Notes
Matches 301 to 350 of 3,170
# | Notes | Linked to |
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301 | Death Surety: 0 Sensitive:0 | Rivard Marie-Anne (I1808)
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302 | Death Surety: 0 Sensitive:0 | Bourassa Josephte (I1825)
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303 | Death Surety: 0 Sensitive:0 | Samson Marguerite (I1829)
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304 | Death Surety: 0 Sensitive:0 | Baribeau François (I1831)
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305 | Death Surety: 0 Sensitive:0 | Bergeron Jean Teodore (I2066)
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306 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Paul Pablo (I2050)
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307 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Marie Josèphe (I2055)
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308 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Joseph Paul (I2059)
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309 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Jean Baptiste Paul (I2061)
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310 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Constance (I2062)
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311 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Bourgeois Pierre Paul (I2064)
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312 | Death Surety: 1 Sensitive:0 | Autin Alexis (I2072)
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313 | Death Surety: 3 Sensitive:0 | Bourgeois Maurice J. Philippe (I270)
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314 | Death Surety: 3 Sensitive:0 | Bourgeois Marie - Anne (I729)
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315 | Irma Levasseur (1878-1964) Consultez le site : http://irma.levasseur.org Irma LevasseurPédiatre et cofondatrice de l'hôpital Sainte-Justine pour enfants de Montréal Qui était la Dre Irma LeVasseur? On a peu écrit sur cette femme qui a changé l'histoire de la médecine au Québec. Née à Québec, en 1878, dans une famille d'artistes, elle avait pour mère, Fédora Venner, cantatrice, et pour père, Louis-Nazaire LeVasseur, écrivain et journaliste. Elle a reçu l'éducation que toutes les jeunes filles de son âge recevaient à ce moment-là; rien ne laisse penser qu'on l'ait encouragée ou découragée à s'engager dans la voie qu'elle a suivie. Ses études de base terminées, la jeune Irma a dû faire un choix, et elle a décidé de faire carrière en médecine. À l'époque, aucune université canadienne n'acceptait les femmes en médecine. Pour poursuivre ses études, elle a dû s'exiler aux États-Unis. Irma étudie au Minnesota durant environ six ans et y obtient son doctorat en médecine. À son retour au Québec, en 1900, elle doit attendre trois ans avant d'obtenir le droit de pratiquer sa profession. Ce n'est qu'en avril 1903, grâce à un projet de loi privé, qu'elle pourra enfin être admise au Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec et exercer la médecine. Durant cette période d'attente, elle œuvre comme médecin aux États-Unis. Revenue dans son Québec natal, elle est touchée et attristée par le manque de soins dont souffrent les enfants malades. Elle décide donc d'aller approfondir ses connaissances en maladies infantiles en Europe. En 1908, après son séjour outre-mer, elle fait la connaissance de madame De Gaspé-Beaubien avec qui elle fonde l'hôpital Sainte-Justine, où elle met en pratique ses nouvelles connaissances en pédiatrie. En 1915, répondant à un appel à l'aide lancé auprès des médecins canadiens, elle se rend en Serbie où elle passe deux ans à se dévouer et à combattre fatigue, bombes et maladies. Rien n'arrête cette pionnière de la médecine québécoise. En 1918, elle travaille à New York pour la Croix-Rouge. En 1922, de retour au Québec, elle investit ses économies dans la fondation de l'hôpital de l'Enfant-Jésus jusqu'en 1927; insatisfaite de l'administration, elle quitte l'hôpital et fonde, dans les faubourgs de Saint-Jean-Baptiste, sa propre clinique pour enfants handicapés. L'idée lui est venue aussi d'ouvrir une école pour jeunes infirmes qui deviendra la future école Cardinal-Villeneuve. Non seulement Mme LeVasseur avait une passion pour la médecine, mais elle manifestait du talent pour la peinture; elle a été l'une des premières élèves à s'inscrire à l'École des Beaux-Arts à son ouverture, en 1920. Mais toutes ces réalisations se sont déroulées dans l'ombre et le silence. Ce n'est qu'en 1950, lors de son jubilé d'or fêté par le Cercle des femmes universitaires, qu'on a célébré ses accomplissements, son courage et sa persévérance. La Dre Irma LeVasseur est décédée en janvier 1964 sans avoir droit à l'éloge et à la reconnaissance de la presse et de ses pairs. C'est dans la solitude et la pauvreté qu'elle s'éteint, fin quasi pathétique pour une pionnière qui a tout donné pour sa province et son pays ainsi que pour les enfants. Toute sa vie elle aura combattu pour aller au bout de ses rêves, soit ceux d'aider les autres et d'exercer la profession qu'elle aimait tant. On doit sans doute à la Dre LeVasseur l'entrée des femmes québécoises dans les facultés de médecine au Québec et les hôpitaux pédiatriques. Source : http://www.collectionscanada.gc.ca/femmes/002026-408-f.html Autre référence : Site pour demander la reconaissance du travail de Irma Levasseur : http://irma.levasseur.org Radio-Canada a publié un dossier intéressant sur Irma Levasseur dans sa série "De remarquables oubliés". Nous vous invitons à consulter ce site (en français) à cette adresse : http://www.radio-canada.ca/radio/profondeur/RemarquablesOublies/LeVasseur.htm Vous y retrouverez également sous format audio, l'histoire de Irma Levasseur. Cliquez ici pour accéder directement à ce dossier audio. Nous vous invtions également à visiter le site de Mme Pauline Gill, auteure, qui a écrit deux volumes historiques sur Irma Levasseur (www.paulinegill.com). http://www.levasseur.org/fr/Biographies/Contemporaines 13 juin 2016 | Levasseur Irma (I12804)
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316 | M2-JOURDIN Marguerite et MAGEAU (MAJOT) dit Maisonseul Louis 8 janvier 1689 Repentigny, Qc. Fille de Claude et de Marguerite De la HAYE et veuve de feu Bernard DELPESCHE Fils d'Abraham MAJOT de Jacquette de la VEAU Prêtre: BUISSON ptre. Témoins: Monsieur de REPENTIGNY Seigneur dudit lieu (signe) Roc TOUIN Louis MAJAUD (signe) Signe son nom d'une façon différente que sur l'acte. http://www.migrations.fr/ACTESFILLESDUROY/actesfillesduroy_J.htm | Family F5454
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317 | "...épouse de William Madgin de Montréal, décédée la surveille à l'âge de quatre- vingt onze ans. Étaient présents Georges Madgin, fils de la défunte, Thomas Madgin fils de la défunte qui ont signé ..." | Robicheau Sophronie (I3615)
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318 | "Donation" par "François Bibault (Bibeau)", habitant de la côte de Batiscan à "Paul Chalifour" et "Jacquette Archambault", sa femme, lesquels stipulent "pour Jeanne Chalifour", leur fille, mention du "contrat de mariage" entre ledit Bibault et ladite Jeanne Chalifour passé devant le notaire Vachon le 9 octobre 1668. Ledit Bibault étant sur le point de faire un voyage aux Outaouais, il donne en cas de mort tous ses biens meubles et immeubles à sadite femme. == Pierre Disy dit Monplaisir, Gabriel Beauchamp et Jean Bourdon dit Romainville, huissier royal, "sont témoins". - 15 janvier 1669 [Document insinué le 16 avril 1669].- Source : Normes et procédures archivistiques des Archives nationales du Québec, 4e éd., Québec, Ministère des Affaires culturelles, 1992, p. 105 (règle 302).- Pièce disponible sur support numérique et sur le microfilm M65/1.- Pièce provenant des registres des insinuations de la Prévôté de Québec, vol. 1 (Anciennement registres 1, 2 et 3) (1er mars 1667 - 25 septembre 1696), folios 35-35v. - NOUVELLE-FRANCE. COUR DE LA PREVOTE DE QUEBEC - (Voir : CR301,P44 - PISTARD). ---------------------------------- "Jugement rendu par le juge prévôt Guillaume Roger" en faveur de Jean Méthot (Métot, Metet), farinier demeurant au moulin de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, propriété des Révérends Pères de la Compagnie de Jésus, seigneurs dudit lieu, dans le procès l'opposant à "Michel Huppé", "Jacquette Archambault", "veuve de Paul Chalifou (Chalifour, Chalifoux)", André Parent, Jacques Parent, Pierre Parent (fils), Maurice Paquet (Pasquier) et André Coudray, tous habitants de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, lesquels sont condamnés pour avoir fait moudre leur grain ailleurs qu'au moulin seigneurial tenu par ledit Jean Méthot (Métot, Metet) . - 26 février 1686.- Notes générales :- Une transcription dactylographiée. - MOULINS NOTRE-DAME-DES-ANGES, DE (SEIGNEURIE : QUEBEC, QUEBEC) - (Voir : E21,S64,SS5,SSS5,D118 - PISTARD) - ---------------------------------- Elle écoule sa vie dans la région de Québec et présente à son mari 14 enfants.- | Archambault Jacquette (I5517)
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319 | "Je ne suis pas venue à Montréal depuis longtemps, mais ça fait du bien d'être là. J'ai un peu de sang canadien-français dans le fond", a dit Madonna le 21 juin 2006 au public du Centre Bell lors du premier de ses deux concerts montréalais de la tournée Confessions Tour. C'est déjà à Montréal en juillet 1987, lors de sa tournée Who's That Girl, que Madonna avait révélé que sa mère, alors décédée, était d'origine franco-canadienne. Il n'en fallait pas plus pour que les généalogistes prennent d'assaut les registres pour en savoir plus. "Nous avons mis plus de deux ans parce que le Michigan ne dispose pas de répertoires de mariages comme le Québec", explique René Jetté. Cet universitaire montréalais, auteur d'un dictionnaire des familles du Québec qui fait autorité, a fait équipe avec une collègue américaine Gail F. Moreau. Ils publieront en 1994 le fruit de leurs recherches dans la revue Michigan's Habitant Heritage, Journal of the French-Canadian Heritage Society of Michigan. Du Perche au Michigan... Ses grands-parents maternels portent l'un et l'autre le nom de Fortin. Un même patronyme qui recouvre deux aventures parallèles d'immigrants québécois venus dans le Michigan à la fin du XIXème siècle. A cette époque, le Québec francophone de la "revanche des berceaux", après la conquête anglaise compte trop de bras qui vont tenter leur chance plus à l'ouest. Mais les deux lignées de Fortin qui s'établirent au Michigan ont, une centaine d'années plus tôt, la même origine. Au début du XVIIIème siècle à Cap-Saint-Ignace, Louis Fortin se marie une première fois à Anne Bossé, en 1714. Ils donnent notamment naissance à Claude Fortin, ancêtre de la grand-mère maternelle de Madonna, Elsie Fortin qui est morte le mercredi 9 mars 2011, à l'âge de 99 ans, à Bay City (Michigan, USA), ville où les parents de Madonna se marièrent en 1955. En 1735, Louis Fortin se marie une seconde fois avec Madeleine Langelier; leurs fils, Augustin Fortin, est l'ancêtre de Willard Fortin, le grand-père maternel de Madonna décédé le 30 juin 1959 à Bay City. Ce Louis Fortin est le petit-fils du premier Fortin arrivé en 1650 en Nouvelle-France: Julien Fortin venu de la paroisse de Notre-Dame-de-Vair, commune actuelle de Saint-Cosme-en-Vairais, département de la Sarthe, FRANCE. source: d'après un article de Georges Poirier publié dans le quotidien Ouest-France daté du 12 janvier 1995. http://www.perche-quebec.com/files/madonna/individus/madonna.htm 28 novembre 2012 | Ciccone Madona-Veronica-Louise (I8700)
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320 | "ondoyé à la maison et mort aussitôt après" | Ayet Dit Malo Joseph (I7979)
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321 | "Texte extrait du Dictionnaire Biographique des Ancêtres Québécois Tome II- D à I (1608-1700)" Fils de Julien Germaine et de Julienne Buet, de Saint-Sauveur de Lonlay, évêché de Le Mans en Maine, il contracte mariage devant le notaire Duquet, le Lundi 14 Octobre 1669, avec Marie Coignard, fille de François Petit, de la paroise St-Sauveur de Rouen en Normandie, et l'épouse à Québec le Lundi 28 Octobre 1669. De leur union naissent sept enfants. Les Jésuites lui concèdent une terre de deux arpents de front par vingt-cinq arpents de profondeur à la côte Sainte-Geneviève, le 26 Juillet 1665. Il s'établit dans la seigneurie de Dombourg. Le 14 décembre 1670, en compagnie de Pierre Picher et d'Étienne Léveillé, il s'engage à fournir à l'intendant Jean Talon, pour la Saint-Jean-Baptiste, six mille pieds de bois à palissade dont des coulissons de vingt pieds de longueur de huit à neuf pouces carrés, des poteaux de huit pieds de longueur de neuf à dix pouces carrés, et six poutres de cèdres de vingt-quatre à vingt-cinq pieds de longueur par treize à quatorze pouces carrés. L'intendant promet de les payer 22 deniers du pied de bois, et 7 livres par poutres. Il reçoit du Sieur Bourdon, le 30 Mai 1672, le titre officiel de sa terre de deux arpents et sept perches et demie de front par quarante arpents de profondeur, entre les habitations de René de Verger et de Jacques Largilier. Le 16 Octobre 1674, en compagnie de François Garnier et d'Étienne Léveillé, il est condamné à payer à Pierre Lefebvre, un trentième du poisson qu'ils prennent dans leur pêche. Le même jour, Lefebvre lui réclame 17 livres pour du blé, la garde d'une vache, et les cens et rentes. Il doit payer 13 livres. Le 30 Novembre 1676, il est condamné à verser sept boisseaux de blé à Sébastien Liénard. Au recensement de 1681, il possède un fusil, deux bêtes à corne et seize arpents de terre en valeur. Il vend sa terre de Dombourg, le 18 Août de la même année, à Michel Duvault dit Descormiers, pour la somme de 500 livres, payables par une rente annuelle de 26 livres. Il va ensuite s'établir sur une terre de la seigneurie de Portneuf. Le 11 Septembre 1683, le maître de barque Denis Boucher promet de livrer pour lui à Montréal trente barriques d'anguilles à prendre à Portneuf le premier Octobre, à raison de 100 sols la barrique. Il promet de le rembourser en argent ou en pelleteries. Le 4 Novembre 1684, il obtient le titre officiel de sa terre de trois arpents de front par quarante arpents de profondeur à Portneuf. Le 24 Avril 1690, il fait rapport au Conseil Souverain au sujet de dix barriques d'anguilles que Jacques Cachelièvre doit livrer pour Jean Lemoine de Sainte-Anne. Le sieur François Chavigny de la Chevrotière lui concède, le 28 Mars 1697, une terre de six arpents de front par quarante arpents de profondeur dans sa seigneurie. Alexis Sauvageau a vendu à Jean Cusson une terre à Saint-Charles-des-Roches. Cusson l'a revendue à Jean-Baptiste Germain qui doit 80 livres à Sauvageau. Il conscent, le 24 Juin 1702, à ce que Sauvageau reprenne cette terre qu'il a vendu à son fils. Le 16 Mars 1707, il fait don à ses fils Robert et Alexis de son habitation de huit arpents de front à Saint-Charles-des-Roches, ainsi que de deux boeufs et une vache, à condition qu'ils lui versent annuellement jusqu'à sa mort et celle de leur mère, vingt-quatres minots de blé par année. Il reconnaît, le 25 Juillet suivant, devoir 123 livres à son gendre Luc Proteau, sur une somme de 280 livres, dont 180 livres promises en dot à sa fille Marie-Madeleine. Son fils Alexis ayant été tué à Détroit, il hérite de sa terre de Saint-Charles-des-Roches et la vend, le 14 Juin 1713, à François Hamelin, au prix de 325 livres. Cet acte nous apprend qu'il vit alors à Cap-Santé. C'est à cet endroit que, le 17 Juin 1716, il est admis à la Confrérie du Saint-Rosaire et reçoit le scapulaire du Mont-Carmel. Il fait don de sa terre de la Chevrotière à son fils Henri, le 29 Mai 1720, et décède à Cap-Santé, le 20 Septembre 1723. http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Germain_Robert&id=42800 | Germain dit Belisle Robert (I863)
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322 | "TUTELLE" des enfants mineurs de "feu Louis Émery dit Coderre" et "de Madeleine Leclerc". - 30 mars 1705 - 7 avril 1705.- Portée et contenu :- Ce dossier d'administration judiciaire est composé du procès-verbal de tutelle des trois enfants mineurs de défunt Louis Émery et de Madeleine Leclerc, à la demande de Jean Mathieu, son nouvel époux. Le document inclut les comparutions et serments de Pierre Émery, oncle paternel, qui accepte la charge de tuteur et de Nicolas Bonin, oncle, qui accepte la charge de subrogé tuteur. Autres formats : Dossier disponible sur support numérique.- Notes générales : Notice descriptive inspirée de l'inventaire analytique "Les dossiers de la Juridiction royale de Montréal, 1693-1760" version 2001, par J.F. Holzl.- Termes rattachés : NOUVELLE-FRANCE. JURIDICTION ROYALE DE MONTREAL - (Voir : Cote : TL4,S1,D830) "RÈGLEMENT" de la succession "de Louis Émery dit Coderre". - 20 avril 1708.- Portée et contenu : Ce dossier d'administration judiciaire est composé des pièces suivantes : l'inventaire après décès des biens de Louis Émery dit Coderre fait par Louis de Lafaye, curé de la paroisse de la Trinité de Contrecoeur, à la requête de Pierre Émery dit Coderre, tuteur et le compte rendu de la vente des effets du défunt et de la distribution des deniers. Autres formats : Dossier disponible sur support numérique. Notes générales : Notice descriptive inspirée de l'inventaire analytique "Les dossiers de la Juridiction royale de Montréal, 1693-1760" version 2001, par J.F. Holzl.- Termes rattachés : NOUVELLE-FRANCE. JURIDICTION ROYALE DE MONTREAL - (Voir : Cote : TL4,S1,D1088) "RÈGLEMENT de la "succession de Pierre Lamoureux dit Saint-Germain". - 7 octobre 1710 - 18 avril 1710.- Portée et contenu :- Ce dossier d'administration judiciaire est composé des pièces suivantes : le procès-verbal de l'opposition faite au greffe par les seigneurs de l'île de Montréal sur les deniers qui proviendront de la vente par décret des biens de défunt Pierre Lamoureux dit Saint-Germain; la signification à la requête de Louis Tantouin, sieur de LaTouche, commissaire de la marine, d'une "saisie faite" sur les "dettes de la succession de feu LOUIS ÉMERY dit CODERRE" à "la succession de PIERRE LAMOUREUX"; la transcription d'une sentence en faveur de Louis Tantouin contre la succession de Pierre Lamoureux; la transcription d'une sentence en faveur de Louis Tantouin contre Miguet dit Latrimouille, sergent, époux de Vaudry; la sentence "octroyant à François Lamoureux dit Saint-Germain", demandeur, "la moitié du fief Bellevue" "en tant que fils aîné de feu Pierre Lamoureux", "contre Maurice Blondeau, défendeur saisissant", l'un des créanciers de la succession; l'appel au nom de Louis Tantouin, sieur de LaTouche au Conseil Souverain; la signification à Maurice Blondeau et le dictum de sentence de "distribution des deniers provenant de la vente" par décret et "adjudication de deux maisons situées sur la rue Saint-Paul et Saint-François", "appartenant au défunt Pierre Lamoureux". Autres formats : Dossier disponible sur support numérique.- Sources complémentaires : Voir TL4,S1,D1013; TL4,S1,D1066; TL4,S1,D1162; TL4,S1,D1184; TL4,S1,D1217; TL4,S1,D1270. Notes générales : Notice descriptive inspirée de l'inventaire analytique "Les dossiers de la Juridiction royale de Montréal, 1693-1760" version 2001, par J.F. Holzl.- Termes rattachés : NOUVELLE-FRANCE. JURIDICTION ROYALE DE MONTREAL - (Voir : PISTARD Cote : TL4,S1,D1258) "PROCÈS" entre "la succession de feu Charles de Couagne", "représentée par Marie Godé", sa veuve, "demanderesse", "et la succession de feu Louis Emery dit Coderre", "représentée par Jean Mathieu et Madeleine Leclerc", son épouse et "veuve du dit Coderre", pour le respect d'une obligation . - 7 novembre 1710 - 6 mai 1711- Portée et contenu :- Ce dossier d'administration judiciaire est composé des pièces suivantes : une ordonnance rendant exécutoire le remboursement d'une obligation de 250 livres à la succession de Charles de Couagne par la succession de Louis Emery dit Coderre; un certificat de visite et d'estimation de la terre de Louis Coderre située dans la seigneurie de La Corne; les affiches et l'estimation de la terre de feu Louis Émery, débiteur de Couagne; l'affiche de la criée de la terre de la veuve de Louis Émery; l'affiche de la remise d'adjudication; l'opinion du procureur du roi pour "l'adjudication de la terre de feu Louis Coderre à Antoine Coderre"; et la sentence de distribution des 320 livres provenant de l'adjudication de la terre de feu Louis Émery Coderre.- Autres formats : Dossier disponible sur support numérique.- Notes générales : L'ensemble des dossiers TL4,S1,D1203a à 1203k contiennent des pièces de plusieurs causes différentes de la succession de feu Charles de Couagne. Notice descriptive inspirée de l'inventaire analytique "Les dossiers de la Juridiction royale de Montréal, 1693-1760" version 2001, par J.F. Holzl.- Termes rattachés : NOUVELLE-FRANCE. JURIDICTION ROYALE DE MONTREAL - (Voir : PISTARD Cote : TL4,S1,D1203F)- http://www.roioux.nosorigines.org/biography.aspx?name=Emery_Louis&id=6429 2 décembre 2012 | Émery Dit Coderre Louis (I5705)
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323 | #Générale#(et 12 ADHÉMAR) eux 12 enfants, M-Anne est la 7ième | Family F2139
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324 | #Générale#(m ? 28-10-1727 )et 11 Jean-Baptiste TRÉTREAU | Family F2137
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325 | #Générale#(Suzanne vve Jean HIESSE , m 1671) eu 10 enfants, Jacques 2ième | Family F2231
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326 | #Générale#09-07-1673 Gilles RAGEOT (Lauzon) eu 12 enfants, Jacques 4ième | Family F1641
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327 | #Générale#10 ans rec 81 (1671) | Émery Dit Coderre Marie (I4867)
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328 | #Générale#13 ans rec 81 (1668) engagé Ouest 28-08-1689 | Provencher Louis (I4775)
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329 | #Générale#14-09-1689 Pierre MÉNARD (St-Ours) eu 4 enfants, René Guillaume 4ième | Family F2199
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330 | #Générale#16 ans en 1727 (1711) | Tétreau Marie "Anne" (I5340)
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331 | #Générale#16 ans rec 66 (1650) né entre 1647 et 1650 20 ans rec 67 (1647) 37 ans en 1685 1648) | Pépin Dit Descardonnets Jean (I4503)
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332 | #Générale#1644: arrivée passe 4 ans chez les Hurons 1646-1648: soldat et interprète à Trois-Rivières 1651-1654: garde-magasin à Montréal 28-09-1663 au 18-09-1666: procureur du roi à la Sénéchaussée de Montréal mars 1668: anobli marchand de fourrures 24-09-1657: concession de la seigneurie de Longueuil,reconcédée 03-11-1672, augmentée des Îles Ronde et Ste-Hélène 10-07-1676, augmentée en profondeur 25-09-1698 concession de la seigneurie de Châteauguay 29-09-1673 (avec l' Île St-Bernard), vendue par ses héritiers à Zacharie Robutel 06-08-1706, avec les Îles à la Paix, détachées de l'Île Perrot achat de la seigneurie de l'Île Perrot à François-Marie Perrot 02-03-1684, vendue par ses héritiers à Joseph Trottier 27-04-1703 achat de l'arrière-fief de Senneville à Montréal à Sidrac Dugué 20-06-1679, avec Jacques LeBer (qui rachète la part de Lemoyne). (source: Dictionnaire généalogique des familles du Québec de René Jetté SIGN N | Lemoyne Sieur De Longueuil Charles (I5272)
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333 | #Générale#1647: charpentier de grosse oeuvres 1656,1657: laboureur parents: Jacques MONJAULT & Jeanne CLÉMENCEAU, vve de Pierre SIRE | Mongeau Pierre (I4951)
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334 | #Générale#17 ans en 1706 | Pépin Madeleine Ou Marie-Madeleine (I4502)
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335 | #Générale#18 ans en 1703 | Richaume M-Anne (I5521)
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336 | #Générale#2 ans rec 1681, il est Sieur de SAINT-FRANÇOIS, seigneur primitif de Cap St-Michel fait 2ième mariage sans prospérité | Messier Sieur De Saint-François François Michel (I5268)
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337 | #Générale#2 ans rec 81 (1679) | Bergeron Jacques (I5586)
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338 | #Générale#21-07-1669 RÉMY Pierre 11ième enfant | Family F1794
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339 | #Générale#23 ans en 1719 | Duclos Jean (I5288)
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340 | #Générale#24 ans en 1703 | Delpêche Dit Bélair François (I5520)
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341 | #Générale#26 ans en 1690 (1664) | Constantineau Pierre (I4803)
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342 | #Générale#2ième enfant | Miel Ou Amiel Dit Lusignan Marie-Marguerite (I5583)
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343 | #Générale#3 ans rec 66 (1663) 5 ans rec 67 (1662) 29 ans rec 81 (1652) | Greslon Jeanne (I4847)
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344 | #Générale#30 ans au rec 81 | Lavoie Suzanne (I5605)
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345 | #Générale#32 ans rec 81 et 23 ans en 1681: née entre 1649 et 1657 parents ds dictionnaire, mais pas venu au Canada | Gareau Marie (I4860)
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346 | #Générale#5 ans rec 81, 1676 | Vachon Marie-Françoise (I4546)
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347 | #Générale#5 ans rsec 81 (1676) | Toupin René (I4628)
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348 | #Générale#5ième enfant de 16 | Amiot Dit Ou Sieur De Neuville Jean Baptiste (I5276)
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349 | #Générale#6 ans rec 66 7 67 21 81 (1660) | Racine Jeanne (I5331)
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350 | #Générale#65 ans au décès en 1703 (1638)né entre 1638 et 1641 40 ans rec 81 (1641) à Neuvillecité à Québec 15-11-1675 | Prou Jean (I4819)
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