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2551 | Jacques Paviot dit La Pensée : Nous ignorons sa filiation et son lieu d’origine. Il reçois le scapulaire du Mont-Carmel à Québec le 23 août 1665. Par la suite, il part pour Québec afin d’aider à la construction du fort Sainte-Thérése. Vers la fin de l’automne, sa compagnie gagne le fort Saint-Louis, puis Montréal pour leurs quartiers d’hivers. Après s’être établis dans la seigneurie de Contrecœur, il épouse vers 1668 ou 1669, Anne Michel, fille du roi, d'origine inconnue, née vers 1648 (rec.1681). On ne trouve pas de document sur ce mariage, ni sa présence au recensement de 1666 et 1667. Il est présenté comme voisin de Barbarin en 1670; et possède encore cette terre en 1674. Jacques Paviot décède avant le 25 février 1674. Ménage établi à Contrecœur. (4 enfants). Anne Michel se remarie après février 1674, probablement à Contrecœur, avec Jean Massault dit Saint-Martin, d'origine inconnue. Il était menuisier de métier. L'acte d'état civil de ce second mariage est aussi introuvable. Ce couple est inscrit au recensement de 1681, à Contrecœur, et les quatre enfants Paviot, issus du premier mariage de cette femme, y sont mentionnés avec les autres enfants du second mariage. Il possédait un fusil, un pistolet, sept bêtes à cornes et huit arpents de terre en valeur. Jean Massault décède entre 1709 et le 29 novembre 1724. Anne Michel décède le 29 novembre et inhumée le 1er décembre 1724 à Contrecœur. Ménage établi à Contrecœur. (6 enfants). (4 enfants Paviot + 6 enfants Massault). (Tanguay, vol.1, p.468, 419 et vol.5, p.560; Jetté, p.884, 784; Basset, 21 août 1667; Dumas, p.298-299; Landry, p.347; Drouin, vol.2, p.1035; Sulte, Hist., vol.5, p.73(2); Les noms de Jacques Paviot et d'Anne Michel paraient 3 fois aux minutes du notaire Pierre Mesnard; R.M., Le Régiment de Carignan, p.92; DBAQ, t4, p.80-81; Langlois, p.427.) livre: le Terrier du Saint-Laurent de Marcel Trudel, page 706 Région de Contrecœur http://www.migrations.fr/compagniescarignan/compagniecontrecoeur.htm | Paviot dit LaPensée Jacques (I9619)
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2552 | James est protestant au moment du mariage. Il sera baptisé en 1869 après le décès de son épouse Euphémie | Family F1369
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2553 | Je déduis que les parents de Marielle sont Roger et Paula par le mariage de ses sœurs Noëlla et Léa | Laberge Marielle (I12259)
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2554 | Jean Baptiste et Iasabelle sont de Baubassin | Family F1358
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2555 | Jean Baptiste, 7 ans, est inhumé en même temps que Charles Roch, 5 ans. | Ayet Jean - Baptiste (I7824)
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2556 | Jean Béliveau débute sa carrière en 1946 avec les Panthers de Victoriaville. Il joue ensuite pour les Tigres, les As de Québec et enfin les Citadelles de la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Il commence sa carrière professionnelle chez les Canadiens de Montréal en 1951 où il obtient une place de titulaire durant la saison LNH 1953-54 en prenant part à 44 parties et marquant 34 points. Avec son imposante stature ainsi que son élégance et sa robustesse, Jean Béliveau, surnommé « Le Gros Bill », est considéré comme un modèle par la génération montante de hockeyeurs de la Ligue nationale de hockey (LNH). La saison LNH 1954-55 fortifie son statut de vedette à Montréal alors qu'il termine troisième marqueur de la ligue et est nommé dans l'équipe du Match des Étoiles de la ligue. L'année suivante, Béliveau termine meilleur marqueur et gagne le trophée Hart et le trophée Art Ross. Pour conclure en beauté, Béliveau gagne la première de ses dix Coupe Stanley. Il continue son ascension dans la LNH, battant son record personnel de points de 1958-59 en gagnant un autre championnat des marqueurs de la ligue. Il est nommé capitaine de son équipe en 1961-62 et continuera de remporter plusieurs distinctions et coupes Stanley. En 1968, il devient le deuxième joueur de l'histoire de la LNH, après Gordie Howe, à atteindre les 1000 points en carrière. Trois ans après, il est le quatrième joueur à franchir la barre symbolique des 500 buts. Béliveau se retire en 1971 en gagnant sa dixième Coupe Stanley. Sans attendre la période habituelle de trois ans pour une admission au temple de la renommée du hockey, il est intronisé en 1972. Au moment de sa retraite, il détenait le record de son équipe pour les points en carrière et était le meilleur marqueur en série dans la LNH. Il aura marqué 507 buts et 712 passes pour 1219 points en 1125 parties de saison régulière et 70 buts et 97 aides pour 176 points en 162 parties de séries. Son numéro (4) a été retiré le 9 octobre 1971 par les Canadiens de Montréal. Il continue son association avec l'organisation montréalaise dans un rôle plus administratif. À sa retraite en 1994, on lui offre le poste de Gouverneur général du Canada, qu'il décline. Il devient ambassadeur pour les Canadiens de Montréal. Le 15 mars 2008, Jean Béliveau reçoit un doctorat honoris causa de l'Université Laval des mains du recteur Denis Brière. De nombreux dignitaires participent à l'événement dont Pierre Boivin, Marcel Aubut et Patrick Roy. | Béliveau Jean (I11217)
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2557 | Jean Bourassa est le fils de Jacques Bourasseau et de Françoise Fouchard. Il serait né vers 1631, à Saint-Fulgent, évêché de Luçon au Poitou. L’acte de baptême de sa sœur Mathurine figure dans les registres de cette localité en date du 17 mai 1641. Le 5 avril 1657, il signe un contrat d’engagement devant le notaire Moreau à La Rochelle pour venir travailler trois ans ici contre un salaire de 90 livres par an. Ayant terminé son engagement, il choisit de demeurer en Nouvelle-France et loue une terre de cinq arpents de front dans la seigneurie de Lauzon, le 5 novembre 1662. Par la suite, il fait l’acquisition de nombreuses autres terres dans cette même seigneurie jusqu’à son décès, survenu le 20 janvier 1718. Jean Bourassa contracte deux unions matrimoniales, la première avec Perrette Vallée, fille de Nicolas Vallée et de Madeleine Major, le 20 octobre 1665. (Jean et Perrette sont les ancêtres de Zoël Bourassa). Perrette donne la vie à sept enfants avant de mourir des suites d’un accouchement, le 5 juin 1676. Le 4 novembre de la même année, Jean Bourassa épouse en secondes noces Catherine Poitevin, veuve d’Adrien Isabel. Quatre enfants naissent de cette union. Joseph-Boutin Bourassa (1853-1943), député de Lévis à la Chambre des communes de 1911 à 1925, est un descendant de Jean Bourassa. http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Bourassa_Jean&id=579595 | Bourassa Jean (I9348)
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2558 | JEAN COUTU (1) Comédien Né à Montréal le 31 mars 1925, Jean Coutu débute sa carrière au sein des Compagnons de St-Laurent du père Émile Legault. Il devient, dans les années 50, l’un des comédiens les plus adulés de sa génération grâce au rôle-titre du téléroman Le Survenant de Germaine Guèvremont. Une idole est née! À la même époque, il campe aussi Ti-Mé dans La famille Plouffe. Les studios Disney le recrutent même en 1961 pour le film Nikki, wild dog of the north. Voilà quelques uns des rôles qui marqueront sa carrière fructueuse. Sa fille Angèle suivra ses traces. Il la retrouvera d'ailleurs à TVA dans les années 80 dans L’Or du temps où il incarne son propre père. Jean Coutu décède le 1er novembre 1999 à l’âge de 74 ans. http://lequebecunehistoiredefamille.com/stars/jean-coutu-1 | Coutu Jean (I9740)
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2559 | Jean Laberge aurait participé à la rébellion de 1837 - 1838. Il fut déporté en Australie en 1839 et rapatrié en 1848 | Laberge Jean (I4181)
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2560 | Jean MEILLEUR, naissance 13 déc 1678 à Cap-au-Goulet, St-Augustin-de-Desmaures, baptême 29 à la cathédrale Notre-Dame, Québec, p/m Tugal Cotin & Jeanne Gilles, femme de François Fleury de Mitron, décès 10 oct 1754 à Montréal, âge : 75 ans 9 mois 27 jours, funérailles 11 à l'église St-Joseph de la Rivière-des-Prairies, emploi(s) : Pionnier du Sault-au-Récollet, résidence à St-Claude en 1707. (1) Marié(e) 12 jul 1706 à Charlesbourg, contrat de mariage 20 jun ct Jean-Robert Duprac, Marie LEBLANC, naissance 20 avr 1680 à Charlesbourg (fille de Jacques LEBLANC et Suzanne ROUSSELIN), p/m Thomas Pajot & Marie Pivin, épouse de Jacques Glinel, décès 9 mar 1711 à Charlesbourg, âge : 30 ans 10 mois 19 jours, funérailles 10. 2 fils. (2) Marié(e) 11 jan 1712 à Charlesbourg, Québec, contrat de mariage 4 ct Jean-Robert Duprac, Élisabeth VERRET, naissance 3 fév 1686 à St-Bernard, Charlesbourg (fille de Michel VERRET=LAVERDURE et Marie GALARNEAU), décès 11 sep 1732 à l'Hôtel-Dieu de Québec, sépulture 12, âge : 46 ans. 11 enfants. http://freepages.genealogy.rootsweb.ancestry.com/~meilleuro/00117-01.htm | Meilleur Jean (I10234)
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2561 | Jean-Baptiste CAMPAGNA et Marie-Anne GUIBAUD (sosa 558 et 559) Mariage 04-04-1731 paroisse Ste-Anne-de-La-Pérade, comté Champlain TRANCRIPTION : Dans la marge : Mariage entre Jean Baptiste Campagna et Marie Anne Guibaud Le quatre avril mil sept-cent trente un; ayans publié aux prône des messes solennelles a notre paroisse Ste-Anne près Batiscan, par trois fois consécutive __ , la promesse de mariage entre Jean Baptiste Campagnia, fils de Louis Campagnia et de Madeleine Rabouin les père et mère de la paroisse de St-Augustin dune part; et Marie Anne Guibaud, fille de Jean Guibaud et de feu Louise Dasilva les père et mère de cette paroisse St-Anne près Batiscan dautre part; ayant reçu le certificat de la publication ___ mariage au prône de la paroisse de St-Augustin signé de mgr Denoyer prêtre curé de la paroisse : nayant prouvé ni connu aucune opposition ni empêchement au mariage, nous avons reçu __ __ partiel, leur mutuel consentement _______ _____ __ mariage; et, nous leur avons donné la bénédiction nuptiale, en présence de Pierre Laquerre père et de Pierre Laquerre fils , et de Michel LeBoeuf fils, témoins et de Jean Guibaud père de la fille et de plusieurs autres Parents de part et dautre; les quels ont tous déclaré ne savoir signée, de ce ____quis, ____ ___lordonnance ___ signé Joseph N____prêtre, avec _____. Y. J. N______pre MARR: ASSO @I1770@ TYPE Présent MARR: ASSO @I1771@ TYPE Présent MARR: ASSO @I1772@ TYPE Témoin MARR: ASSO @I1488@ TYPE Présent RELA Père de l'épouse | Family F1828
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2562 | Jean-Jacques est né en France | Nuirat Jean - Jacques (I1435)
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2563 | Jean-Louis était décédé au marriage de M. Louise à Camille Bourgeois | Martin Jean - Louis (I391)
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2564 | Jeanne TRAHAN, wife of Jacques BOURGEOIS, doctor of Port-Royal, had ten living children at the 1671 census. Born in France in 1631, daughter of Guillaume TRAHAN, she wasn't very aware of the ocean crossing in 1632. She married at 12 years of age in Port-Royal, and lived into the 1700's, living proof, having witnessed all of the Acadian hardships of the end of the 17th century, in which her husband was very involved (he was both doctor and merchant, well known in Boston, property owner in Beaubassin). Lucie LeBlanc Consentino dans http://www.acadian-home.org/ | Trahan Jeanne (I10)
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2565 | JODOIN André et Catherine CADIEUX (sosa 64 et 65) MARIAGE 06-02-1821 St-Anne-de-Varennes à Varennes, comté Verchères, SOURCE : Centre d'Archives de Mtl Microfilm # 1369 TRANSCRIPTION MARGE 6 Mariage d'André Jodouin et de Cath. Cadieu Le six février mil huit cent vingt un après la publication de trois bans de mariage faite au prône de notre messe paroissiale entre André Jodouin fils majeur de René Jodoin cultivateur et de défunte Thérèse Choquet de cette paroisse d'une part et Catherine Cadieu fille mineure de Jacques Cadieux cultivateur et de Catherine Ste Marie aussi de cette paroisse d'autre part et ayan eu consentement des Parents, ne s'étant découvert aucun empêchement au dit mariage, nous Prêtre soussigné Vicaire de cette Paroisse avons reçu leur mutuel consentement de mariage et leur avons donné la bénédiction nuptiale en présence suivant la forme prescrite par l'église notre sainte Mère en présence de René Jodouin père, de Jacques Choquet et de Joseph Lupien oncles de l'époux et de Jacques Cadieu père, de Jacques Cadieu frère de l'épouse et de plusieurs autres parents qui ont déclaré ne savoir signer. Deux mots rayés nuls Marc Chauvin Prêtre lors du mariage la mère de l'époux, T. CHOQUETTE était décédée | Family F1874
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2566 | JODOIN André et Marie Geneviève PROVOST (sosa 256 et 257) MARIAGE 26-06-1770 , St-Anne-de-Varennes, à Varennes, comté Verchères SOURCE : Centre dArchives de Mtl Microfilm #1367 TRANSCRIPTION MARGE : Mariage André Jodoin et de * Marie Anne Provos Lan mil sept cent soixante dix vingt six juin après la publication de trois bans de mariage faite aux pronnes des messes paroissialle par deux dimanches et une _____ entre André Jodoin fils André Jodoin et de Élisabeth Hébert les père et mère de cette paroisse dune part et Geneviève Provost fille de René Provost et de Margueritte Brunel les père et mère aussi de cette paroisse dautre part ____ ____ ___ trouvé aucun empechement ni forme dopposition au dit Mariage nous prêtre soussigné avons reçu leur mutuel consentement ___ de ____ et leur avons donné la bénédiction nuptiale et en présence dandré Jodoin père de lépoux et de jean martin ami et du coté de lepouse de René provost son père et joseph Provost son cousin et de plusieurs autres dont les uns ont signé et les autres ont déclaré ne le savoir de ce requis suivant l'ordonnance____ _____ _____et___ ___ainsi signés D_____ Baelly Joseph Petit Jean Martin. A Provost Josette B aell y ____ M______ M_____ prêtre NOTE: *selon l'acte de baptême, le nom exacte est Marie Geneviêve | Family F2063
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2567 | JODOIN Lucien et Donalda CORMIER dit COMBE (sosa 4 et 5) Mariage 25-08-1921 paroisse St-Étienne, Mtl SOURCE : index district judiciaire de Mtl de 1900 à 1925 # 341 Report au micro fiche 1171B (Centre darchives de Mtl) Dans la marge : M 16 Jodoin et Cormier dit Combe **Deus Le vingt cinq août mil neuf cent vingt un vu les dispense de deux bans de mariage accordée par lOrdinair du diocèse vu aussi les publication d'un ban faite au prône de notre messe paroissiale entre Joseph Louis Azarie Lucien Jodoin, fils majeur d'Azarie Jodoin et de Yda Venne de cette paroisse d'une part et Marie Donalda Cormier dit Combe, fille majeur de **Dieudonné Cormier dit Combe et Marie Louise Ménard de cette paroisse d'autre part. ne sétant découvert aucun empêchement de mariage nous prêtre soussigné et autorisé à cette fin avons reçu le mutuel consentement de mariage des époux et leurs avons donné la bénédiction nuptiale en présence de Azarie Jodoin père de l 'époux et de Deus Cormier dit Combe qui ainsi que les époux ont signé avec nous (** Ã la dixième ligne un mot rayé nul et un ajout __ en marge Lecture faite Lucien Jodoin Donalda Cormier dit Combe Azarie Jodoin Deus Cormier Donalda travaille au Vieux Port dans un resto style binnerie elle travaille aussi dans la cafétéria d'une banque. (à 60 ans?) ses premiers enfants furent placés à Ste-Monique suite à une dépression, possiblement pendant 3 ans, elle résidait possiblement à Sacré Coeur | Family F2053
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2568 | JODOIN René et Thérèse CHOQUET (sosa 128 et 129) MARIAGE : 19-02-1798 St-Anne-de-Varennes, à Varennes, comté Verchères, SOURCE : Centre d'Archives de Mtl microfilm # 1368 1/1 TRANSCRIPTION MARGE # 33 Mariage de René Jodouin et Thérèse Choquet Le dix neuf février mil sept cent quatre vingt dix huit après avoir publié aux prônes des messes paroissiales trois bans entre René jodoin mageur fils d'André Jodoin laboureur et Marie Provos les père et mère de cette paroisse d'une part et Thérèse Choquet majeur fille de feu Jacques Choquet et de Thérèse Savaria les père et mère de cette paroisse d'autre part n'ayant découvert aucun empêchement à leur future mariage je soussigné Curé ai reçu leur mutuel consentement et leur ai donné la bénédiction nuptiale présence d'André jodoin père, Charles languedoc, Paul Lupien, jacques choquest, lucier a signé les consent__ consentement mariage Paul Lupien __ Du_____ prêtre Acte de mariage entre René Jodoin et Thérèse Choquet Du site Ancestry.ca de LEAD Technologies Inc. V1.01 | Family F2056
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2569 | Johny est mort noyé accidentellement à la Grosse-Ile à l'âge de 51 ans | Masson Jean Baptiste (I892)
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2570 | Joseph a 48 ans, ses parents sont des US, Dora a 20 ans, son père est Canada (French) et sa mère de New York Theodore a 21 ans Wilfred a 12 ans Victor moins de 1 an | Family F1304
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2571 | Joseph a été "baptisé par nécessité" par Guillaume Bourgeois le jour de sa naissance Acte de baptême de Joseph Richard Du site Ancestry.ca de LEAD Technologies Inc. V1.01 | Richard Joseph (I3423)
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2572 | Joseph était décédé au mariage de Malvine | Rivest Joseph (I248)
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2573 | Joseph Brossard (Broussard), dit Beausoleil BROSSARD (Broussard), dit BEAUSOLEIL, JOSEPH, colon, milicien, né en 1702 à Port-Royal (Annapolis Royal, N.-É.), fils de Jean-François Brossard et de Catherine Richard, décédé en Louisiane en 1765. Joseph Brossard est encore aujourd’hui vénéré pour sa bravoure comme chef de la résistance acadienne du haut de la rivière Petitcodiac au temps de la déportation, surtout par les Acadiens de la Louisiane, où il est devenu une figure légendaire. Il faut noter cependant que ses exploits ne sont pas tous consignés dans les archives. En septembre 1725, Brossard épousa Agnès, fille de Michel Thibodeau (Tibaudeau) et d’Agnès Dugas, à Annapolis Royal. Quelques années plus tard, il alla s’établir à Chipoudy (Shepody, N.-B.) avec son frère Alexandre. Joseph fut amené devant le conseil d’Annapolis à deux reprises à cette époque. Il fut accusé en 1724 d’avoir maltraité un Acadien, puis, en 1726, d’être le père d’un enfant illégitime. Quoiqu’il niât cette dernière accusation, il fut incarcéré pendant quelque temps pour avoir refusé de pourvoir à la subsistance de l’enfant. Vers 1740 Brossard s’établit à Le Cran (Stoney Creek, au sud de Moncton, N.-B.). Lors du combat des Mines au début de 1747, Brossard prêta main-forte aux troupes de Nicolas-Antoine Coulon de Villiers. Le 21 octobre le gouverneur William Shirley, du Massachusetts, mit Brossard et 11 autres personnes hors la loi pour avoir ravitaillé les troupes françaises. En juin 1755, les Anglais, qui se disputaient avec les Français au sujet de la possession de la péninsule de Chignectou, assiégèrent le fort Beauséjour (près de Sackville, N.-B.). Brossard se livra à des escarmouches contre l’envahisseur et, au cours d’une campagne, il captura un officier anglais. Racontant cet incident, l’officier français Louis-Thomas Jacau de Fiedmont témoigna que Brossard était reconnu comme l’un des plus braves et des plus entreprenants parmi les Acadiens. Le 16 juin, jour même de la capitulation du fort, il poussa l’audace jusqu’à attaquer le camp anglais avec 60 hommes, Français et Indiens, ne perdant qu’un seul homme. Deux jours plus tard, muni d’un sauf-conduit, il alla trouver le colonel Robert Monckton, se proposant d’agir comme médiateur entre les Anglais et les Indiens, à la condition qu’on lui accorde l’amnistie ; Monckton consentit à cet arrangement, moyennant toutefois l’approbation du gouverneur Charles Lawrence. Lors de la déportation des Acadiens, Brossard et sa famille se retirèrent probablement dans les bois. Il est possible qu’il se soit uni, ainsi que les autres chefs de famille de la région, à Charles Deschamps de Boishébert pour résister à un détachement anglais venu ravager Chipoudy et Petitcodiac en septembre 1755. Peu après, Brossard, sous les ordres du gouverneur, Pierre de Rigaud de Vaudreuil, arma un petit corsaire et réussit à faire quelques prises dans la baie Française (baie de Fundy). Secondé par ses quatre fils et les Acadiens réfugiés le long de la rivière Petitcodiac, il continua de harceler les forces anglaises. Ce fut peut-être à l’occasion d’une rencontre avec les troupes commandées par George Scott, venues dévaster la région de Petitcodiac en novembre 1758, qu’il fut blessé à un pied, ce qui l’obligea à s’éloigner pour un temps du côté de la rivière Miramichi. Quelques Acadiens résistaient encore aux autorités anglaises en 1761 après la chute de Québec et de Louisbourg, île du Cap-Breton. En août 1761, William Forster, colonel anglais, écrivait au général Jeffery Amherst : « ces gens sont ancrés dans leur opiniâtreté à cause d’un certain Beausoleil [...] et de l’un ou l’autre qui se sont rendus tellement odieux aux Anglais qu’ils sont conscients du traitement qui les attend s’ils viennent à tomber entre nos mains ». En novembre, Brossard était réduit à la famine et il ne lui restait plus qu’à se rendre, ce qu’il fit avec un groupe d’habitants en se livrant au colonel Joseph Frye, commandant du fort Cumberland, l’ancien fort Beauséjour. L’année suivante, en octobre, Brossard et sa famille figurent au nombre des prisonniers détenus au fort Edward (Windsor, N.-É.). Envoyés par la suite à Halifax, ils y furent gardés en captivité jusqu’au traité de Paris en 1763. Plus tard la même année, Brossard fut appréhendé à Pisiquid (Windsor) et trouvé en possession d’une lettre écrite par l’ambassadeur de France à Londres dans laquelle les Acadiens étaient sollicités de se retirer en France. Amené de nouveau à Halifax devant le conseil du gouverneur, il ne fut mis en liberté que l’année suivante ; c’est alors que, selon toute apparence, il nolisa une goélette pour se rendre avec d’autres Acadiens vers Saint-Domingue (île d’Haïti). Le climat ayant eu raison de beaucoup d’entre eux, Brossard aurait, au début de 1765, conduit en Louisiane, ceux qui restaient. Le 8 avril 1765, à La Nouvelle-Orléans, Charles-Philippe Aubry, commandant de la Louisiane, nomma Joseph Brossard capitaine de la milice et commandant des Acadiens de la région des Attackapas, laquelle comprenait, entre autres, les paroisses Saint-Landry, Saint-Martin et Lafayette. Décédé quelques mois plus tard, Brossard était inhumé, le 20 octobre, au camp Beausoleil, près du site actuel de la ville de Broussard, à quelques milles au sud de Lafayette. C. J. d’Entremont Source : APC, MG 9, B8, 24 (Registres de Saint-Jean-Baptiste du Port-Royal) (le registre original pour 1702–1728 est conservé aux PANS et celui de 1727–1755 aux Diocesan Archives, Yarmouth, N.-É), pt.i, p. 222. The siege of Beauséjour in 1755 ; a journal of the attack on Beauséjour, written by Jacau de Fiedmont […], J. C. Webster édit. (« N. B. Museum, Historical Studies », 1, Saint-Jean, 1936), 41.— Knox, Historical journal (Doughty), I, app., 3s.— Mémoires sur le Canada, depuis 1749 jusqu’à 1760.— Northcliffe coll.— N. S. Archives, III – Les papiers Amherst, La Société historique acadienne (Moncton), 27 cahier (1970) : 304, 307.— Arsenault, Hist. et généal. des Acadiens.— Antoine Bernard, Histoire de la Louisiane de ses origines à nos jours (Québec, [1953]), 157, 158, 410.— D. J. Le Blanc, The true story of the Acadians [...] ([Lafayette, Louisiane], 1932), 65–67.— Murdoch, History of Nova-Scotia, II : 117, 314, 431.— J. C. Webster, The forts of Chignecto ; a study of the eighteenth century conflict between France and Great Britain in Acadia (s.l., 1930), 55, 71, 87, 113. © 2000 Université Laval/University of Toronto Source document : Dictionnaire biographique du Canada en ligne, Bibliothèque nationale du Canada et archives nationales du Canada http://cyberacadie.com/index.php?/deracinement_biographie/Joseph-Brossard-Broussard-dit-Beausoleil.html | Broussard dit Beausoleil Joseph (I9287)
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2574 | Joseph et Anselme, le deuxième de ce nom, sont jumeaux | Dubé Joseph (I6940)
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2575 | JOURDAIN Marguerite Fille de Claude Jourdain et de Marguerite De la Haye Baptisée le 12 novembre 1648 à Notre-Dame du Bois-Robert 76590 Seine-Maritime, archevêché de Rouen, en Haute-Normandie Voir acte de baptême Décédée le 19/05/1720 à St. Sulpice. 2 mariages 1)DELPESCHE Bernard dit Belair Né en 1641(rec.1681), il était le fils de feu Jean Delpesche et de d’Antoinette Sainte-Jeanne (Langlois) de Jeanne Tesseranne (Jetté) du village de Saint-Anthonny, paroisse de Tonnac, 81170; Tarn, Midi-Pyrénées. Soldat du régiment, Cie Salière Il quitte Québec pour le Richelieu et est confirmé à Montréal en mai 1666. Il contracte à Montréal devant le notaire Basset un contrat de mariage le 25 octobre 1667, un an avant le départ des troupes, avec Marguerite Levaigneur. Ce contrat est annulé le 22 novembre suivant. Le 23 novembre 1667, soit une journée plus tard, il établit un nouveau contrat de mariage en date du 23/11/1667 devant le même notaire Basset avec Marguerite Jourdain Mariage le 25 novembre 1667 à Montréal. Voir acte de mariage Ce dernier décède le 9 décembre 1687 à Repentigny. Elle eut 9 enfants avec Bernard Delpêche-Bélair 1) Marie N : 02/02/1670 Montréal D : 04/08/1691 Repentigny 2)Catherine B : 19/04/1672 Boucherville D : 06/10/1716 Repentigny 3)Denise B : 14/11/1673 Repentigny I : 16/03/1676 Repentigny 4)Madeleine B : 27/10/1675 Repentigny I : 16/06/1683 Repentigny 4) Anonyme B : 16/03/1676 Montréal I : 16/03/1676 Montréal Qc 5) Marguerite, N° 1301 N : 17/01/1678 Pointe -aux-Trembles Mtl D : 07/01/1748 Saint-Sulpice 6) Jeanne B : 17/01/1678 Pointe -aux- Trembles Mtl I : 07/01/1748 Saint-Sulpice 7) Anonyme B : 17/03/1681 Repentigny I : 17/03/1781 Repentigny 8) Jean-François B : 28/07/1682 Repentigny D : 01/12/1760 St Sulpice 9) Jean-Baptiste B: 10/07/1685 Repentigny 2) MAGEAU Louis dit Maisonseul . Il est né vers 1645 en la paroisse St Martin de St Maixent ( à ce jour St Maixent l' école.) 79400; Deux sèvres; Poitou Charentes. Il était le fils d’Abraham Mageau et de Jaquette de la Veau, de la paroisse St-Martin à Saint-Maixent, ( à ce jour St Maixent l' école.) 79400; Deux sèvres; Poitou Charentes. (Poitou) . Soldat du régiment ,Cie La Fouille Elle épouse en deuxième noces, un ancien soldat de la compagnie La Fouille, Louis Mageau (Mailhot pour Dumas et Maillou ou Majot pour Drouin) dit Maisonseule. (Contrat du 29 décembre 1688, not. Fleuricourt). Mariage à Repentigny le 8 janvier 1689, Voir acte de mariage Ils eurent trois enfants : 1) Denise N : ca ../../1690 D : 09/01/1718 St François-de-Sales 2)Pierre B : 31/03/1692 Lachenaie Qc ? 3) Louise N: ca 1698 D : 01/01/1718 St François de Sales Louis Mailhot ou Mageau décède le 17 janvier 1700 à Repentigny. Marguerite Jourdain décède à Saint-Sulpice le 19 mai 1720. Couple avec 3 enfants. (Tanguay: vol.1, p.177, 404; Jetté, p.324, 750; Drouin, vol.1, p.373, 884; Sulte, Hist.5, p.65(2); Reg. de Montréal 25 novembre 1667; Not. Basset, 25 octobre 1667; Dumas, p.264; Landry, p.328; Larin. p.256, #468; R.M., Le régiment de Carignan, p.86; DBAQ, t2, p.58-59; Langlois, p.293)Jocelyne Nicol Quillivic http://www.migrations.fr/700fillesduroy_3.htm | Jourdain Marguerite (I12703)
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2576 | Julienne n'est pas venue au Canada | Baril Julienne (I5165)
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2577 | l est tue par les Iroquois Il arrive en 1635 au Quebec Cite le 9-1-1636 a Trois-Rivieres Commis de la Compagnie des Cent Associes en 1636 et 1640 Fils de Gilles et Denise Dubois | Delaunay (De Launay) Pierre (I8963)
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2578 | L'acte de baptême de Jean Baptiste de donne pas la date de la naissance. Acte de baptême de Jean Baptiste Le Prince Du site Ancestry.ca de LEAD Technologies Inc. V1.01 | Le Prince Jean Baptiste (I3475)
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2579 | L'acte de baptême des registres de Port-Royal est daté du 20 novembre 1720 et donne la naissance et le baptême le 9 juillet 1720. Acte de baptême de Judith Bourgeois Du site Ancestry.ca de LEAD Technologies Inc. V1.01 | Bourgeois Judith (I583)
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2580 | L'acte de baptême ne donne pas la date de la naissance. | Bourgeois Jude (I6153)
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2581 | L'acte de baptême confirme la naissance en mai | Marion Jeanne-Françoise (I5406)
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2582 | L'acte de baptême de Richard donne Thomas, né du premier mariage de William à Émérence Pinet, comme parrain de Richard. | Madgin Joseph Richard (I3858)
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2583 | L'acte de baptême de Véronique donne le prénom de Véronique à sa mère | Savaria Véronique (I7864)
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2584 | L'acte de baptême donne le prénom Sara Elizabeth | Randall Sarah Catherine (I10778)
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2585 | L'acte de baptême spécifie que Catherine et ses parents sont de Varennes. | Brodeur Catherine (I7907)
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2586 | L'acte de ce mariage spécifie que Florent était veuf de Arthémise Thibodeau | Family F3177
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2587 | L'acte de mariage confirme le nom des parents de Damase, Damase et Délima Patenaude qui réside, à ce moment,à Holyoke Massachusetts | Family F4372
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2588 | L'acte de mariage donne " ... et Julie fille mineure de cette paroisse d'autrepart ..." Étant mineure en 1827, Julie est née après 1800. Comme l'âge de la majoritée était de 21 ans à cette époque, Julie est née après 1806. "fille mineure de la paroisse" veut possiblement dire qu'elle était illégitime, sous la garde de l'église. | Tapin (Laprise) Julie (I6217)
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2589 | L'acte de mariage donne le nom de famille de Moysan à Ursule. C'est probablement le bon mariage 1) C'est le même lieu que le mariage de leur fille Louise 2) C'est en présence de deux frères, Pierre et Ignace, qui sont aussi des enfants de Étienne Moisan et Félicité Bonhomme. | Family F2452
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2590 | L'acte de mariage donne le nom de famille Larose en marge mais Deguire dans le texte, même nom de famille que son père Augustin. De plus, il n'y a pas de prénom pour Émilie. | Family F344
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2591 | L'acte de mariage donne le prénon de "Marie Angélique" et l'acte de sa fille Françoise donne "Marie Louise" | Family F985
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2592 | L'acte de mariage entre Simon et Élizabeth nous dit que les parents d'Élizabeth, Charles Raymond et Magdeleine Sincennes, sont tous deux natifs de l'Acadie | Family F3091
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2593 | L'acte de mariage indique que le père de Léandre, Louis Tudelle, est "... cultivateur de Rimouski, District de Québec et de défunte Marie Proux" | Family F5725
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2594 | L'Acte de mariage le 19 Août 1805 entre son fils Joseph et Elizabeth Bousquet le dit décédé | Bourgeois Joseph (I656)
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2595 | L'acte de mariage mentionne que les parents de Théophile sont de Ste-Martine | Family F4807
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2596 | L'acte de mariage ne donne pas le nom de famille de l'épouse | Family F2474
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2597 | L'acte de sépulture de porte que le nom Modeste Malo agé de 53 ans sans autre référence | Ayet Modeste (I7816)
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2598 | L'acte de sépulture indique que Clérina est décédée à la naissance d'une fille. | Dobson Clérina (I7457)
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2599 | L'acte de sépulture se trouve dans la page opposée du registre qui contient son acte de baptême | Laberge Joseph Thomas Alphonse Ernest (I13392)
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2600 | l'Acte de son mariage en 1805 avec Elizabeth Bousquet lui donne l'âge de 27 ans | Bourgeois Joseph (I4094)
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