Notes
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# | Notes | Linked to |
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2651 | le père absent lors du baptême | Cormier Isaac Dieudonné (I5205)
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2652 | Le père de Charles est Jean Baptiste Langlois dit Lachapelle | Family F3138
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2653 | Le père de Louise serait Étienne Bonnet, le premier épux de Jeanne mais Louise a été baptisé sous le nom de famille du 2ième époux de Jeanne | Péladeau Bonnet Louise (I9781)
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2654 | le père, Jean Baptiste, était absent lors du baptême | Canti Marie "Évelina" Malvina (I4498)
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2655 | Le prénom de Odesse est un estimé du prénom difficile à lire | Ayet Marie Odesse (I7978)
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2656 | Le prénom est difficile à lire et est possiblement Judith | Ayet Dit Malo Marie Julie (I7832)
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2657 | Le prêtre Dorval a écrit soixante quatorze au lieu de quatre vingt quatorze | Malo Marie Josephte (I7919)
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2658 | Le recensement a eu lieu juste avant la naissance de Pierre Émile, le premier enfant de Pierre et Léonie, né le 19 août 1901. | Family F33
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2659 | Le recensement de 1871 lui donne le prénom de Henri | Taillefer Honoré Ernest (I8095)
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2660 | Le recensement de 1901 liste un Joseph, né le 4 janvier 1896, ce qui lui donnerait 58 ans et 11 mois en novembre 1954, mentionné sur la carte mortuaire. | Guilbault Joseph Édouard (I86)
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2661 | Le registre dit clairement : "Etienne, né depuis environ 7 ans (sic), de Michel Boucher journalier en cette paroisse et de Marie Thybau" | Boucher Étienne (I11803)
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2662 | Le registre identifie l'acte en marge avec un "B" comme étant le baptême d'Adolphe même si c'est en fait son mariage à Mathilde Tousignan | Family F2459
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2663 | Le registre ne donne pas la date de la naissance | Breaux Ambroise (I3407)
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2664 | Le registre spécifie que c'était la réhabilitation du mariage. Acte de mariage entre Joseph Abel Bourgeois et Marguerite Doucet Du site Ancestry.ca | Family F181
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2665 | Le texte de l'acte de mariage entre leur fils Maximilien et Marie Anne Rusconi laisse croire qu'ils sont d'Italie car leur paroisse d'origine semble être de Milan. | Family F2482
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2666 | Le texte de l'acte spécifie que Charlotte est mineure et suite au décès de ses parents, son tuteur M Thomas Delvechio a autorisé le mariage. | Family F2477
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2667 | Le troisième recensement du Canada inclut sept provinces - Colombie-Britannique, Manitoba, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Ontario, Île-du-Prince-Édouard et le Québec - ainsi que les Territoires du Nord-Ouest, qui à cette époque comprenaient les districts d’Alberta, Assiniboia-Est, Assiniboia-Ouest, Saskatchewan et la Rivière Mackenzie. Le recensement fournit de nombreux détails sur les personnes et les familles, notamment : le nom, le sexe, l’âge, le lien de parenté avec le chef de ménage, la situation de famille, le lieu de naissance, la religion et la profession. | Source (S231)
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2668 | LE VASSEUR, NAZAIRE (baptisé Louis-Nazaire-Zéphirin), journaliste, fonctionnaire, militaire, musicien et écrivain, né le 6 février 1848 à Québec, fils de Zéphirin Levasseur et de Madeleine Langevin ; le 5 juin 1872, il épousa dans cette ville Phédora Venner, et ils eurent quatre enfants, notamment Irma, première femme médecin canadienne-française de la province de Québec ; décédé le 8 novembre 1927 à Québec. Issu d’un milieu commerçant dont l’hospitalité était « large et abondante », ainsi qu’il le dit lui-même dans ses Réminiscences d’antan, Nazaire Le Vasseur grandit dans une atmosphère propice aux arts : son père, alors directeur d’un chantier de construction navale et amateur de musique, fait de sa maison un « rendez-vous d’intellectuels » et reçoit des personnalités très en vue, dont le négociant Abraham Hamel, frère du peintre Théophile Hamel, la famille du notaire Louis-Édouard Glackmeyer, le pianiste Charles Sabatier [Wugk] et le compositeur et organiste français Marie-Hippolyte-Antoine Dessane. Aîné d’une famille de trois enfants, Le Vasseur est initié dès l’âge de cinq ans à la musique par Dessane et, au fil des années, il étudiera le piano, le violoncelle, le violon, la flûte et l’orgue. Le Vasseur fait ses études classiques au petit séminaire de Québec de 1857 à 1866 puis il entre à la faculté de médecine de l’université Laval, mais, en raison de difficultés financières familiales, il doit quitter l’établissement au bout de trois ans, comme il le précise, même si l’on ne le retrouve pas parmi les élèves inscrits en 1868–1869. Il collabore alors à l’Événement, récemment fondé par Hector Fabre ; il en est successivement premier reporter, rédacteur adjoint et, enfin, rédacteur en chef jusqu’en 1878. Son appartenance au monde du journalisme lui permet de fréquenter des personnalités politiques, qu’il conseille ou appuie au moment de leurs campagnes électorales, comme ce sera le cas pour Wilfrid Laurier en 1877. Son mariage en 1872 avec la fille d’un banquier confirme sa réussite sociale. Le 2 octobre 1878, Le Vasseur entre au service du gouvernement fédéral à titre d’inspecteur du gaz et des compteurs à gaz ; il occupera ce poste jusqu’en 1915. Parallèlement, il continue de s’intéresser au journalisme. Il fonde, en avril 1883, un journal du soir, la Presse, mais les fonds manquent et la publication est suspendue après la première livraison. Onze ans plus tard, il lance avec Émile La Salle la Revue commerciale, qui sera remplacée dès août 1894 par la Semaine commerciale, à laquelle il collabore jusqu’en 1904. Il signe aussi régulièrement des articles pour l’Événement. Ses nombreuses activités ne l’empêchent pas de s’engager comme milicien dans le 9e bataillon des Voltigeurs de Québec et de participer en 1885 à la campagne du Nord-Ouest contre les Métis de Louis Riel, ce qui lui vaut, à son retour, le grade de major. Entre 1898 et 1913, Le Vasseur sera nommé consul, à Québec, de plusieurs pays d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, dont le Nicaragua, le Guatemala, le Brésil et le Chili. Le Vasseur a fait partie, en 1877, des membres fondateurs de la Société de géographie de Québec. Homme d’une « insatiable curiosité intellectuelle » selon le Bulletin de la société, il signe entre 1883 et 1921 près d’une cinquantaine d’articles sur des sujets aussi diversifiés que le lac Winnipeg, le bassin du grand fleuve Mackenzie, la comète de Halley, la Russie. Secrétaire archiviste adjoint de la société en 1880, vice-président en 1889, Le Vasseur sera nommé président honoraire en 1896, « en reconnaissance de services rendus à la Société », et président de 1898 à 1905. Dès 1895, il se lie avec le capitaine Joseph-Elzéar Bernier et l’encourage, par l’entremise de la Société de géographie de Québec et au moyen de campagnes de financement, à réaliser entre 1904 et 1911 ses expéditions dans l’Arctique. Le Vasseur est également un des membres fondateurs du Cercle des Dix à Québec en 1893 ; cette société regroupe, notamment, des littéraires, des musiciens et des journalistes tels que Napoléon Legendre, Narcisse-Henri-Édouard Faucher de Saint-Maurice et James MacPherson Le Moine. Le Vasseur participe aussi à la vie musicale de Québec. Il succède à Dessane comme organiste à Saint-Roch de 1873 à 1881. Aux côtés de son maître, il a contribué à fonder en 1869 la Société musicale Sainte-Cécile de l’église Saint-Roch. À la tête de ce chœur de 1873 à 1885, il dirige des messes de Haydn, de Rossini et de Gounod, ainsi que l’opéra la Perle du Brésil de Félicien David. Sa femme, cantatrice, prend part comme soliste à certains de ces concerts. Secrétaire de la Société harmonique en 1870, Le Vasseur est l’année suivante cofondateur et violoniste du Septuor Haydn, qui deviendra en 1903 le noyau de la Société symphonique de Québec (le futur Orchestre symphonique de Québec) [V. Joseph Vézina]. Il sera entre 1903 et 1907 contrebassiste de ce nouvel orchestre. À sa mort, ses collègues regretteront, à l’occasion d’une de leurs assemblées, l’« ouvrier de la première heure qui s’est beaucoup dépensé pour le succès de [la] société ». En 1880, Le Vasseur succède à Calixa Lavallée comme chef d’un chœur appelé le Quatuor vocal de Québec et agit la même année comme secrétaire du comité chargé d’organiser à Québec les fêtes de la Saint-Jean-Baptiste au cours desquelles sera créé l’Ô Canada. En 1887, il est nommé membre de l’Académie de musique, qui cherche, notamment, à développer l’intérêt pour la musique et à réglementer davantage les études musicales. Il a donc marqué par sa présence les organismes musicaux les plus en vue de Québec. Bien que sa vue se détériore sérieusement à compter de 1908, Le Vasseur continue à collaborer, avec « deux paires de lunettes sur le nez » selon le chef de l’information de l’Événement Edmond Chassé, au Bulletin de la Société de géographie de Québec. Le Vasseur songeait depuis 1881 à écrire une histoire de la musique à Québec et, entre 1919 et 1922, son projet se transforme en une quarantaine d’articles publiés dans la revue la Musique : même s’ils comportent certaines lacunes et inexactitudes, relevées par la musicologue Vivianne Émond, ces documents, agrémentés de souvenirs personnels, ont longtemps servi de référence aux historiens de la musique québécoise, surtout en ce qui concerne le xixe siècle. En 1925, il rédige la biographie de son ami le chirurgien Ferdinand-Philéas Canac-Marquis, dans laquelle, toutefois, l’aspect anecdotique et les récits de voyages du médecin l’emportent sur sa contribution à la science. Deux autres ouvrages, Têtes et Figures et Réminiscences d’antan, parus en 1920 et 1926 respectivement, témoignent d’une belle plume et d’un sens de la narration qui, dans le cas de Têtes et Figures, mêle avec finesse l’imagination aux coutumes canadiennes-françaises. Nazaire Le Vasseur meurt dans une modeste pension du Vieux-Québec. Ses funérailles, célébrées avec solennité à la basilique Notre-Dame de Québec en présence de nombreux dignitaires, magistrats, militaires et musiciens, témoignent du prestige et de l’influence dont jouissait cet érudit passionné et attachant. Pendant près d’un demi-siècle, il a été omniprésent dans la vie culturelle, sociale et politique de Québec. Homme d’une grande culture et d’une grande curiosité d’esprit, à la plume facile, il a été de tous les comités, il a participé à la fondation de bon nombre d’associations et il a tissé autour de lui tout un réseau de relations qui partageaient ses affinités et ses passions. Après avoir baigné dès son enfance dans une atmosphère artistique, il n’a jamais cessé de se consacrer à la musique et, tout en demeurant un amateur en ce domaine, il a contribué, comme interprète, comme historien et comme chroniqueur, à poser les jalons d’une vie musicale dont la postérité peut lui être reconnaissante. Irène Brisson Source : Dictionnaire biographique du Canada, volume 15, de 1921 à 1931, Québec, Presses de l’Université Laval, 2005, pp. 653-655 http://www.levasseur.org/fr/Biographies/Contemporaines 13 juin 2016 | Levasseur Nazaire (I12802)
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2669 | Le X encerclé à côté du nom de Dora indique que c'est elle qui a répondu aux questions de l'énumérateur | Family F1304
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2670 | LEBLANC, dit Le Maigre, JOSEPH, fermier, trafiquant, patriote acadien, né le 12 mars 1697 aux Mines (près de Wolfville, Nouvelle-Écosse), fils d’Antoine Leblanc et de Marie Bourgeois ; il épousa, le 13 février 1719, Anne, fille d’Alexandre Bourg*, dit Belle-Humeur, et Marguerite Melanson, dit La Verdure ; décédé le 19 octobre 1772 à Kervaux, dans la paroisse du Palais, Belle-Île, France. On connaît si peu de chose concernant la jeunesse de Joseph Leblanc qu’il est difficile d’expliquer ce qui l’amena à appuyer les efforts répétés des Français pour reconquérir l’Acadie dans les années 1740. Il fut l’un des rares patriotes – à peine une douzaine – à supporter activement les Français à cette époque, suivant fidèlement en cela les traces de son contemporain, Joseph-Nicolas Gautier, dit Bellair. Leblanc joua un rôle important dans l’expédition menée par François Du Pont* Duvivier contre Annapolis Royal, N.-É., à la fin de l’été de 1744. Pour Leblanc, cette expédition était avant tout une entreprise commerciale : dans une pétition, présentée quelques années plus tard, il prétendit que l’expédition lui avait coûté 4 500#, quoique les rapports qui subsistent révèlent que les frais ne s’élevaient qu’à 1 200#. Les chiffres de Leblanc peuvent fort bien avoir été grossis jusqu’à inclure les dépenses que lui avait occasionnées le transport des dépêches de Duvivier à Louisbourg, île Royale (île du Cap-Breton), durant le siège d’Annapolis Royal en septembre. Le 22 du même mois, Duvivier lui ordonna de se rendre à Louisbourg en toute hâte, « sous peine d’être livrez à la discretion des sauvages ». Leblanc ne fut de retour que le 18 octobre, date à laquelle Duvivier se trouvait à Beaubassin (près d’Amherst, N.-É.), après avoir levé le siège. Ignorant la menace de Duvivier, Leblanc avait profité de l’occasion pour amener des moutons et du bétail en vue de les vendre à Louisbourg. Au lendemain de l’expédition, les autorités de la Nouvelle-Écosse recherchèrent les Acadiens qui avaient collaboré avec les Français. Leblanc refusa d’abord de comparaître devant le Conseil de la Nouvelle-Écosse, « puisque les nombreux reproches qui lui étaient faussement imputés lui faisaient peur ». Lorsqu’il se laissa finalement convaincre de venir témoigner, il se déclara innocent de toute faute, « n’etant pas eclairey a faire Distinction de temps de Guerre d’avec ceux d’une paix paisible ». Ses explications semblent, malgré leur invraisemblance, avoir satisfait le conseil, car la seule chose qu’on exigea de lui fut qu’il dépose £100 comme gage de bonne conduite. Quelques mois plus tard, à l’été de 1745, on retrouve Leblanc sérieusement engagé dans une nouvelle entreprise des Français menée par Paul Marin de La Malgue. Capturé, puis inculpé, il fut condamné à six mois d’incarcération « dans un affreux cachot, chargé de chaînes ». En février 1746, il réussit à s’évader, juste à temps pour appuyer l’imposante flotte française, commandée par le duc d’Anville [La Rochefoucauld], laquelle avait été envoyée avec mission de recapturer l’Acadie et l’île Royale. Aux Mines, Leblanc rassembla 230 têtes de bétail pour approvisionner la flotte. Cependant, au moment où ses bestiaux arrivèrent à Annapolis Royal, la malheureuse expédition avait connu une fin néfaste. Ayant perdu 2 000# dans sa tentative de spéculation et se trouvant de plus en plus à la merci des autorités anglaises, Leblanc abandonna ses biens aux Mines et s’enfuit vers la région lointaine de Beaubassin. Lorsque l’île Royale fut rétrocédée à la France en 1749, Leblanc s’établit avec sa famille à Port-Toulouse (St Peters). Vers la fin de 1750, Jacques Prévost* de La Croix, commissaire ordonnateur de la colonie, le décrivit comme étant « réduit à la mendicité ». Il reçut pendant trois ans des rations de la couronne ; en 1752, il ne pouvait guère prétendre à plus qu’une petite embarcation, 25 têtes de bétail et 16 volailles. Après la chute de Louisbourg en 1758, Leblanc s’enfuit à Miquelon. Peu après la mort de sa femme, le 13 juillet 1766, il partit pour Belle-Île-en-Mer (dép. du Morbihan, en France), s’établissant dans le village de « Kervaux » avec sa famille, parmi d’autres réfugiés acadiens. Il demeura probablement en France jusqu’à sa mort en 1772. Bernard Pothier AD, Morbihan (Vannes), État civil, Le palais, 20 oct. 1772. AN, Col., C11B, 29, ff.211–212v., 180v. ; Col., C11D, 8, ff.109–111v., 283–284 ; Col., E, 169 (dossier Du Pont Duvivier) ; Section Outre-Mer, G1, 413/A (4 juill. 1766).— APC, MG 9, B8, 12 (13 févr. 1719).— Coll. doc. inédits Canada et Amérique, II : 170, 175.— N.S. Archives, IV, 50, 52, 55, 56–60, 62–64, 76, 78.— RAC, 1905, II, ire partie, 21.— Arsenault, Hist. et généal. des Acadiens, 673. http://www.biographi.ca/fr/bio/leblanc_joseph_3E.html 16 Septembre 2016 | Leblanc dit Le Maigre Joseph (I12997)
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2671 | Léon Mathieu et Philomène Mathieu sont mariés | Jodoin Joseph Léon Adrien (I5338)
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2672 | Les archives civiles indiquent que Lemire dressa, en novembre 1664, un devis pour la construction du presbytère de Québec ; qu’il préparait, le 5 avril 1664, en collaboration avec Paul Chalifour (tous deux portent le titre de « charpentiers »), un procès-verbal relatif à une maison située à Coulonge et qu’il la livra le 21 juin 1664. Toutefois, la mention la plus importante de Lemire reste celle de charpentier affecté au projet d’agrandissement de la cathédrale de Québec entrepris en 1684. Il a signé un contrat pour ces travaux le 4 janvier 1684, et on lui attribue la construction, « en chêne de Batiscan », d’un clocher pour la tour sud de la cathédrale, sous la direction de Claude Baillif. Comme il mourut peu après avoir commencé le travail à la cathédrale, on présume que Lemire construisit le clocher au sol en vue de son installation future ; peut-être ce travail fut-il terminé après sa mort par l’un de ses nombreux fils. (Source: Dictionnaire biographique du Canada en ligne) | Lemire Jean (I5712)
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2673 | Les Bourgeois de descendance acadienne ne remontent qu’à une seule souche, celle de Jacques Bourgeois, d’origine contestée, mais qui selon une théorie serait originaire de La Ferté- Gaucher, une commune française située dans le département de Seine-et-Marne dans la région Île-de-France où il serait né le 7 Janvier 1621. Jacques (appelé aussi Jacob) choisit une carrière médicale et est qualifié de chirurgien militaire. Le 6 juillet 1641, il est arrivé à Port-Royal sur le St-François en provenance de La Rochelle en France avec Menou d'Aulney, gouverneur de l'Acadie, à la tête d'une flotte de quatre navires. Deux ans plus tard, en 1643, Jacob épouse à Port-Royal Jeanne Trahan née vers 1629, à Bourgueil dans la province d'Anjou, en France. Elle est venue en Acadie en 1636 avec son père, Guillaume Trahan, sa mère, Françoise Corbineau et une soeur dont le prénom est inconnu. Jeanne n’a que 14 ans lors de son mariage avec Jacques. Cette union est la souche de la famille acadienne des Bourgeois d’aujourd’hui. En 1645, à la mort d'Isaac Pesseley, le major de la garnison de Port-Royal, le beau-frère de Jacob, Germain Doucet, dit Laverdure, l'homme de confiance du gouverneur d'Aulney, est nommé major de la garnison, tandis que Jacques Bourgeois devient "lieutenant de la place". Vers 1646, M. de Menou d'Aulney concède à Jacob une île appelée « Île aux Cochons », située dans la rivière Dauphin (aujourd'hui la rivière Annapolis) en amont de Port Royal. Au mois d'août 1654, le major Sedgewick, " sans aucun ordre de ses supérieurs " et malgré que la France et l'Angleterre soient en paix, arrive dans le bassin de Port-Royal, à la tête d'une armée de 500 soldats anglais. Il arrive du fort Saint-Jean où il a fait prisonnier Charles de Saint-Étienne de La Tour, gouverneur de l'Acadie. Après plusieurs jours de siège, Germain Doucet doit capituler. Charles de Saint-Étienne est amené prisonnier en Angleterre. Les Anglais ne laissent aucune présence militaire ou civile à Port Royal suivant cette conquête et en 1667, la colonie est cédée de nouveau à la France, bien que les Français ne prennent la possession qu'en 1670. Dans l'intérim, les Acadiens se régissent sous un syndic géré par Guillaume Trahan, le beau-père de Jacob. Le recensement de 1670 indique que Jacques et Jeanne avaient dix enfants; 3 fils, Charles marié (25), Germain (21) et Guillaume (16), et 7 filles ; Jeanne mariée (27), Marie (19), Marguerite (13), Françoise (12), Anne (10), Marie (7) et Jeanne (4). Dans ce recensement, Jacques était l'habitant le plus riche de Port Royal. Charles, leur fils aîné, avait épousé Anne Dugas (du Gast) et ils avaient une fille, Marie. La fille aînée de Jacques et de Jeanne était mariée à Pierre Sire (CYR) et ils ont un fils, Jehan (Jean). Jacob devient par la suite cultivateur-marchand. Ses bateaux suivent la côte de la baie française (Baie de Fundy) pour faire le commerce avec les Indiens Micmac et la côte de la Nouvelle Angleterre pour faire le commerce avec les Anglais. En 1671, suite à la prise de possession de l’Acadie par la France, Jacques, aidé par ses trois fils et son beau-fils, Pierre Sire, et son futur beau-fils, Jean Boudrot, fondent la « colonie Bourgeois » dans l’isthme de Chignectou, qui deviendra plus tard Beaubassin, quand la France accordera à Vallière de Beaubassin, la Seigneurie de Beaubassin. La colonie était près de la frontière séparant aujourd’hui le Nouveau-Brunswick actuel de la Nouvelle-Écosse, non loin de la ville d’Amherst Nouvelle-Écosse. Jacques et son fils, Guillaume, retourne vivre à Port Royal après l'établissement de la Seigneurie de Beaubassin, bien qu'ils aient gardé des fermes dans la nouvelle colonie. Ces deux autres fils, Charles et Germain, restent à Beaubassin avec leurs familles. En 1686, Jacques et Jeanne aménagent définitivement à Beaubassin pour vivre avec leur fils, Germain. Le 15 octobre 1687, Jacques Bourgeois signe un document avec d'autres Acadiens, certifiant les travaux de l'ex-gouverneur d'Aulnay dans la colonie. Au début de septembre 1696, le colonel anglais Benjamin Church de Boston attaque Beaubassin, qui n’est pas défendu par les Français. Germain, le fils ainé de Jacques, est enrôlé pour négocier avec le contingent anglais de Boston. Germain obtient une promesse de Church que les résidents seraient laissés en paix, mais Church renonce à sa promesse et les soldats mettent en flamme la plupart des maisons de la région mais non celle de Germain. Les Acadiens de Beaubassin se sauvent dans la forêt avoisinante. Cependant, les Anglais, respectant les capacités des Acadiens qu’ils reconnaissent comme tireurs d'élite, refusent de chasser les Acadiens hors du champ de tir des canons de leurs bateaux. Au recensement acadien de 1686, Jacques Bourgeois a 67 ans et Jeanne Trahan en a 57. Au recensement de 1698, Jacob Bourgeois a 82 ans et Jeanne Trahan en a 72 et ils demeurent chez leur fils, Germain Bourgeois, à Beaubassin. Au recensement de 1700, ils ne sont pas mentionnés. Ils doivent être décédés. En 1702, le commandant du fort de Port Royal dans un rapport officiel fait allusion au défunt Jacques Bourgeois. Des dix enfants de Jacob et de Jeanne, deux fils nous lient à la grande famille des Bourgeois. Le premier, Charles né vers 1646, épouse Marie Anne Dugas, fille d’Abraham Dugas et Marguerite-Louise Doucet, entre 1668 et 1670. Ils eurent quatre enfants. L’autre Germain, né vers 1650, épouse Marguerite Béliveau, fille d’Antoine Béliveau et Marie-Andrée Guyon, en 1673. Ils eurent trois enfants. Elle décède en 1680 et Germain épouse en 1682 Magdeleine Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite-Louise Doucet, née en 1663. Ils eurent dix enfants. Jacob et Jeanne eurent un troisième fils, Guillaume, né vers 1655. Il épousa Marie Anne D'Aprendestiguy, dit de Martingnon, vers 1686. Ils n’eurent qu’une fille, Jeanne vers 1687. C’est donc les fils de Charles et Germain Bourgeois qui continuent la descendance de la famille Bourgeois. Tiré de http://bourgeois.cma2014.com/fr/genealogie ______________________________________________________________________ | Bourgeois Jacques (I9)
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2674 | Les Bourgeois en Acadie ne remontent qu'à une seule souche. Leur ancêtre Jacques, né en France vers 1619, est arrivé dans la colonie en qualité de chirurgien en 1641 sur le navire Le Saint-François. Environ deux ans plus tard, il épousa Jeanne Trahan, fille de Guillaume Trahan et de Françoise Corbineau. Il s'établit à Port-Royal. En 1672, il envoya des colons à Beaubassin, dont il est considéré comme le fondateur. Son fils Charles, né vers 1646, convola vers 1668 avec Anne Dugas, fille d'Abraham Dugas et de Marguerite Doucet. Charles et Anne se sont installés à Beaubassin. Charles Bourgeois fils, né vers 1672, s'est marié vers 1692 à Marie Blanchard, fille de Guillaume Blanchard et d'Huguette Gougeon. Pierre Bourgeois, né vers 1699, était le second fils de Charles et de Marie. Il épousa, à Beaubassin, le 18 août 1722, Marie-Françoise Cormier, fille de Pierre Cormier et de Catherine LeBlanc. Le sixième de leurs huit fils, Joseph Bourgeois dit Calotte, est né à Beaubassin le 10 mars 1741. Vers 1764, il épousa Félicité Belliveau, fille de Pierre Belliveau et de Jeanne Gaudet. Ils se sont fixés d'abord à Pisiguit et ensuite à Memramcook où Joseph est décédé le 20 novembre 1833. Ref Stephan White _________________________________________________________________ | Bourgeois Jacques (I9)
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2675 | Les deux fils Georges et Pierre marient deux soeurs Madgin, Eva et Adélina, le même jour, le 1 janvier 1920 | Family F2666
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2676 | Les deux soeurs, Eva et Adélina, marient les deux frères, Georges et Pierre Morin, le même jour, le 1 janvier 1920 | Family F2658
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2677 | Les époux sont dits acadiens | Family F3365
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2678 | Les Goyette sont d'abord des "Goguet" | Family F2462
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2679 | Les noms des parents des époux ne paraissent pas dans l'acte | Family F5748
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2680 | Les parents de Étienne sont Eustache Dumais (décédé) et Louise Laplante Les parents de Louise sont Antoine Azure (décédé) et Marie Louise Frappier | Family F3189
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2681 | Les parents de Marcel seraient Wilfrid et Emerentienne Lévesque | Pauzé Marcel (I6944)
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2682 | Les parents de Michel sont de Beauport "près de Québec" | Family F3229
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2683 | Les parents de Paul, Louis et Marie Crépeau, sont dits de Mascouche | Family F4108
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2684 | Les parents de William sont dit être Richard Madgin et Suzanna Tobman. Cependant, selon les informations que nous avons, Madgin est le nom de la mère et non du père. À son arrivée au Canada, William aurait pris le nom de famille de sa mère. | Family F892
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2685 | les parrain et marraine sont mariés | Jodoin Thomas Joseph Achille (I4918)
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2686 | les parrain et marraine sont mariés | Jodoin Marie "Adélaide" Juliette (I5054)
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2687 | les parrain et marraine sont mariés | Jodoin Antonio Joseph Arsène (I5066)
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2688 | Les registres du Massachussetts confirment que Theodore est né à Worchester Ma. Son père est Joseph S Bushey, boulanger, né à Malone N.Y. et sa mère, Amanda Lafontaine, née au Canada | Boucher Theodore (I3695)
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2689 | Leur mariage a été annulé en 1657 pour cause de bigamie. Jean était déjà marié en France. | Family F1825
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2690 | Lieutenant général civil et criminel de la Prévôté de Québec le 1-5-1667 au 1-6-1703 substitut du procureur général au Conseil Souverain 1670-1674; lieutenant colonel des milices du gouvernement de Québec le 2-6-1672, conseiller au Conseil Souverain le 29-4-1674 au 29-10-1677, codirecteur de la Compagnie du Nord 1682, colonel le 6-6-1690, codirecteur de la Compagnie de la Colonie 1700-1706, premier conseiller au Conseil Souverain le 1-6-1703 à sa mort, subdélégué de l'intendant de Montréal le 10-5-1706; concession de la seigneurie des Récollets à Québec (près de la rivière St-Charles) le 20-1-1662, remise aux Récollets à leur retour le 23-10-1670; concession de la seigneurie de Lotbinière le 3-11-1672, augmentée le 1-4-1685 et 25-3-1693; achat du fief Marsolet (ou Rivière Duchesne) à Charles Damours le 22-2-1686. | Sieur de Lotbinière Chartier René-Louis (I10446)
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2691 | Longitude: 73 34' 12" W Death Surety: 0 Sensitive:0 | Lefebvre Jean Baptiste (I1053)
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2692 | Longitude: 73 34' 12" W Death Surety: 0 Sensitive:0 | Lefebvre Louis (I1055)
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2693 | Longitude: 73 34' 12" W Death Surety: 0 Sensitive:0 | Lefebvre Nicolas (I1059)
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2694 | Longitude: 73 34' 12" W Death Surety: 0 Sensitive:0 | Lefebvre Francois Xavier (I1061)
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2695 | Longitude: 73 34' 12" W Death Surety: 0 Sensitive:0 | Lefebvre Jean Baptiste (I1066)
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2696 | lors du mariage en 1929, Léo résidait dans la paroisse Notre-Dame du Rosaire | Family F2014
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2697 | Louis et Marie ne seraient jamais venu en Nouvelle-France | Family F3353
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2698 | Louiseville Episcopal Church | Family F5137
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2699 | Lucien est veuf d'une Rose Alba B? Le prêtre se nomme Jérôme Marie Jodoin | Family F1928
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2700 | Lydia est veuve de Joseph Ouellet de Fall River États Unis | Family F3728
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