Goguet, Pierre Goguet et Louise Garnier vivent en 1667 chez Pierre Goguet à l'Île de Montréal, Québec. Il est domestique de la Congrégation de Notre-Dame en 1681 à Montréal. Pierre Goguet, Anne Charron, Pierre Goguet vivaient en 1681 à Montréal, Pierre Goguet possédait trois arpents de terre en valeur 3. Il épousa Anne Charron, fille de Pierre Charron et Catherine Pillat le 18 avril 1686 à la paroisse Sainte-Famille, Boucherville, Montérégie, Québec. Le contrat de mariage de Anne Charron et Pierre Goguet est signé le 18 avril 1686 par devant Jacques Bourdon, par devant Bourdon. Pierre Goguet est présent au mariage de Anne Goguet et Jean Joary le 26 octobre 1693 à Pointe-aux-Trembles, Île de Montréal. Il décède le 26 septembre 1730 à la paroisse Saint-François-d'Assise, Longue-Pointe, Ile de Montréal, Québec 5. Il est inhumé le 27 septembre 1730 à Montréal. Liste de ses enfants connus: 1. Pierre Goguet (1679 - )(de Anne Charron) + 2. Jacques Goyette (1690 - 1743)(de Anne Charron) + 3. Jean Goguet (1691 - 1767)(de Anne Charron) 4. Catherine Goguet (1693 - 1694)(de Anne Charron) + 5. Pierre Goguet (1695 - )(de Anne Charron) 6. Marie-Françoise Goguet (1697 - )(de Anne Charron) 7. Marc-Antoine Goguet (1698 - )(de Anne Charron) 8. Marie-Anne Goguet (1701 - 1730)(de Anne Charron) 9. Marie-Gabrielle Goguet (1702 - )(de Anne Charron) Tiré du site de François Marchi | Goguet Pierre (I6954)
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| 2520 | Il est aussi connu sous le nom de Pierre Joguet et Pierre Goyette. Il est le fils de Michel Goguet et Marie Jounot. Il est baptisé le 17 juin 1635 à Saint-Étienne, Marans, La Rochelle, Charente-Maritime, France. Il épouse Louise Garnier, fille de Charles Garnier et Jeanne Labraye vers 1656 à Marans, La Rochelle. Il est engagé le 5 juin 1659 à La Rochelle, La Rochelle. Antoine Courtemanche dit Jolicoeur et Pierre Goguet, Jean Cardinal, Anne-Michelle Garnier, Simon-Jean Cardinal, Jacques Cardinal, Étienne Truteau, Marie-Marguerite Garnier et Olivier Charbonneau immigrent le 29 septembre 1659 à Montréal, Île de Montréal, Québec, Canada avec Jean Cardinal, Anne-Michelle Garnier, Simon-Jean Cardinal, Jacques Cardinal, à Étienne Truteau, Marie-Marguerite Garnier et Olivier Charbonneau. Pierre Goguet, Jeanne Goguet, Anne Goguet, Pierre Goguet et Louise Garnier vivent en 1667 à l'Île de Montréal, Québec, Pierre Goguet possède trois arpents de terre en valeur. Pierre Goguet, Jacques Goguet, Jean Goguet et Louise Garnier vivent en 1681 à Montréal, Pierre Goguet possède six bêtes à cornes et douze arpents de terre en valeur. Il décède avant le 13 avril 1684 à l'âge de 60 ans. Il est inhumé le 13 avril 1684 à Montréal. Liste de ses enfants connus: + 1. Anne Goguet (1658 - 1730) (de Louise Garnier) + 2. Jeanne Goguet (1660 - )(de Louise Garnier) + 3. Pierre Goguet (1664 - 1730)(de Louise Garnier) 4. Marie Goguet (1666 - )(de Louise Garnier) 5. Suzanne Goguet (1667 - 1667)(de Louise Garnier) + 6. Jean Goguet (1668 - )(de Louise Garnier) + 7. Jacques Goguet (1672 - )(de Louise Garnier) Tiré du site de François Marchi | Goguet Pierre (I6956)
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| 2521 | Il est baptisé sous le nom de Trudelle | Trudel Olivier (I992)
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| 2522 | Il est charpentier de l'habitation de Quebec entre 1637 et 1640. Il batit la charpente du toit de l'Eglise Notre-Dame de Québec en 1647. Il bâtit la structure du toit du Chateau St-Louis en 1648. En mai 1651, il repousse une attaque iroquoise sur sa maison. Il est confimé à Sillery, Québec le 6 juin 1661. http://beachtrees.net/getperson.php?personID=I251&tree=tree1 | Pelletier Peltier Nicolas (I9725)
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| 2523 | Il est décédé au marriage de Sifroy à Julie Bourgeois | Hébert Charles (I381)
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| 2524 | Il est marchand de Orez, Bretagne, France | Richard Jean (I3560)
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| 2525 | Il est mort noyé | Richard Jean (I3810)
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| 2526 | il est né dans la nuit | Ayet Dit Malo François Amable (I5737)
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| 2527 | Il est né en 1626, à St-Pierre de La Poterie, dans le canton de Tourouvre, dans l'archevêché de Mortagne, évêché de Chartres, au Perche, (Orne), en France. Son père, Thomas Goulet a d'abord épousé Antoinette Feillard, le 3 août 1613, à Normandel. Après leur mariage, ils vont habiter à la Gauferrerie, mais survient le décès d'Antoinette Feuillard. Thomas Goulet épouse Marie Chalumel et, Louise Goulet naît le 26 juillet 1628. La présence d'un René du Tertre est signalée à Québec en 1663. Il est retourné en France la même année, pour revenir en Nouvelle-France, peut-être deux ans plus tard, avec les siens. Charles Letarte, né vers 1657, à St-Pierre de LaPoterie, de Tourouvre. Sabotier de métier, Charles épouse le 3 novembre 1678, Marie Maheu. Elle lui donne dix-huit enfants Letarte, entre 1679 et 1707. L'ancêtre, René Letarte, décède en septembre 1699, inhumé le 2 septembre, à L'Ange-Gardien, âgé d'environ 72 ans. | Letartre René (I5393)
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| 2528 | Il est propriétaire de ABC Plumbing | Madgin Adrien (I216)
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| 2529 | Il est propriétaire de Plomberie Moderne | Madgin Adrien (I216)
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| 2530 | Il fut assassiné par le Lieutenant Dumont de Blaignac, lieutenant (R. Jetté) | Hunaut Dit Deschamps Toussaint (I5412)
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| 2531 | Il fut curé à Dorion | Laberge Edmour (I11291)
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| 2532 | Il fut déporté en Nouvelle-Angleterre où il se maria civilement à Louise ?Robichaud?. Au retour de l'exil il se fixa à St-Jacques de l'Achigan où il est mort le 22 février 1795 | Bourgeois Amable (I459)
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| 2533 | Il fut déporté en Nouvelle-Angleterre où il se maria civilement en 1762 à Margueritte Doucet. Établi à Bécancour vers 1767 | Bourgeois Joseph Abel (I455)
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| 2534 | Il fut déporté en Nouvelle-Angleterre où il se marie civilement à Margueritte Dugas en 1766. Au retour de l'exil il se fixe à St-Jacques de l'Achigan | Bourgeois Armand (I457)
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| 2535 | Il fut déporté en Nouvelle-Angleterre. Au retour de l'exil il se maria à St-Jacques de l'Achigan, le 10 juin 1776, à Ludivine Elizabeth Belliveau | Bourgeois Germain (I3)
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| 2536 | Il nait 4 mois après le décès accidentel de son père Michel | Dorais Henri (I12324)
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| 2537 | Il nait autour de 1730. Jean Fraser est soldat du 78ème Highlanders. Il épouse Josephte Dumont Aubert fille de Marie-Josette Aubé et Pierre Guéret le 10 février 1777 à Kamouraska. Il est inhumé le 22 décembre 1780 à Kamouraska Jean Fraser réside à Kamouraska, Québec, Canada en 1777. http://genealogiequebec.info/testphp/info.php?no=315067 | Fraser Grosjean Jean-Baptiste (I10991)
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| 2538 | Il nait le 20 novembre 1607 à Saint-Étienne-du-Mont, Paris, Ile-de-France, France 5. Il épouse Marie Pichon en 1627 à Saint-Étienne-du-Mont, Paris 6, 7. Il est imprimeur-libraire, il publie "L'ouverture de l'Escolle de Philosophie transmutaire métallique ou la lus saine et véritable explication et consiliation de tous les Stiles desquels les philosophes anciens se sont servis en traictant de l'oeuvre Physique sont amplement déclarées" de David de Plannis Campy, chirurgien du roi Louis XIII et "Le Parnasse de Muses ou Receuil des plus belles chansons à danser" le 19 mai 1633 à Paris 5. Il voyage à Paris en 1643. Il est premier lieutenant-particulier civil et criminel de la sénéchaussée de Québec en 1651 5. Il est juge prévôt de la seigneurie de Lauzon en 1652 8. Il est commis général de la compagnie de Cents Associés en 1653 7. Il vit à côteau Sainte-Geneviève. Il obtient un seigneuries de quatre arpents de fronts près de Berthier, Québec avant 1657 10. Il décède le 8 décembre 1657 à Québec 5, 8. Il est inhumé le 9 décembre 1657 sous son banc de la basilique de Québec 11. Tiré de http://genealogiequebec.info/testphp/info.php?no=13094 | Sylvestre Charles (I10643)
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| 2539 | Il porte le nom de Réal dans le recensement de 1901 | Madgin Paul Philippe (I6745)
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| 2540 | Il reste avec ses parents | Madgin Robert (I2144)
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| 2541 | Il reste avec ses parents | Madgin William (I2295)
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| 2542 | Il se marie cinq fois. Il échappe à la déportation et plus tard il se fixe à Mémérancouk où il demeure nombres d'années, puis il alla finir ses jours chez un de ses fils établie à Grande Gigue où il mourut le 24 novembre 1821. Il était à Petitcoudiac en 1775, à la rivière Saint-Jean en 1768, et à Memramcook, ou il s'est établi vers 1770. Il fut inhumé à Grande-Digue, le 24 novembre 1821 | Bourgeois Pierre-Benjamin (I451)
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| 2543 | Ils furent déportés en Nouvelle-Angleterre en 1755; ils se rendirent à Québec, où ils sont morts tous les deux. | Bourgeois Jeanne (I445)
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| 2544 | imon Lefebvre d'Angers de Plainval, fils de Simon et de Marie Cousterier Le 30 juin 1665 arrivait à Québec Simon Lefebvre, en qualité de maître d'hôtel du marquis de Prouville de Tracy, lieutenant général du roi dans les Amériques méridionale et septentrionale. Baptisé en 16421 et originaire de Tracy-le-Val, près de Compiègne, Simon ne demeura pas longtemps célibataire. Le 11 janvier 1667, à Québec1, il choisissait pour compagne de vie Marie-Charlotte de Poitiers, fille de Pierre-Charles, sieur du Buisson, capitaine d'infanterie, et d'Hélène de Belleau; elle était la veuve de Joseph Hébert, qui avait été capturé par les Iroquois et tué en captivité. Après quelques années à Québec, le couple s'établit dans la seigneurie de Neuville. Il eut huit enfants et au moins trois des fils contractèrent des unions: Louis en 1697 avec Anne-Félicité Bonhomme, Jean-Baptiste en 1700 avec Geneviève-Françoise Faucher et François en 1703 avec Marie-Madeleine Deserre. Simon décédait le 10 novembre 1722 et était inhumé le 12 novembre 1722 à Neuville2. Certains extraits de ce texte sont tirés du livre: Portraits de familles pionnières, Robert Prévost, (Édition Libre Expression, 1993) http://www.genealogielefebvre.com/fr/lefebvre.php?i=419 18 novembre 2012 | Lefebvre Dit Angers Simon (I4817)
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| 2545 | Information de Mireille Tremblay | Blouin Laviolette Marie Madeleine (I4135)
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| 2546 | Information de Mireille Tremblay | Destroismaisons dit Picard Jacques (I4134)
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| 2547 | Inhumation des cendres au cimetière St-Antoine de Longueuil, jeudi 8 mai 2003, Section D, Rangée 00 Lot 038 | Masson Marcel (I112)
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| 2548 | Jacques (Jacob) Bourgeois Avant-propos : René Perron, un généalogiste français et Paul- Pierre Bourgeois de Grande-Digue, Nouveau Brunswick (Livre : À la recherche des Bourgeois d'Acadie ), précise de nouvelles informations réfutant la vue précédemment tenue qu'un Jacques Bourgeois, père, et un Jacques Bourgeois, fils, sont venus en Acadie tous les deux au début du 17 ième siècle. Plutôt, disent-ils, un seul Jacques Bourgeois, le chirurgien, est arrivé en 1641 à bord du St-François de La Rochelle et celui-ci est né, le 7 janvier 1621, en La Ferte-Gaucher, paroisse de Saint-Romain, le fils illégitime de Nicolas Grandjehan et de Marguerite Bourgeois. Nos Origines : Les Bourgeois de descendance acadienne ne remontent qu'a une seule souche, celle de Jacques Bourgeois, originaire de La Ferte-Gaucher, une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne dans la région Île-de-France. Il est arrivé en Acadie, le 6 juillet 1641, sur le St-François en provenance de La Rochelle en France. Jacques (appelé aussi Jacob) a choisi une carrière médicale et est qualifié de chirurgien militaire. Il a pu apprendre cette profession dans une commanderie de l'ordre de Malte près de sa demeure en France. Jacob est né le 7 janvier 1621 à La Ferte-Gaucher, France. Il arrive à Port-Royal avec Menou d'Aulney, gouverneur de l'Acadie, à la tête d'une flotte de quatre navires. En 1643, Jacob Bourgeois épouse à Port-Royal, Jeanne Trahan, née vers 1629, à Bourgueil, dans la province d'Anjou, en France. Elle est venue en Acadie en 1636, avec son père Guillaume Trahan, sa mère Françoise Corbineau et une soeur (dont le prénom est inconnu). Jeanne n'avait que 14 ans à l'heure de son mariage avec Jacques. Cette union est la souche de la famille Acadienne des Bourgeois d'aujourd'hui. En 1645, à la mort d'Isaac Pesseley (ancêtres de plusieurs Acadiens), major de la garnison de Port-Royal, le beau-frère de Jacob Bourgeois, Germain Doucet dit Laverdure, l'homme de confiance du gouverneur d'Aulney, est nommé major de la garnison, tandis que Jacques Bourgeois devient "lieutenant de la place". Vers 1646, M. de Menou d'Aulney concède à Jacob Bourgeois une île appelée Île aux Cochons, située dans la rivière Dauphin (aujourd'hui Annapolis River) en amont de Port Royal. Au mois d'août 1654, le major Sedgewick, " sans aucun ordre de ses supérieurs " et malgré que la France et l'Angleterre soient en paix, arrive dans le bassin de Port-Royal, à la tête d'une armée de 500 soldats anglais. Il arrive du fort Saint-Jean, où il a fait prisonnier Charles de Saint-Étienne de La Tour, gouverneur de l'Acadie. Après plusieurs jours de siège, Germain Doucet doit capituler. Charles de Saint-Étienne est amené prisonnier en Angleterre. Jacob Bourgeois, seul chirurgien de la place, est fort occupé durant plusieurs semaines à donner des soins aux blessés. Les anglais ne laissent aucune présence militaire ou civile à Port Royal et en 1667, la colonie est cédée de nouveau à la France, bien que les Français ne prennent la possession qu'en 1670. Dans l'intérim, les Acadiens se régissent sous un syndic géré par Guillaume Trahan, le beau-père de Jacob. Le recensement de 1670 indique que Jacques et Jeanne avaient ajouté six enfants à leur famille ; un fils, Guillaume, et cinq filles ; Marguerite, Françoise, Anne, Marie (la plus jeune) et Jeanne (la plus jeune). Dans ce recensement, Jacques était l'habitant le plus riche de Port Royal. Dans ce même recensement, Charles, leur fils ainé, avait épousé Anne Dugas (du Gast) et ils avaient une fille, Marie. La fille ainée de Jacques et de Jeanne était mariée à Pierre Sire (CYR) et ils ont un fils, Jehan (Jean). Jacob devient par la suite cultivateur-marchand. Ses bateaux suivent la côte de la Baie Française (Baie de Fundy) pour faire le commerce avec les Indiens Micmac et la côte de la Nouvelle Angleterre pour faire le commerce avec les Anglais. En 1671, Jacques, aidé par ses trois fils et son beau-fils, Pierre Sire, et son futur beau-fils, Jean Boudrot, a fondé la "colonie Bourgeois", qui deviendra plus tard Beaubassin, quand on accordera à Michel Leneuf de La Vallière, la Seignerie de Beaubassin. La colonie était près de la frontière séparant le Nouveau Brunswick actuel de la Nouvelle-Écosse. Jacques et son fils, Guillaume, retourne vivre à Port Royal après l'établissement de Beaubassin, bien qu'ils aient gardé des fermes dans la nouvelle colonie. Les deux autres fils de Jacques, Charles et Germain, restent à Beaubassin avec leurs familles. En 1686, Jacques et Jeanne aménagent définitivement à Beaubassin pour vivre avec leur fils, Germain. Le 15 octobre 1687, Jacques Bourgeois signe un document avec d'autres Acadiens, certifiant les travaux de l'ex-gouverneur d'Aulnay dans la colonie. Au début de septembre 1696, le colonel anglais Benjamin Church de Boston attaque Beaubassin, qui n'est pas défendu par les Français. Jacques est enrôlé pour négocier avec le contingent anglais de Boston. Jacques obtient une promesse de Church que les résidants seraient laissés en paix, mais Church renonce à sa promesse et les soldats mettent en flamme la plupart des maisons de la région. Les Acadiens de Beaubassin ont été forcés de se sauver dans la forêt avoisinante. Cependant, les anglais, respectant les capacités des Acadiens qu'ils reconnaissent comme tireurs d'élite, refusent de chasser les Acadiens hors du champ de tire des canons de leur bateau. Au recensement acadien de 1686, Jacques Bourgeois a 67 ans et Jeanne Trahan en a 57. Au recensement de 1698, Jacob Bourgeois a 82 ans et Jeanne Trahan en a 72 et ils demeurent chez leur fils, Germain Bourgeois, à Beaubassin. Au recensement de 1700, ils ne sont pas mentionnés. Ils doivent être décédés. En 1702, le commandant du fort de Port Royal dans un rapport officiel fait allusion au défunt Jacques Bourgeois. Des dix enfants de Jacob et de Jeanne, deux fils nous lient à la grande famille des Bourgeois. Le premier, Charles né vers 1646, épouse Marie Anne Dugas fille d'Abraham Dugas et Marguerite-Louise Doucet, entre 1668 et 1670. Ils eurent quatre enfants. L'autre Germain, né vers 1650, épouse Marguerite Béliveau, fille d'Antoine Béliveau et Marie- Andrée Guyon, en 1673. Ils eurent trois enfants. Elle décède en 1680. Germain épouse en 1682 Magdeleine Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite-Louise Doucet, née en 1663. Ils eurent dix enfants. Jacob et Jeanne eurent un troisième fils Guillaume, né vers 1655. Il épousa Marie Anne D'Aprendestiguy, dit de Martingnon, vers 1686. Ils n'eurent qu'une fille, Jeanne vers 1687. C'est donc les fils de Charles et Germain Bourgeois qui continuent la descendance de la famille Bourgeois. Pour plus d'information sur l'arbre généalogique des Bourgeois voir http://histoire-de-bourgeois.ca/ Pendant la déportation en 1755, plusieurs des enfants de Jacques ont été déportés aux colonies américaines où elles ont souffert considérablement. D'autres aboutissent à St-Pierre-et-Miquelon, et un petit nombre n'ont pas été déportés du tout. Après la capitulation de Québec en 1763, certains des survivants ont fait leur chemin de retour au Canada, et le nom Bourgeois est aujourd'hui commun au sud-est du Nouveau Brunswick (région de Memramcook), au Québec (comté de Montcalm, le long des rives de la rivière Richelieu et les Iles de la Madeleines). Voici des exemples: La veuve Anne Leblanc (Joseph Bourgeois) et son fils Joseph Thimothée, la veuve Marguerite Dugas (Claude Bourgeois) et son fils Amand Bourgeois, et Germain Bourgeois et Ludivine Béliveau déménagent leurs familles à la nouvelle communauté de St-Jean-de-l'Achigan, Québec. Michel Bourgeois et Marguerite Richard, et Joseph Bourgeois (dit Grégoire) et Catherine Commeau déménagent leurs familles à St-Antoine-De-Richelieu, Québec. Claude Bourgeois et Anne Marie Cormier déménagent leurs familles à l'Acadie, Québec. Joseph Bourgeois et Madeleine Boudrot déménagent leurs familles à St-Pierre-et-Miquelon où ils ont été déportés une deuxième fois, cette fois-ci en France, retournant plus tard à St-Pierre-et-Miquelon, puis avec certains de leurs enfants, ils déménagent aux Îles-Madeleine. Pierre Benjamin Bourgeois qui s'est marié trois fois, 1) Cécile Aucoin 2) Anne Leblanc et 3) Anne Thibeault, n'a pas été déporté et habitait Pisiguit, Nouvelle-Écosse jusqu'aux environs de 1771 quand il se déplace avec sa troisième épouse à Memramcook, Nouveau Brunswick. D'autres ont fait leur chemin vers la Louisiane. Au moins neuf hommes Bourgeois se sont installés sur la rive est du fleuve Mississippi dans la Paroisse de St-James. Cinq de ses derniers, Paul, Joseph, Michel, Pierre et Jean-Baptiste, étaient des frères, les fils de Paul Bourgeois et Marie-Josèphe Brun, originaire de Beaubassin, en Acadie. Commençant dans les années 1790 et continuant jusque dans les 1820, certains des enfants et petit enfants des colons Bourgeois originaux se sont déplacés vers le bayou LaFourche. La plupart s'installant au-dessous de Thibodaux. Au moins trois des fils des colons originaux de la Louisiane ont émigré vers l'ouest et les Attakapas. Simon (fils de Joseph Bourgeois et de Marie Giroir) et Joseph (fils de Pierre, Sr. et Marie Bergeron) s'installent au bayou de Teche au nord de St- Martinville. Louis (fils de Michel Bourgeois et d'Anne Landry) s'installe au bayou de Vermillon près de Lafayette. Un Bourgeois, Jean-Baptiste et son épouse, Marie Borel, s'installent au bayou Teche au Sud de St- Martinville. Plusieurs de ses descendants ont par la suite déménagés plus au sud, près de Charenton et de Franklin. L'ABDA sollicite toutes informations généalogiques ou historiques que vous pouvez avoir concernant les Bourgeois de descendance acadienne. Si vous avez des informations pertinentes que vous voulez partager veuillez nous communiquer . Tiré de http://abda.histoire-de-bourgeois.ca/ _______________________________________________________________________ | Bourgeois Jacques (I9)
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| 2549 | Jacques 82 et sa femme Jeanne 72, Germain 48 et sa femme Madeleine 34, Guillaume 24, Agnès 12, Anne 11, Joseph 8, Marie Joseph 5 et Claude 3 | Family F4
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| 2550 | Jacques Bertault et sa femme Gilette Baune allèrent en appel devant le Conseil Souverain contre la sentence de mort portée contre eux pour l'assassinat de Julien La Touche, leur gendre. Leur fille, Isabelle 13 ans, veuve de la victime fut, elle aussi, condamnée, mais l'appel en sa faveur ne fut pas rejeté. Elle fut graciée. Isabelle, à l'âge de 12 ans, avait été pratiquement forcée d'épouser Julien Latouche, 30 ans, qui était paresseux, jaloux et ivrogne. Sa jeune épouse pour subsister devait recourir à l'hospitalité de son père. Le procès se déroula à Québec et aboutit à la sentence suivante : Bertault et sa femme, pour avoir assassiné leur gendre à coups de pioche, seront exécutés ; et de plus, que leur fille, tout en étant témoin de la scène, s'était limitée à donner un coup de main à son père pour traîner le corps à la rivière. La sentence : que Jacques Bertault et Gilette Baune soient "tirés des prisons de cette ville par l'exécuteur de la haute justice, conduits au devant de la porte de l'église paroissiale de cette ville, la corde au cou, une torche au poing [...]condamne en outre le dit Bertault d'être étranglé sur la croix Saint-André qui sera mise sur l'échafaud dressé pour cet effet à la grande place de la haute-ville, et ensuite à avoir les bras et les cuisses rompus de chaque coup de barre." Le couple Bertault fut exécuté à Québec le 9 juin 1672, peu de temps après l'assassinat. La femme Gilette sera cependant exempte d'avoir les membres rompus et d'être portée sur une roue. Isabelle fut cependant contrainte d'assister à l'exécution de ses père et mère. Quelques mois après la mort de son mari, Isabelle eut un enfant. Elle se maria un an plus tard et se mariera une troisième fois. http://genealogistes-associes.ca/histoire/violentes/violent-1.php 18 novembre 2012 | Family F2058
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