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2201 Biographie Chavigny Francois

François de Chavigny de Berchereau (vers 1615-1652) est originaire de Champagne, en France. Il épouse probablement en 1640 une jeune veuve, Éléonore de Grandmaison (vers 1620-1692), avec qui il part pour la Nouvelle-France l'année suivante. Le couple détient déjà des concessions de terres à Québec et à Sillery ainsi qu'un fief sur la rive nord du Saint-Laurent, qui deviendra plus tard la seigneurie de Deschambault. Les Chavigny vivent d'abord à Sillery puis, à partir de 1645, dans le fief de Chavigny, malgré la menace iroquoise. En 1648, ils s'installent à l'île d'Orléans où l'arrière-fief de Beaulieu leur est concédé.

François de Chavigny jouit d'une certaine considération puisque le gouverneur Huault de Montmagny lui confie le commandement de la colonie pendant ses absences. Il siège également au Conseil de Québec dès sa création, en 1648, et compte parmi ses amis Chomedey de Maisonneuve, Jeanne Mance et Marguerite Bourgeoys, comme lui d'origine champenoise. Malade, Chavigny part pour la France afin de s'y faire soigner, mais il meurt pendant la traversée. Il laisse cinq filles et un fils, François, qui accompagnera Daumont de Saint-Lusson lors de sa prise de possession des territoires de l'Ouest au sault Sainte-Marie (Ont.), en 1671. François de Chavigny et Éléonore de Grandmaison auront une descendance fort nombreuse, mais celle-ci étant en majeure partie féminine, le patronyme demeure rare.

http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Chavigny_Francois&id=4025

 
Chavigny De Chavigny, Sieur de Berchereau François (I9401)
 
2202 Biographie François-Flavien Méret

Il fut le premier à  écrire son nom comme la plupart l'écrivons aujourd'hui: Mérette. Il avait 9 ans quand il suivit son père pour s'établir à  St-Tite-des-Caps ou il défricha et cultiva avec lui la terre des Méret.

Il fut entreprenant, comme son père, et marguillier de la fabrique de St-Tite en 1873. Après la catastrophe de 1878, Flavien, sa femme et ses 9 enfants se réfugièrent à la Petite-Rivière-St-François. Il trouva du travail à la ferme du Petit Séminaire de Québec, situé près de St-Joachim et dite Ferme du Petit Cap à .25 cents par jour, nourri (1878-1880).

Ensuite, il obtint un emploi comme gardien de barrière pour le chemin de fer aux Saules, près de Québec. La petite maison qu'ils habitèrent (et qui existe encore aujourd'hui à Ste-Monique des Saules), fut acquise et mise au nom de son fils, Louis, alors apprenti boucher à Québec. Tandis que le jeune Alphonse était dispatcher à la petite station de l'Ancienne Lorette, les autres plus âgés trouvaient du travail à Québec et à l'Ancienne Lorette.

Tour à tour, les enfants quittèrent le foyer paternel pour s'établir ailleurs. Et Louis en fit de même. Mais lors qu'il s'éloigna, on devait encore 75$ sur ladite maison et...on ne l'avait pas!

Flavien, entre-temps, ayant perdu son épouse, travailla sur la ferme du docteur Laurin à l'Ancienne Lorette.

Enfin, après quelques autres pérégrinations, Flavien se retira chez son fils Alphonse, marchand général, nouvellement établi à Rivière-du-Loup, où il décéda, après une longue maladie, à l'âge e 76 ans.

Quant à son épouse, Marcelline Simard, on dit d'elle qu'elle était la bonté même sous les apparences les plus viriles. Les 9 enfants qu'elle donna à son époux dans les conditions de vie à l'époque que nous connaissons sont un témoignage plus éloquent que nos discours.

Source: Histoire d'un nom ou Biographie de la famille Mérette par Lauréat Mérette, prêtre 
Mérette Flavien (I5987)
 
2203 Biographie Laberge Robert

Robert de La Berge est né à Colombières-sur-Thaon. Normandie, France le 24 mai 1638. Ainé d'une famille de 3 enfants, ses parents étaient Jacques de La Berge et Marie Poitevin.
En 1658, alors agé de 20 ans, Robert de La Berge s'embarque pour la Nouvelle-France avec en poche un contrat de 3 ans pour travailler chez un fermier de Château-Richer.

En 1661, une fois son contrat terminé chez Massé Gravel, Robert de La Berge reçoit une concession à Château-Richer. En octobre 1662, apparamment découragé et désirant retourner en France, il vend sa terre à Charles Pouliot.

Mais Robert de La Berge ne retournera pas en France. Le 4 février 1663, il recoit de Charles de Lauzon, seigneur de Charny, une concession avec habitation dans la Seigneurie de Lirec, Île D'Orleans. Il n'y demeura que quelques mois. En effet, le 11 novembre de la même année, il vendit cette propriété et revient à Chateau-Richer pour s'établir par la suite à l'Ange-Gardien, près de Québec, où il exerça le métier de chaufournier.

Le 28 mai 1663, Robert de La Berge épousait, dans la paroisse de Château-Richer, Françoise Gausse veuve de Nicolas Durand.

De cette union naquit 6 enfants : Geneviève, Françoise, Catherine, François, Nicolas et Guillaume.

Robert de La Berge est mort le 2 avril 1712 à l'âge de 73 ans. 
Laberge Robert (I2218)
 
2204 Biographie Lamoureux Louis

C'est à l'église Notre-Dame de Québec, comme confirmé par Mgr de Laval, qu'apparaît officiellement pour la première fois en Nouvelle-France, le 3 juin 1664, Louis Lamoureux.

Le 2 janvier 1666, Louis Lamoureux obtient une concession de terre, 2 arpents, 3 perches et 6 pieds de front, dans la seigneurie Notre-Dame-des-Anges, plus précisément dans l'arrière-fief Grand-Pré-de-la-Redoute, près de Québec.

Au recensement de 1667, Louis Lamoureux a 27 ans, vit sur sa concession, à Charlesbourg, comme habitant, où il possède deux arpents de terre en culture.

Au recensement de 1681, la famille Lamoureux demeure à la seigneurie du Tremblay à Boucherville, Louis a alors 34 ans et Françoise, 28 ans.

L'une des acquisitions les plus intéressantes de Louis est datée du 8 octobre 1686. On y voit Pierre Boucher, seigneur de Boucherville, agissant pour le compte de son gendre, René Gauthier de Varennes, dans l'octroi d'une "île située au milieu des îles percées, appelée Sainte-Marguerite", maintenant l'île Charron, d'une superficie de 400 arpents carrés.

À soixante ans, à l'automne 1700, Louis quitte les îles percées pour l'île-Jésus, où il obtient 80 arpents de terre, dans la paroisse Saint-François.

L'ancêtre Louis Lamoureux décède en février 1715, ses funérailles ont lieu le 25, dans l'église de St-François de l'île-Jésus.

L'aïeule, Françoise Boivin décède le 13 avril 1717, sa sépulture a lieu deux jours plus tard, dans l'église paroissiale de Sainte-Famille, à Boucherville.


Source: Robert Rochon (Ginette Arpin)
 
Lamoureux Louis (I10226)
 
2205 Biographie Marcoux Pierre

Pierre Marcoux, fils de Claude Marcoux et de Marie Juneau ou Jovineau, naquit à Cry-sur-Armançon, en 1631, d’une famille d’artisan. Ce petit village, distant de moins d’une lieue d’un important château médiéval, faisait partie du comté de Rochefort, érigé en 1758. Un pont fortifié de neuf travées surbaissées fut jeté sur la rivière de l’Armançon au XVIe siècle a fin d’accéder plus facilement aux terres du château dont le village dépendait et où les habitants trouvaient refuge en cas de danger. Les registres paroissiaux ne commencent malheureusement qu’en 1644. Pierre fut baptisé le jour même, suivant la tradition, dans l’église de sa paroisse, St-Julien de Brioude, dépendant religieusement du diocèse de Langres.

Les registres paroissiaux de Cry constituent un des rares exemples du département de l’Yonne où les curés ont enregistré les événements extraordinaires de leur communauté. Ainsi, Caverot, le curé de l’époque, indique à l’occasion d’une enquête faite pour ces messieurs les bénédictins d’Autun (*1), que du temps de la jeunesse de Pierre Marcoux, en 1637, le village fut mis à sac et pillé par un régiment de cavalerie commandé par le sieur de Belfontaine, dit le Liégeois, qui se rendait au siège de Dole. Cela arriva au soir de la Saint-Martin d’été et, qu’au retour, un autre régiment fit la même chose. On raconte que le village fut abandonné plu sieurs années et que l’herbe poussant dans les rues, il fallut la faucher; que du temps de monsieur de Guise, le village de Cry avait déjà été pillé et volé. Sa pauvre église avait même servi d’écurie aux troupes. En 16 45, le dernier jour de l’année, l’église était en si mauvais état, quel a voûte, alourdie par la cloche, s’effondra avec fracas, entraînant celle-ci dans sa chute. Le 31 décembre 1648, dans la nuit du samedi au dimanche, les eaux débordèrent et montèrent encore plus haut qu’en 1616. Elles vinrent jusqu’au premier poteau de la halle de Cry. Le curé ne parlait pas de la peste qui était à l’état endémique depuis 1632 avec une grande offensive de juillet à novembre 1637. Cela faisait partie des misères ordinaires de ses infortunés paroissiens. Pour éviter la contagion, le pauvre peuple démuni de tout secours médical, s’éparpillait dans la campagne et dans les bois et construisait des huttes dans les champs. Les gens vivaient dans ces conditions précaires le temps que le fléau se dissipe, réintégrant leur maison désertée sitôt la maladie éteinte. Avec cet afflux de calamités, on ne peut s’étonner que les registres paroissiaux antérieurs aient été détruits.

Peut-être Pierre Marcoux vit-il passer, le 14 mars 1650, sur la grande route, le cortège du futur roi Louis XIV dans le carrosse de sa mère, la régente, en compagnie du duc d’Anjou. Le futur Roi-Soleil venait de passer la nuit chez le duc de Clermont-Tonnerre, au château d’Ancy-le-Franc. Il se rendait à Dijon et à Bellegarde. Le passage d’un roi dans la région n’était pas chose courante et la population se pressaient sur son chemin pour acclamer le royal suzerain, pour l’apercevoir et admirer la belle prestance de la compagnie des Gardes suisses qui le précédait, ainsi qu’une partie de la cour qui se déplaçait avec lui et qui venait de faire étape dans le comté de Tonnerre. Le dernier roi qui avait traversé leur terre était le bon roi Henri et les quelques vieux qui s’en souvenaient en gardaient un souvenir ému.

Pierre avait environ 20 ans lorsque sa mère, déjà veuve, disparut le 11 janvier 1651. Elle laissait, en aumône à l’église, vingt sols à la confrérie du Saint-Rosaire à l’époque très active. Les enfants devaient être assez nombreux et la part laissée à chacun assez maigre. Pierre Marcoux décida de tenter sa chance ailleurs. Il avait sans doute entendu parler de la famille Ailleboust de Ravières, des missions d’évangélisation de la Nouvelle-France et des possibilités qu’offraient ces nouvelles terres. Il réunit son maigre pécule et saisit l’opportunité qui se présentait à lui.

L’année exacte de son arrivée à Québec est incertaine (Les recherches de la famille québécoise Marcoux la situent en 1652). Il fit probablement la traversée sur le Petit-Saint-Jean, navire qui faisait régulièrement le passage depuis La Rochelle. Il obtint à Beauport, de Robert Giffard, une concession de terre dans sa seigneurie, le 15 octobre 1655, puis une autre, le 4 novembre 1658.

Pierre Marcoux se destinait à la prêtrise. Il devait avoir reçu une certaine instruction puisqu’il signait lui-même les actes notariés. Mais, voulant travailler à l’édification de la colonie, il reprit l’ancien métier de ses pères. En effet "Adrien Marcoux", probablement son grand-père, édifia en 1553 la chapelle du hameau de Laultramont, près de Perrigny-sur-Armançon (France), aujourd’hui disparue. Il avait enseigné à ses enfants l’art de construire qui perdura plusieurs générations. Pierre retrouva les gestes de son enfance et redevint maçon. Il se maria et éleva une nombreuse famille.

Il épousa Marthe de Rainville, à Beauport. Leur union fut scellée par un prêtre itinérant de Québec, le 8 janvier 1662. (3*) La jeune mariée venant de Saint-Thomas-de-Touques, en Normandie, était arrivée avec sa mère Pauline Poète et ses frères et sœurs, en 1659, pour rejoindre son père Paul de Rainville, installé à l’île de Percée. Il était aussi huissier de la seigneurie de Beauport. Si l’on en croit l’âge déclaré à son passage sur le navire, Marthe de Rainville avait quinze ans et demi à son mariage. Mais les filles à marier manquaient cruellement dans la colonie… Mariage d’amour ou de raison, elle lui donnera onze enfants. Le couple s’installa à Beauport. Le village ne possédait pas encore d'église car les enfants qui y naîtront seront baptisés à Québec quelques jours plus tard.

Actuellement, dans le village de Cry-sur-Armançon, se perpétuent encore des familles Marcoux. Des recherches généalogiques sont en cours pour remonter ces lignées qui ont de tout temps édifié des maisons, travaillé la terre, jouant un rôle actif dans les communautés d’habitants, puis aux postes municipaux.

(*1) L’abbaye Saint-Martin d’Autun possédait des dîmes sur la paroisse de Cry. Le curé, qui devait reverser sans doute une partie de ces taxes, faisait savoir que, faute de ressources, ses pauvres paroissiens ne pouvaient payer.
(*2) Robert Giffard fut le fondateur de Beauport, en 1634.

(*3) Les petites agglomérations ne possédant pas de paroisse étaient de temps à autre desservies par un prêtre itinérant qui baptisait les enfants, mariait les couples et enregistrait les décès. Les actes étaient ensuite transcrits sur les registres de la vile de Québec. Les plus fortunés se déplaçaient eux-mêmes à Québec pour faire les déclarations. SLC. Bobine Québec No 12 89658 (Recherches Pierre Le Clercq).

De http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Marcoux_Pierre&id=7665

11 décembre 2012 
Marcoux Pierre (I8950)
 
2206 Biographie Martin Abraham

Abraham Martin est né en 1589. Il arrive dans ce pays nouveau, vers 1622, avec son épouse Marguerite Langlois, sœur de Françoise Langlois, mariée à Pierre Desportes (parents d'Hélène Desportes).

Après la prise de Québec par Kirke, le 24 juillet 1629, ils sont retournés en France, puis revenus à Québec, en 1633.

Abraham est avec Louis Hébert l'un des premiers colons canadiens. Cet illustre colon, pilote royal et pilote de navire du Saint-Laurent, est à la source de notre marine nationale. C'est lui qui jette les rudiments de la première carte du fleuve.

La terre d'Abraham Martin, au sommet du Cap Diamants, reçoit le nom des "Plaines d'Abraham" nom ensuite étendu au plateau voisin, sur lequel est livré la célèbre bataille entre Wolfe et Montcalm.

Une anecdote pittoresque rapporte que la " Côte d'Abraham " était le sentier emprunté par Martin, pour descendre à la rivière Saint-Charles abreuver ses animaux.

Sa compagne, Marguerite Langlois, lui donne neuf enfants, dont Eustache Martin, le premier fils d'un Français, né en Nouvelle-France. C'est le premier baptême qui est inscrit sur le registre de Notre-Dame de Québec, en date du 21 octobre 1621. A part la mention de son baptême, nous n'avons aucune précision quelconque sur Eustache Martin, sûrement décédé très jeune. Abraham Martin a laissé par ses filles, une très nombreuse postérité.

Le second baptême qui a lieu à Québec, est celui de Marguerite Martin, soeur d'Eustache Martin.

Sa naissance est ainsi enregistrée à la date du 4 janvier 1624.

Marguerite Martin devient, le 22 mai 1638, la femme d'Étienne Racine, fils de René Racine et de Marie Loisel, de Fumichon, en Normandie.

Si le premier enfant du pionnier Français ne laisse pas de postérité, il n'en est pas de même de la première fille, car les descendants des dix enfants de Marguerite Martin, mariée à Étienne Racine se comptent aujourd'hui par milliers.

La deuxième fille Martin, Marie, née en 1635, épouse Jean Cloutier, né en 1620, à St-Jean de Mortagne, en France, fils des ancêtres Zacharie Cloutier et Xainte Dupont.

La troisième fille Martin, nommée Anne, née en 1645, épouse l'ancêtre Jacques Raté, né vers 1631, originaire de Laleu, dans La Rochelle, en Aunis, France.

L'ancêtre Abraham Martin, dit l'Écossais est inhumé à Québec, le 8 septembre 1664, vers l'âge de 75 ans. Sa veuve, Marguerite Langlois, épouse le 17 février 1665, René Branche, et est inhumée le 17 décembre, au cours de la même année.

De http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Martin_Abraham&id=4290

12 décembre 2012

____________________________________ 
Martin Dit L'Écossais Abraham (I5679)
 
2207 Biographie Meret Francois

Arrivée de François Méret au Canada

Fils de Jean Méret et de Marie Aubin, né en 1801 à l'Île Jersey, Angleterre. François Méret passa son enfance et son adolescence avec sa famille à l'Ile Jersey. À 25 ans, le goût de l'aventure l'amena à Londres, où il fit l'apprentissage de matelot. En 1829, au cours d'une traversée au Canada, il aurait, dit-on, été maltraité; c'est alors que pendant que son navire était ancré devant Québec, il le déserta et alla se cacher à l'Ile d'Orléans.

En ce temps-là , Olivier Goulet, cultivateur de St-Pierre à l'Ile d'Orléans, avait le contrat de la malle pour la somme de $125,00 par année. D'après ce contrat, il se rendait deux fois la semaine chercher en canot le courrier à Québec pour le distribuer aux habitants de l'Ile. C'est donc à lui que François s'adressa pour le transporter à l'Ile, où il pourrait plus facilement échapper aux recherches qu'on ne manquerait pas de faire avant le départ du voilier. Olivier Goulet, homme sage et bon catholique, cacha chez lui le jeune Jersiais (qui, de sa fenêtre, pouvait surveiller le départ de son navire) et le garda comme garçon de ferme.

François Méret était un gaillard de 28 ans, mesurant 6 pieds et 2 pouces, fort et bon travailleur; il était aimé de son protecteur qui, plus tard, l'aida à s'établir.

Baptême et mariage de François

François Méret depuis près de 4 ans qu'il servait son hôte et protecteur, M. Olivier Goulet, François désirait fonder un foyer. Il porta son choix sur une petite cousine d'Olivier Goulet, Angèle Paradis. Mais parce que huguenot, il ne le pouvait sans faire son abjuration et se faire baptiser avant de recevoir le sacrement de mariage. Aussi, le curé de St-Francois de l'Île le reçut et lui conféra le baptême catholique. Quelques jours après, le 16 avril 1833, François Méret épousait Angèle Paradis dans l'église de St-Pierre, I.O. Elle était la fille de Paul Paradis et de Geneviève Nolin.

Son établissement à St-Pierre, Île d'Orléans

A l'occasion de son mariage, François reçut de son protecteur un petit lopin de terre où il construisit une maisonnette. Il y professa le métier de sellier cordonnier tout en restant garçon de ferme chez son protecteur pendant 10 ans encore, comme l'exigeait la coutume du temps.

Pionnier à Saint-Tite-des-Caps

Après avoir servi pendant près de 15 ans son bienfaiteur, le néo-québécois voulut s'établir plus sûrement en ce pays du Québec. Il résolut alors d'aller se tailler une ferme à même la forêt vierge, sur les hauteurs de St-Tite-des-Caps, dans le comté de Montmorency, À une douzaine de milles de St-Joachim et une quarantaine de Québec.

C'était au commencement de l'été 1843, François, sa femme et leurs deux enfants quittent St-Pierre de l'Ïle d'Orléans dans l'embarcation d'Olivier Goulet, déjà presque remplie de bagages et de provisions, pour aborder sur la rive nord un peu en avant du fleuve, à St-Joachim. Le reste du chemin devra se faire à pied entre St-Joachim et St-Tite, bagages sur le dos. Cela du prendre plusieurs jours; car, plusieurs années plus tard, même en traîneau, à boeuf, on ne pouvait monter les côtes de la Miche et du Sable avec plus d'une botte de foin à la fois.

François aidé de son épouse Angèle se taille des billots dans la forêt pour construire un camp en bois rond qu'ils habiteront jusqu'en 1853.

L:a vie de François Méret peut, à la vérité, être qualifiée d'aventureuse. Et St-Tite-des-Caps n'en sera pas, hélas! la dernière étape. En effet, après y avoir trimé pendant 25 ans à défricher la terre avec des instruments rudimentaires pour ne pas dire primitifs, abattant les arbres en hiver, ramassant les abattis au printemps pour les faire brûler à l'automne, ensemençant pommes de terre et avoine entre les souches et mettant à contribution toutes les énergies disponibles de la famille même parmi les enfants de son fils Flavien en état de travailler, survint à St-Tite un évènement qui fut, pour les Méret, la véritable catastrophe.

On sait que François aussi bien que son fils Flavien étaient entreprenant et ouvert à la coopération. Or un jour de l'automne 1877, le curé Joseph Marceau, se mit à la tête de ses paroissiens pour entreprendre un chantier paroissial de coupe de bois, qui devait exporter à profit. Faute d'argent à investir, les paroissiens engagèrent leurs terres pour appuyer cette entreprise.

Toutefois, seul François-Flavien signa l'engagement pour tous.

Ce fut une faillite complète. Et les paroissiens, d'une part, ne pouvant payer et refusant de laisser aller leurs terres, les Méret, dont Flavien, qui avait été marguillier en 1873, d'autre part, et peut-être les principaux instigateurs de l'entreprise durent céder aux créanciers la terre des Méret avec la maisonnette qu'ils avaient édifiée au prix d'incroyables sacrifices.

François Méret avait alors 77 ans et il lui resta encore de nombreuses années à vivre. Il se réfugia chez sa fille Céleste, mariée à Adam Jean, et qui tous deux demeuraient à la Baie-St-Paul, tandis que Flavien et sa famille se rendirent, à la Petite-Rivière-St-François, comté de Montmorency. Cela se passait en 1878.

Les vingt dernières années de François ne furent pas tellement brillantes ni heureuses, après de tels déboires qui ont suivi des efforts pénibles dans le labeur incessant. Il partagea son temps entre Baie St-Paul et les Saules, près de Québec, qu'on appelait alors La Petite-Rivière et où Flavien était gardien de la barrière de chemin de fer Gaspard Terminal.

François fut toujours et surtout à la fin de sa vie, un homme austère et réaliste. Toutefois devenu très vieux et malcommode, il finit ses jours à l'hospice de la Baie-St-Paul, en 1900, plein de jours et de mérites: il avait 98 ans et 6 mois.

Source: Histoire d'un nom ou Biographie de la Famille Mérette par Lauréat Mérette, prêtre


http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Meret_Francois&id=203661 
Mérette François (I5991)
 
2208 BOILEAU Marie
Fille de la Haute Société, de feu René Sieur de la Goupillière(Ecuyer)et de feue Joachine Seran, de la paroisse St Jean de la ville d' Arçay; 86200; Vienne; Poitou-Charentes.
Elle a été précédée au pays, par sa sœur Marguerite.
Contrat de mariage annulé avec Isaac Delavant en date du 11/07/1667

3 mariages
1) CHAUVIN Pierre
décédé entre le 05/02/1669 et le 28/11/1669.
Mariage avant 1668 à L'Isle d' Orléans
Ménage établi à Ste-Famille,Î.O. 1 enfant

2) CHAMBERLAND Simon habitant,
Fils de René et Catherine David de Chantonnay; 85110; Vendée; Pays de la Loire. (Poitou)
Né vers 1636, décédé le 15/11/1688.
Mariage le 28/11/1669 à Sainte Famille ÎO
Couple,1 enfant.

3) JOLIN Jean
Né vers 1645, décédé le 24/12/1724.
veuf de Suzanne Moreau
Contrat de mariage avec Marie le 16/10/1689 (Rageot)
Mariage le 04/04/1690 à Saint François ÎO.
Ménage établi à St. François. ÎO. 1 enfant

Source: * Madame Maureen Lafrance.

http://www.migrations.fr/700fillesroy.htm 
Boileau Marie (I5644)
 
2209 Bona ARSENAULT

Né à Thivierge (Bonaventure), le 4 octobre 1903, fils de Joseph-Georges Arsenault, cultivateur, et de Marcelline Gauthier.

A étudié à l'académie de Bonaventure, sous la direction de professeurs privés et à l'École des sciences sociales, politiques et économiques de l'université Laval à Québec. A suivi des cours en administration et en psychologie à la Storrs University, au Connecticut.

Président et directeur général de l'hebdomadaire le Journal à Québec de 1932 à 1936, puis du quotidien du même nom de 1936 à 1939. Président et directeur de l'Événement-Journal à Québec de 1939 à 1941. Gérant du district de Québec et de l'est de la province à la compagnie d'assurances Nationale du Canada de 1941 à 1953. Directeur des relations publiques à la compagnie d'assurances Pratte & Côté à Québec et membre du bureau de direction de Pratte & Cie à Montréal, de 1953 à 1960.

Candidat conservateur défait dans Bonaventure aux élections provinciales de 1931 et dans Gaspé-Sud en 1935. Candidat conservateur défait dans Bonaventure aux élections fédérales de 1940. Président du Parti conservateur pour la province de Québec de 1942 à 1944. Élu député indépendant à la Chambre des communes dans Bonaventure en 1945. Élu sous la bannière libérale en 1949 et 1953. Défait en 1957. Élu député libéral à l'Assemblée législative dans Matapédia en 1960. Réélu en 1962 et 1966. Ministre des Terres et Forêts dans le cabinet Lesage du 5 juillet 1960 au 5 décembre 1962. Ministre des Pêcheries et de la Chasse dans le même cabinet du 5 décembre 1962 au 3 avril 1963. Secrétaire de la province dans le même cabinet du 3 avril 1963 au 16 juin 1966. Réélu en 1970 et 1973. Défait en 1976.

Président de l'Association des journaux hebdomadaires de la province de Québec en 1935 et 1936. Membre honoraire de la Maison acadienne-française de la Louisiane en 1955. Titulaire d'un doctorat honorifique des universités de Bathurst en 1956 et de Moncton au Nouveau-Brunswick. Citoyen honoraire de la ville de Lafayette en Louisiane en 1960. Colonel honoraire de l'état-major du gouverneur de la Louisiane en 1961. Récipiendaire de la médaille de l'ordre du Canada en 1981 et de l'ordre du Mérite forestier en 1985. Créé officier de l'ordre de la Pléiade en mai 1982. Membre de l'Association Touraine-Canada en 1963. A publié : Malgré les obstacles (1953), l'Acadie des ancêtres (1955), la partie historique et généalogique deBonaventure 1760-1960 (1960), Changement de vie aux Terres et Forêts (1960), Histoire et généalogie des Acadiens (1965 et 1978), Histoire des Acadiens (1966), Louisbourg 17rd758 (1971) et Souvenirs et confidences (1983).

Décédé à Sainte-Foy, le 4 juillet 1993, à l'âge de 89 ans et 9 mois. Inhumé dans le cimetière de Bonaventure le 8 juillet 1993.

Avait épousé en premières noces, à Bonaventure, le 3 mai 1926, Blandine Bernard, institutrice, fille de Sylvestre Bernard et d'Élizabeth Appleby; et en secondes noces, à Bonaventure, le 11 janvier 1973, Lisette Fortier, fille d'Arthur Fortier, notaire, et d'Aline Moffat.

http://www.nosorigines.qc.ca/biography.aspx?name=Arsenault_Bonaventure&id=174299
 
Arsenault Bonaventure (I10014)
 
2210 BONHEUR Marie
200 livres de dot dont 50 livres du Roi.
Fille de feu Toussaint et de Louise Debelheur de Bruyères le Chatel, 91680; Essonne; Ile de France.
Contrat de mariage annulé avec Pierre Nepveu 05/10/1669,Duquet)

1 mariage
INARD / ENARD Paul dit Provençal
Né vers 1647 (selon le recensement de 1681), de Barthélémy Inard et de Françoise Rinaude, de la paroisse Saint-Rémy-de-Provence,13210; Bouches-du-Rhône; Provence-Alpes-Côte d' Azur. (Provence).
Le 2 septembre suivant son arrivé, il quitte Québec pour aider à la construction d’un fort le long du Richelieu. Sa compagnie, cantonne dans la région de Trois-Rivières durant l’hiver 1666 et après, à l’Île d’Orléans.
Il demeure au pays au départ des troupes en 1668.
Il épouse à Sainte-Famille de l’Île d’Orléans, en date du 27 octobre 1669, une fille du roi, Marie Bonheur, née au bourg de Brie-Chasteau ?, archevêché de Paris, Île-de-France vers 1651.
Elle était la fille de feu Toussaint Bonheur et de Louise Belleheure.
Marie avait passée au paravent un contrat de mariage (annulé par la suite) avec Pierre Nepveu le 5 octobre 1669 (Not. Duquet).
Cette fille avait apporté des biens estimés à 150 livres, et un don royal de 50 livres.
Au recensement de 1681, il possède un fusil.
Son épouse décède après le 6 janvier 1682.
Paul Inard est hospitalisé à l’Hôtel-Dieu de Québec le 9 juillet 1690, et en sort le 22 octobre suivant. Nous n’entendons plus parler de lui par la suite.
Ménage établi à Saint-François de l'Île d’Orléans. (7 enfants).
(Tanguay, vol.1, p.315; Jetté, p.586; Drouin, vol.1, p.685; Dumas, p.191; Landry, p.281; Sulte, Hist. Vol.5, p.81(1); R.M. Le Régiment de Carignan, p.95; DBAQ, t2, p.485; Langlois, p.362)
Soldat du Régiment de Carignan, Cie de Maximy.
Voir acte de mariage

http://www.migrations.fr/700fillesroy.htm 
Bonville Bonheur Marie (I9382)
 
2211 Born at Île-à-la-Crosse in what is now Saskatchewan, he went east to Lower Canada with his family in 1822 and was educated there as a wool carder. At age 21 he joined the Hudson's Bay Company at Rainy River, where he served from 1838 to 1840. In 1842he returned East to study for thepriesthood as a novitiate with the Oblate Order, but left after a few months to settle at Red River. When he came west in 1843, he married Julie, the daughter of Jean-Baptiste Lagimodière and Marie-Anne Gaboury. There were eleven children of whom the eldest was Louis “David” Riel. He became known as the miller of the Seine after he established a mill on the Seine River, near St. Boniface, to grind grain and card wool for the Grey Nuns of St. Boniface. Tradition has it that almost single-handed he dug a nine mile channel to divert water to turn the mill wheel. However, the mill business failed in the late 1850s. The millstones are on display in Winnipeg.

He supported the free traders within the Métis, and also insisted that the Council of Assiniboia have Métis representation and that the courts of Red River employ French. With James Sinclair and Georges Belcourt he led the struggle at Red River to break the fur trade monopoly of the Hudson’s Bay Company. In 1849 when Guillaume Sayer was found guilty of trafficking in furs, Riel headed the three hundred armed men who surrounded the court hearing and demanded their right to free trade. Sayer was released without penalty. Later that year Riel was one of the petitioners demanding the removal of Adam Thom, the Recorder of Rupert’s Land. Thom was replaced with a bilingual judge, as requested in the petition.

Riel died in St. Boniface in 1864. 
Riel Louis (I11964)
 
2212 BOUCHER Félix et Angèle BOURASSA (sosa 46 et 47)

MARIAGE 27-01-1841 St-Athanase-de-Bleury, comté Iberville

SOURCE : S.G.C.F. d5p_02251521.JPG 8 ième feuillet 1/1

TRANSCRIPTION

MARGE :

M 8

Félix Boucher et Angèle Bourassa

Le vingt sept janvier mil huit
cent quarante un
après la publication de trois bans de maria-
ge faite aux prône de la messe de cette
paroisse ____ et de St-Luc entre Félix Boucher
cultivateur domicilié à St- Luc fils majeur de Jean Louis Boucher et de Marie Louise Lareau dune part et Angèle Bourassa fille mineure dAlexandre Bourassa cultivateur et dAngèle Guérin domicilié en cette paroisse dautre part ne sétant trouver au dit mariage aucun empêchement et vu le conssentement des parents nous Prêtre Curé soussigné avons reçu leur mutuel consentement au dit mariage et leur avons donné la bénédiction nuptiale en présence de Jean Marie Boucher, de Charles Boucher frère de lépoux dAlexandre Bourassa père de lépouse qui ainsi que les époux ont déclaré ne savoir signer
___ Durocher prêtre

MARR: ASSO @I1748@
TYPE Présent
RELA Frère de l'époux
MARR: ASSO @I1749@
TYPE Présent
RELA Frère de l'époux
MARR: ASSO @I609@
TYPE Présent
RELA Père de l'épouse 
Family F2263
 
2213 BOUCHER Jean Louis et Marie Louise LAREAU (sosa 92, 93)

MARIAGE 30-08-1802 St-Mathias-sur-Richelieu

SOURCE : S.G.C.F. d5p_03760025.JPG 25 ième feuillet 2/2

TRANSCRIPTION

MARGE :



Le trente août de l'an mil huit deux après la publication de trois bans de mariage faite aux prônes de nos messes paroissiales pendant trois dimanches consécutifs le quinze, vingt deux et vingt neuf du présent entre Jean Louis Boucher, majeur âgé de vingt trois ans, cultivateur de la paroisse de St-Luc veuf de Marie Élisabeth Benoît, le certificat de la publication des bans étant resté entre nos mains

Signé par M le curé du lieu d'une part et Marie Louise Larau, majeure, âgée de vingt six ans fille de Joseph Antoine Larau cultivateur de cette paroisse et de Marie Anne Frichet d'autre part ne s'étant découvert aucun empêchement ni opposition au dit mariage nous prêtre soussigné, du consentement des parents, avons reçu leur mutuel consentement de mariage et leur avons donné la bénédiction nuptiale suivant le rite prescrit par notre Mère la Ste Église Catholique, apostolique et Romaine et ce en présence de Michel Boucher père, de Michel et Antoine Laraux frères, de Joseph Larau oncle de l'épouse et de plusieurs autres parents et amis qui ont déclaré ne savoir signé ainsi que les nouveaux époux de ce requis suivant l'ordonnance lecture faite

_ Robitaille prêtre
#Générale#Jean-Louis (vfe Élis. BENOIT m: 23-09-1799 Acadie)
il y a contrat avec Marie-Louise : Le GUAY 23-08-1802

MARR: ASSO @I1585@
TYPE Présent
RELA Père de l'époux
MARR: ASSO @I1750@
TYPE Présent
RELA Frère de l'époux
MARR: ASSO @I1751@
TYPE Présent
RELA Frère de l'époux
MARR: ASSO @I1752@
TYPE Présent
RELA Frère de l'époux
MARR: ASSO @I1586@
TYPE Présent
RELA Père de l'épouse
MARR: ASSO @I1753@
TYPE Présent
RELA Frère de l'épouse
MARR: ASSO @I1754@
TYPE Présent
RELA Frère de l'épouse
MARR: ASSO @I1755@
TYPE Présent
RELA Oncle de l'épouse 
Family F2197
 
2214 BOUCHER, FRANÇOIS, navigateur, marchand et fonctionnaire, né le 10 décembre 1730 à Québec, fils aîné de François Boucher, navigateur, et de Marie-Anne Martel, cabaretière ; le 12 février 1759, il épousa dans la paroisse Saint-Louis (à Saint-Louis-de-l’Isle-aux-Coudres, Québec) Marie-Joseph Tremblay, et ils eurent sept garçons et quatre filles ; décédé le 3 mai 1816 à Québec.

Dès son enfance, François Boucher côtoie le milieu maritime par l’intermédiaire de sa mère qui tient une auberge à proximité du port de Québec. Son père, capitaine sur des bateaux de pêche, lui transmet probablement le goût et les rudiments du métier de navigateur, puisqu’en 1758 François Boucher loue déjà ses services à un armateur comme capitaine en haute mer, à raison de 200# par mois.

Durant les années 1760, Boucher entreprend, en marge de ses occupations de capitaine de navire, une carrière de pilote lamaneur sur le fleuve Saint-Laurent. Il est impossible d’établir précisément la date de son entrée en fonction comme pilote, mais le fait qu’il habite l’île aux Coudres, lieu d’embarquement des pilotes qui conduisent les navires océaniques à Québec, permet de croire qu’il fait partie de la vingtaine d’aspirants qui reçoivent pour la première fois une licence en 1769 et qui sont seuls habilités à piloter ce type de navires. On sait, par ailleurs, qu’il enseigne la navigation à Joseph Bonnet, apprenti pilote de l’île aux Coudres, lequel obtiendra sa licence en 1777, et que son nom figure, le 13 juin 1780, sur la première liste connue de pilotes.

En 1781, l’expérience de Boucher dans le domaine de la navigation intérieure est mise à profit, puisqu’il est choisi par le gouverneur Haldimand pour siéger, avec Peter Napier, Augustin Raby* et Martin Dechinique*, au sein du comité chargé d’examiner les aspirants au titre de pilote lamaneur sur le Saint-Laurent. Quatre ans plus tard, il fait même partie des examinateurs qui décernent une licence de pilote à son fils Pierre.

En 1784, Boucher vend sa propriété de l’île aux Coudres pour la somme de 800# et s’installe à Québec. Durant les années qui suivent, il semble concentrer ses efforts sur le transport et l’échange de marchandises. Ainsi, de 1792 à 1797, il fait soit l’acquisition ou la location de goélettes afin d’effectuer le commerce de la farine et de divers produits. Ses transactions le conduisent sur les deux rives du Saint-Laurent et parfois dans des endroits plus éloignés comme la baie des Chaleurs et Halifax. Pour assurer la croissance de ses affaires, il s’associe avec son fils, Louis-Michel, et ensemble ils établissent un magasin, à Québec, un autre à Saint-Thomas-de-la-Pointe-à-la-Caille (Montmagny) et un troisième à Kamouraska, puis une distillerie à Saint-Roch-des-Aulnets (Saint-Roch-des-Aulnaies). Le 17 octobre 1799, la société cesse son activité à la suite de certaines difficultés financières attribuables notamment au naufrage d’un de ses navires ; elle doit alors une somme de £5 318, dont £3 700 à la George Davison and Company de Londres. Ne pouvant faire honneur à leurs échéances, les deux commerçants doivent abandonner certains de leurs biens meubles et immeubles à John Blackwood, mandataire des créanciers. Cette faillite semble avoir emporté les propriétés de François Boucher à Québec, puisqu’en 1800 il devient locataire d’une maison en pierre de deux étages pour £25 par année et que, six ans plus tard, il en loue une autre, beaucoup plus grande, de Jean-Baptiste Le Comte Dupré moyennant £90 par année.

Le 12 août 1803, sir Robert Shore Milnes*, lieutenant-gouverneur du Bas-Canada, accorde à Boucher l’important poste de capitaine du port de Québec, afin de remplacer James Frost décédé le 18 juin précédent. Devant la complexité des tâches visant à assurer le bon fonctionnement et l’amélioration de la navigation sur le Saint-Laurent, le gouvernement du Bas-Canada institue, en 1805, la Maison de la Trinité de Québec, selon le modèle anglais des trinity houses fondées en 1514 et ayant atteint au début du xixe siècle un haut niveau de respectabilité dans le domaine maritime. Boucher est reconduit dans ses fonctions à l’intérieur de cet organisme sous le nouveau titre de maître du havre. En plus de ce poste, la Maison de la Trinité comprend un maître, un maître adjoint, un surintendant des pilotes, de même que cinq gardiens ou syndics choisis parmi les marchands de Québec et de Montréal. Ceux-ci doivent veiller notamment au mouillage des bâtiments, à la construction des quais et des phares, ainsi qu’au curage de la voie maritime ; ils peuvent édicter en outre des règlements concernant la sécurité navale et recommander l’admission de pilotes.

L’augmentation soudaine du trafic dans le port de Québec en 1810, comme en témoignent les 600 navires arrivés cette année-là, incite François Boucher à réclamer les services d’un assistant afin de s’acquitter plus efficacement de ses tâches. Le 18 mai 1811, le lieutenant-gouverneur Francis Nathaniel Burton* accepte sa demande et autorise la Maison de la Trinité à embaucher un assistant au maître du havre. Néanmoins, le 30 mai suivant, Boucher démissionne de ses fonctions. En raison de ses longues années de service, il recevra une pension annuelle de £150 et demeurera membre honoraire de la Maison de la Trinité. John Lambly, également navigateur chevronné, prendra immédiatement la succession au poste de maître du havre.

Roch Lauzier

ANQ-Q, CN1-178, 29 janv. 1806 ; CN1-207, 6 oct. 1758, 2 mars 1759 ; CN 1–256, 11 sept., 29 oct. 1792, 9 juin 1795 ; CN1-262, 17 oct. 1799.— Arch. du port de Québec (Québec), Corr., Paul Boucher à Louis Beaudry, 8 févr. 1943 ; Maison de la Trinité de Québec, Lettres patentes, 6 mai 1805 ; Procès-verbaux, I : 541 ; II : 42, 47s.— BL, Add. {{mss }}21805 : 14 ; 21879 : 248 ; 21882 : 44 (copies aux APC).— B.-C., Statuts, 1805, c.12.— « Les dénombrements de Québec » (Plessis), ANQ Rapport, 1948–1949 : 32, 82, 131, 185.— « Ordonnances édictées pour la province de Québec par le gouverneur et le conseil de celle-ci, de 1768 à 1791 [...] », APC Rapport, 1914–1915 : 11–14.— Québec, Conseil législatif, Ordonnances, 1768, c.5.— Le recensement de Québec, en 1744 », ANQ Rapport, 1939–1940 : 122.— « Le recensement du gouvernement de Québec en 1762 », ANQ Rapport, 1925–1926 : 141.— La Gazette de Québec, 31 oct. 1799, 23 juin, 25 août 1803, 16 mai 1805, 6 juin 1811, 20 juin 1816.— P.-G. Roy, Inventaire des jugements et délibérations du Conseil supérieur de la Nouvelle-France, de 1717 à 1760 (7 vol., Beauceville, Québec, 1932–1935), 3 : 197.— Tanguay, Dictionnaire, 2 : 379, 387.— « Le pilotage sur le Saint-Laurent », BRH, 19 (1913) : 117.

Bibliographie générale

© 1983–2015 Université Laval/University of Toronto

http://www.biographi.ca/fr/bio/boucher_francois_5F.html

 
Boucher Bouchard François (I11986)
 
2215 BOUCHER, Louis-Marie
1925 - 2018
Le 15 novembre 2018, est décédé au CIUSSS du Saguenay-Lac-St-Jean, Centre d'hébergement de la Colline à l’âge de 93 ans, M. Louis-Marie Boucher, époux de Mme Marie-Josèphe Potvin, demeurant à Chicoutimi. Il était le fils de feu Mme Yvonne Gauthier et de feu M. Oscar Boucher.

La famille accueillera les parents et ami(e)s le :

lundi 19 novembre 2018, de 10 h à 13 h 45 au :

Complexe funéraire Ste-Claire,

Alliance funéraire du Royaume

345, rue St-Armand, Chicoutimi.

Les funérailles auront lieu le lundi 19 novembre 2018 à 14 h à l'Église Sainte-Anne. Il a été incinéré au crématorium de l'Alliance funéraire du Royaume et les cendres seront déposées au columbarium Ste-Claire.

Il laisse dans le deuil son épouse Mme Marie-Josèphe Potvin.

Il était le père de : Luc Boucher (Lucie Tremblay), Louise (Henri Pedneault), Jeanne, Sylvie (Bernard Boudreault), Jules (Isabelle St-Gelais), Camille (Bruno Perron), Dominic (Nathalie Tremblay) et feu Richard.

Il était le grand-père : Nathalie (Benoit Harvey), Olivier (Marilyn Boivin), Marie-Hélène, Alexandre (Fanny Cayer) et Mathieu.

Il était l'arrière-grand-père de : Laurence, Élizabeth, Vincent et Jérôme.

Il était le frère de: feu Charles-Aimé Boucher(feu Pierrette Aubin), feu Pâquerette (feu Roland Gauthier), feu Camille (feu Yvan Boulianne), feu Rosaire, Claudette Tremblay (feu Marcel Potvin)

Il laisse également dans le deuil les membres de la famille Potvin, de nombreux neveux et nièces, parents et ami (e)s.

La famille tient à remercier le personnel du CHSLD de la Colline pour les bons soins prodigués à M. Boucher.

Pour les personnes désireuses d’offrir des dons, une personne bénévole de la Fondation de ma vie sera présente au salon afin de les recueillir.

https://www.afdr.coop/avis-de-deces/louis-marie-boucher-161419/

 
Boucher Louis-Marie (I14891)
 
2216 BOURGEOIS, JACQUES (Jacob), chirurgien, colonisateur, fondateur de Beaubassin, né entre 1618 et 1621 en France, probablement à Couperans-en-Brie (Seine-et-Marne), décédé à Port-Royal (Annapolis Royal, N.-É.) en 1701 ; souche de la famille Bourgeois en Acadie.

Avant de quitter la France, Bourgeois s'était engagé dans la profession médicale. Il vint à Port-Royal en 1642 avec 18 familles que le gouverneur Menou d'Aulnay emmena lors d'un de ses voyages. Son père, prénommé Jacques lui aussi, l'accompagnait. Il était officier militaire à Port-Royal, et le beau-frère de Germain Doucet, sieur de La Verdure, l'assistant d'Aulnay. En 1654, Sedgwick s'emparait de Port-Royal et, comme aux termes de la capitulation les militaires devaient être rapatriés, Jacques Bourgeois l'aîné retourna en France alors que son fils demeura en Acadie où il devint l'ancêtre d'une nombreuse descendance. En 1643, Bourgeois avait épousé Jeanne Trahan, fille de Guillaume, née en France en 1631 ; ils eurent dix enfants, sept filles et trois garçons.

À Port-Royal, Jacques Bourgeois se fit cultivateur et constructeur de navires. Il commercait avec les Bostoniens, notamment avec John Nelson et William Phips ; il apprit leur langue et devint ainsi l'interprète des Français auprès des Anglais. En 1672, il vendit une partie de ses terres à Port-Royal pour s'établir avec ses fils Charles et Germain et avec deux de ses gendres au bassin de Chignectou (Chignecto), devenant le premier promoteur de la colonisation en cette région ; il y construisit un moulin à farine et un moulin à scie. Quelques années plus tard, en 1676, la région fut érigée en seigneurie, dont le titulaire était Michel Leneuf de La Vallière père, gentilhomme natif de Trois-Rivières ; le nouveau fief, d'une superficie de 100 lieues carrées, fut baptisé Beaubassin. Comme La Vallière fit venir du Canada des colons et des engagés, deux établissements distincts voisinaient à Beaubassin ; mais une clause du titre de concession protégeait les intérêts de Jacques Bourgeois et des autres colons acadiens établis sur le domaine ; les deux éléments de la population ne tardèrent pas à se fondre.

La région de Chignectou offrait à Jacques Bourgeois et à la colonie entière ses marais fertiles, ses hautes terres propres à la culture. Le portage de Shédiac représentait un relais important dans les communications maritimes entre l'Acadie et le Canada et une position stratégique dominant l'isthme et la baie Française (baie de Fundy). À l'heure de la dispersion, Beaubassin était devenu l'un des postes les plus prospères de l'Acadie.

Le distingué chirurgien était de nouveau établi à Port-Royal avant 1699 ; il y mourut octogénaire en 1701. Le nom patronymique fut perpétué par deux des trois fils : Charles, né en 1646, qui épousa Anne Dugas en 1668, et Germain, né vers 1650, qui épousa en premières noces Marguerite Belliveau en 1673 et en secondes noces Madeleine Dugas en 1682 ; Guillaume ne laissa qu'une seule fille.

Clément Cormier



Source
AN, Col., C11D, 3, f.191
Coll. de manuscrits relatifs à la N.-F., I : 149
Recensement de l'Acadie, 1686 (BRH)
Placide Gaudet, Acadian genealogy and notes, RAC, 1905, II, part. iii, Append. A : I ; Notes généalogiques (conservées aux APC et aux archives de l'université de Moncton) ; Évangéline (Moncton), 5 févr. et 10 déc. 1942
Bona Arsenault, Histoire et généalogie des Acadiens (2 vol., Québec, 1965), 61 63, 361
Rameau de Saint-Père, Une colonie féodale, I : 167-169, 171-172, 175 ; II : 335.
© 2000 University of Toronto/Université Laval

Source document :
Dictionnaire biographique du Canada en ligne, Bibliothèque nationale du Canada et archives nationales du Canada


Tiré de http://cyberacadie.com/index.php?/acadie_hier_biographie/Jacques-Bourgeois.html

______________________________________________________________________
 
Bourgeois Jacques (I9)
 
2217 C'est à l'église Notre-Dame de Québec, comme confirmé par Mgr de Laval, qu'apparaît officiellement pour la première fois en Nouvelle-France, le 3 juin 1664, Louis Lamoureux.

Le 2 janvier 1666, Louis Lamoureux obtient une concession de terre, 2 arpents, 3 perches et 6 pieds de front, dans la seigneurie Notre-Dame-des-Anges, plus précisément dans l'arrière-fief Grand-Pré-de-la-Redoute, près de Québec.

Au recensement de 1667, Louis Lamoureux a 27 ans, vit sur sa concession, à Charlesbourg, comme habitant, où il possède deux arpents de terre en culture.

Au recensement de 1681, la famille Lamoureux demeure à la seigneurie du Tremblay à Boucherville, Louis a alors 34 ans et Françoise, 28 ans.

L'une des acquisitions les plus intéressantes de Louis est datée du 8 octobre 1686. On y voit Pierre Boucher, seigneur de Boucherville, agissant pour le compte de son gendre, René Gauthier de Varennes, dans l'octroi d'une "île située au milieu des îles percées, appelée Sainte-Marguerite", maintenant l'île Charron, d'une superficie de 400 arpents carrés.

À soixante ans, à l'automne 1700, Louis quitte les îles percées pour l'île-Jésus, où il obtient 80 arpents de terre, dans la paroisse Saint-François.

L'ancêtre Louis Lamoureux décède en février 1715, ses funérailles ont lieu le 25, dans l'église de St-François de l'île-Jésus.

L'aïeule, Françoise Boivin décède le 13 avril 1717, sa sépulture a lieu deux jours plus tard, dans l'église paroissiale de Sainte-Famille, à Boucherville. 
Lamoureux Louis (I10771)
 
2218 C.D.: Rimouski > Cathédrale St-Germain > 1823 > 14 -- Baptisé le 2 août 1823 à la Cathédrale St-Germain de Rimouski -- Parrain, Louis Dutremble, marraine, Ursule Chouinard Tardif Joseph (I9176)
 
2219 Ça pourrait être Lisbon NY ou Maine
http://en.wikipedia.org/wiki/Lisbon_(disambiguation) 
Tardif Nazaire (I9184)
 
2220 CANTI Jean-Baptiste et Apoline SAVARIAT (sosa 34 et 35)

MARIAGE : 13-02-1849 St-Anne-de-Varennes, Varennes

SOURCE : S.G.C.F d5p_11081154. JPG 6 ième feuillet

TRANSCRIPTION :

MARGE : M___ Jean Baptiste Canti et Apolline Savariat


Le treize février dix huit cent quarante neuf après
la publication de trois bans de mariage faite aux prô-
nes de nos messes paroissiales entre Jean-Baptiste

Canti cultivateur _______ _______ ______ fils
majeur de feu Jean-Baptiste Canti et de feu Des -
Anges Dussault dune part et Apolline Savariat
Aussi de _____ de cette paroisse, fille majeure de
Jean-Baptiste Savariat menuisier et de Rosalie Mes-
sier dautre part ne sétant découvert aucun empê-
chement , nous prêtre vicaire soussigné avons reçu
leurs mutuel consentement de mariage et leur avons
donné la bénédiction nuptiale en présence de ____
_____ ____ Canti ?r de lépoux , Jean
Baptiste Savariat père de lépouse , Michel Sava-
riat frère de lépouse et autres qui ___ ____
____nont su signer
J_____
_ _______ Prêtre


En 1872, Jean Baptiste est de la paroisse de St-Bruno et Apoline est décédée 
Family F1904
 
2221 CANTY Jean-Baptiste et LARRIVÉE Marianne (sosa 136 et 137)

Mariage 15-01-1770 à St-Charles-sur-Richelieu

SOURCES : S.G.C.F. (d5p_03640723JPG, 9/47, 1/1)

Transcription

Lan mil sept cens soixante dix le quinze janvier après
La publication de trois bans de mariage faite au prône
De la messe paroissiale pendant trois dimanches consécutif entre
B :Canty fils de Paul Canti et de Josèph Duclaus les pères et
Mère de cette paroisse dune part et de Marianne Larrivé
Fille de Pierre Larrivé et de Suzanne Trotier les père et mère
De cette paroisse dautre part __ ___ trouver aucun
Empêchement a leur futur mariage je soussigné certifié
Avoir reçu leur mutuel consentement de mariage et leur
Ai donné la bénédiction nuptiale selon les cérémonies prescrites
Par la ste église notre mère en présence de Paul Canty,
Nicolas Sené, ___ Sené, Pierre Landreville , Pierre Larrivé
Louis Lapointe,et plusieurs qui ont déclarent ne savoir
Signé de requis ___ __, ici signé
La ______ prêtre

Ils étaient décédés en 1815 lors du mariage de leur fils Jean Baptiste, auparavent vivaient à St-Hilaire 
Family F2190
 
2222 Carte mortuaire d'Alice Dubé Dubé Alice (I183)
 
2223 Carte mortuaire de Dansereau Gérard (I60)
 
2224 Carte mortuaire de Adélard St-Amour St-Amour Adélard (I5956)
 
2225 Carte mortuaire de Cécile Maximilienne Lachapelle Lachapelle Cécile Maximilienne (I2443)
 
2226 Catherine avait une vie assez mouvementée. Assez curieux sont les morts accidentels de ses conjoints.

Le premier, Pierre Vilain, se fait tuer par un arbre peu après le mariage, de même son deuxième époux Jean Simon qui se noye à son tour.

Puis elle marie Nicolas Millet qui brûle accidentellement dans sa maison. Finalement elle marie Pierre Desautels.

Catherine, contrairement à ses malheureux époux, atteint l'âge respectable de 84 ans.

Au Recensement 1681 elle avait 45 ans

(ct 21 Basset avec Pierre Desautels)

(ct 27-09 Closse avec Pierre Vilain)

(ct 18 Closse avec Jean Simon)

(ct 01-01 Saint-Père, Auger 53 avec Nicolas Millet)

http://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pierre_Desautels&pid=11679&lng=fr&partID=11686

 
Lorion Catherine (I10699)
 
2227 Cause de sa mort était la diphtérie. Dans ce temps-là, il n’y avait pas de vaccin comme nous Laberge Marie Yvonne Valentine (I8550)
 
2228 Céligne était décédée au Marraiage de M. Louise à Camille Bourgeois Dupuis Céligne (I392)
 
2229 Ce mariage est annulé pour cause de bigamie de Pierre. Il est encore marié à Judith Soubiron. Family F3914
 
2230 Ce recensement donne le nom de famille BROT Family F234
 
2231 Célibataire - Infirmière.
En 1952 Anna Laberge a publié La Généalogie de la famille Laberge -Édition privé, un travail colossal.
Les données sur ce site concernant les Laberge proviennent de ce manuscrit, dont j'ai le privilège de posséder un exemplaire.
Son nom fut donné au Centre Hospitalier Anna-Laberge

http://genealogie.no-ip.ca/Laberge/nms_20.html#0I796 
Laberge Marie Anne (I10718)
 
2232 Cet acte de mariage donne le nom de famille de "Charest" à l'époux. On sait cependant que c'est le père d'Eugénie à cause du second acte de mariage à Julie Marion dans lequel son nom de famille est noté "Charette" Family F2777
 
2233 Cet acte de mariage nous informe que Louis est veuf majeur de Marie Magdeleine Proux Family F5738
 
2234 Cet acte de mariage peut porter à confusion: le marié Achille est inscrit Charles alors qu'il est inscrit Achille tout court sur tous les autres actes de naissance, décès ou mariage de ses enfants à l'exception de son second fils où il est à nouveau inscrit Charles. Son père est inscrit Jean Baptiste alors qu'il est inscrit Jean Prime ou Prime sur tous les autres actes connus. Sa mère est inscrite Atholine alors que l'on voit la graphie Nathalie à son propre mariage, et Athaline, Atholine, ou Apolline aux mariages des frères et soeur d'Achille. Achille (Charles) était journalier, cultivateur. (Paul Carpentier)
 
Family F5576
 
2235 Cette base de données est un index de tous les noms recensés lors du recensement canadien de 1881, le deuxième recensement du Canada depuis la confédération en 1867. De plus, les noms des personnes inscrites dans les questionnaires de la population sont liés à des images réelles du recensement de 1881 (images des bobines de microfilm C-13162 à C-13286 de la Bibliothèque et Archives Canada). Source (S230)
 
2236 Charles et Catherine sont dits être de la paroisse de Poiré, évêché de Luçon, France Family F3094
 
2237 Charles Granger, Elodie Mercier son épouse Bourgeois Elizabeth M. (I257)
 
2238 Charles Pouliot est né le 8 avril 1628 et est baptisé le lendemain à la paroisse de Saint-Cosme-de-Vair (aujourd'hui rattachée à la commune de Saint-Cosme-en-Vairais), département de la Sarthe). Il est le fils de Jean Pouliot, charpentier, et de Jeanne Josse.

Charles Pouliot arrive à Québec en 1653 ou avant car on signale sa présence à Sainte-Anne-de-Beaupré, chez son futur beau-père, le bêcheur Mathurin Meunier marié à Françoise Fafart, premiers blancs à contracter mariage à Montréal le 3 novembre 1647.

La future épouse, Françoise Meunier, est née le 13 septembre 1653, à Sainte-Anne-de-Beaupré, baptisée au logis de ses parents, le 17 du même mois.

Charles Pouliot signe son contrat de mariage le jour même de la cérémonie du mariage qui a lieu le 5 juin 1667. Françoise n’est âgée que de 13 ans alors que Charles Pouliot, maître charpentier, a 39 ans.

C’est Charles Pouliot qui construit le premier moulin à farine de l’île d’Orléans. En 1668, c’est Mgr François de Laval qui fait appel à ses services pour réparer la charpente d’un autre moulin banal de l’île.

Charles Pouliot et Françoise Meunier auront onze enfants de 1668 à 1686. Au recensement de 1681, ils sont établis sur la paroisse de Saint-Laurent, dans l’île d’Orléans. Ils cultivent six arpents et possèdent cinq bêtes à cornes. Charles fait vivre sa famille surtout de son métier de charpentier. Il travaille même à la réparation de la cathédrale de Mgr de Laval.

Charles est inhumé le 6 août 1699 au cimetière de Saint-Laurent. Françoise Meunier convole en secondes noces, avec Jean-Paul Maheu, le 30 septembre 1700. Elle décède le 18 janvier 1703 et est inhumée le lendemain à Saint-Laurent.

http://www.perche-quebec.com/files/perche/individus/charles_pouliot.htm

26 novembre 2012 
Pouliot Charles (I8681)
 
2239 Charles Pruneau et Marie Lepage sont de L'Ile-aux-Grues Family F1371
 
2240 Charlotte est dite Malo à son mariage mais Ayet aux baptêmes des enfants Malo Charlotte (I7856)
 
2241 CHARRIER Louise
100 livres de dot.
Fille de feu François et de feue Catherine Jannode, de Ste-Gemme-la-Plaine, 85400; Vendée; Poitou-Charentes.

1 mariage:
BARET Guillaume
Fils de Guillaume et Thiphaine Carrey de Beuzeville-en-Caux, ( maintenant Beuzeville) 27210; Eure ; Haute Normandie.
né le 03/04/1633, décédé le 21/07/1717(habitant)
Contrat de mariage le 10/11/1663 (Ameau)
Mariage le 19/11/1663 à Trois Rivières Qc
Ménage établi à Cap de la Madeleine, 9 enfants.

http://www.migrations.fr/700fillesroy.htm#P
 
Charrier Louise (I9646)
 
2242 chercher l'acte à la société, pas trouver sur ancestry

#Générale# ont eu 16 enfants, Jn-B-Marie est le 14ième

remariée en 1721 à Alexandre PETIT 
Family F2138
 
2243 CHR: ASSO @I3839@
TYPE Marraine
CHR: ASSO @I3840@
TYPE Parrain 
Jodoin Jacques (I5088)
 
2244 Cimetière de Grande-Digue Source (S30)
 
2245 Cinquante-huit Patriotes furent déportés en Australie le 27 septembre 1839. Toutes leurs propriétés furent saisies aussitôt et mises en vente. En 1842, par l'entremise du journal La Minerve, M. Édouard-Raymond Fabre met sur pieds une vaste campagne de levée de fonds qui servira à rapatrier les 58 exilés. Tous les journaux du Québec de l'époque s'associaient au journal La Minerve pour cette grande oeuvre. En décembre 1843, il fonde l'Association de la Délivrance, pour venir en aide aux exilés politiques en leurs procurant les moyens de revenir dans leur patrie. M. Fabre se dévoua pendant cinq ans à cette cause. L'Association fut dissoute en juillet 1848, après le retour des derniers Patriotes exilés

http://pages.infinit.net/nh1837/pricon/lcomplet/frprcolc.htm

 
Laberge Jean (I4181)
 
2246 Claude Bourgeois, le second fils de Germain Bourgeois et de Madeleine Dugas, est né vers 1695. Il s'est marié, à Port-Royal, le 24 novembre 1721, à Marie LeBlanc, fille de Pierre LeBlanc et de Madeleine Bourque. En 1755, Claude et Marie ont été transportés de Port-Royal au Massachusetts, avec la plupart de leurs enfants. Cependant, leur fils aîné, Pierre-Benjamin, né à Port-Royal, le 16 mai 1726, n'a pas été déporté. Il avait épousé, en premières noces, vers 1754, Cécile Aucoin, fille de René Aucoin et de Madeleine Bourque, et il était allé s'installer avec elle en Acadie française. La seconde épouse de Pierre-Benjamin était Anne LeBlanc, fille de René LeBlanc et d'Anne Thériault, et veuve de Jean-Grégoire Broussard dit Beausoleil. Vers 1771, Pierre-Benjamin se remaria pour la troisième fois à Anne Thébeau, fille de Jacques-François Thébeau et d'Anne Melanson. Après avoir vécu à Pisiguit et à Memramcook, Pierre-Benjamin est allé finir ses jours à Grande-Digue, où il s'est éteint le 24 novembre 1821.Stephen White

___________________________________________________

Sa famille est recensée à Amesbury (MA) en 1759:

Clode BAUSWAY(BOURGEOIS) - age 64
Mary his wife - 51 weakly
Charles BAUSWAY - 25
Abab BAUSWAY - 22
Jeremy - 10 weakly
Margaret - 19
Addla - 17

______________________________________________________

Pétition de Claude Bourgeois au gouvernement du Massachusets:



D'après l'âge des filles, il s'agirait possiblement d'une des jumelles, Élizabeth ou Anasthasie, nées en décembre 1730 et de Gertrude née en mai 1739.
Source: GAUDET, Placide. Généalogie des familles acadiennes , Rapport des archives canadiennes, vol. 2, 1905, Ottawa, C. H. Parmelee, 1909, 438 p. p161 
Bourgeois Claude (I5)
 
2247 Claude et Rose sont de Rougeries diocèse de Laon, maintenant diocèse de Soissons Family F4235
 
2248 Clement Leriger, Sieur de La Plante (son of Paul Leriget, Sieur de La Plante and Mauricette du Souchet)23 was born 1662 in Chezchadit, France, and died December 05, 1742 in Laprairie, Quebec, Canada. He married Marie Marguerite Roy on September 08, 1700 in Laprairie, Quebec, Canada, daughter of Pierre Roy and Catherine Ducharme.

Notes for Clement Leriger, Sieur de La Plante:
1. Parent, Roger D., de la Société Historique de Montréal. CLÉMENT LERIGÉ, Sieur de LA PLANTE, OFFICIER DES TROUPES DE LA MARINE: Ancêtre des familles Leriger, Dériger, de La Plante, La Plante et Laplante-Courville: SON ORIGINE ET SA FAMILLE EN FRANCE. Montréal: Imprimerie Arsene Gagne, 1912.


THE FIRST OF THE NAME IN CANADA.

Clément Lerigé, Sieur de La Plante, the Canadian ancestor of the families Leriger, Dériger, de La Plante, La Plante and Laplante-Courville arrived in the country [Québec] in 1685 (1) with Monsieur de Denonville, in his capacity as cadet with shoulder lanyard in the naval troops [troupes de la marine]. These troops were called this because in the colonies they came under the Minister of the Navy. (2)



In the days following the massacre at Lachine on the morning of the 6th of August 1689. La Plante found himself at Fort Rémy near the old church.

Monsieur de Vaudreuil, entrenched at Fort Roland near the quay of Lachine, gave the order to the garrison at Fort Rémy to join him. As these troops marched down the main road the Iroquois surprised them. Nearly all of the savages who took part were killed. Lieutenant La Rabeyre, La Plante and Villedonné were taken prisoner. The future baron of Longueuil, having broken his leg, escaped on his own thanks to some friendly savages who let him lean on their shoulders. (3)

The unfortunate captives, transported beyond Lake St-Louis, suffered all the rage of the cruel victors. Many of them suffered torture and were burned. The others were carried to Onnontagué (4) "where they were made to walk for a long time on a bed of burning coals." (5)

However, La Plante and Villedonné were spared. The enemy judged them more useful alive than sacrificed; the two young officers became slaves--servants and porters in the combat expeditions of the Indians. (6)

For the ancestor this servitude lasted more than two years. Of necessity he adapted himself to this new life and familiarized himself with the Indian language. (7)

A French party commanded by Monsieur de Beaucourt freed him in an attack on the Iroquois near the island of Tonihata in February 1692.

Charlevoix who reported the incident (9) wrote that "not having been recognized at first sight in his Indian clothes, (La Plante) was thought to have been killed as an Iroquois."

The same year Frontenac made him an infantry ensign. This nomination was confirmed by Louis XIV in an order dated the 1st of March 1693. (10)

On 25 July 1700 Clément Lerigé, in garrison at the fort at St-Lambert, acquired 150 arpents of land from Pierre Bourdeau in an area situated in the locality of "La Tortue" [The Tortoise] in the seigneury of la Prairie de la Magdeleine (11).

From then on he dreamed of settling down, because a few weeks later, on 8 September (1700) La Plante married Marie Roy, daughter of Pierre Roy and Catherine Ducharme, landowners at St-Lambert. The simple and discreet ceremony--we recall that the king's orders forbade officers from marrying a young lady without a dowry--took place in the chapel of la Ste-Vierge [the Holy Virgin] at St-Lambert.

Here is the entire document [it is not translated exactly as written and punctuation has been added because of its use of old French and other peculiarities]:

"On 8 September 1700, I the undersigned Louis de Lafaye, parish priest of St-François-Xavier at La Prairie de la Madeleine, certify that after having had from Monsieur Dolier, Grand-Vicar of the diocese [grand vicaire de monseigneur] the dispensation from all written banns of marriage, gave the blessing of marriage to Clément Leriger, officer of a detachment of the navy, otherwise known as La Plante, and to Marie Roy in the chapel of Ste-Vierge at St-Lambert, in the presence of Pierre Roy, landowner [habitant] of St-Lambert, André Babeu and Claude Chartier who have declared that they could not sign their names. The aforesaid Clément Leriger has signed his name on a copy, not having the register, which I affirm to be true, in faith of which I have signed this day 9 September of the present year 1700."

"Louis Delafaye." (12)

Marie Roy was only 19 at the time of the marriage: the husband moving into his thirties.

When the military authorities got wind of the affair, they informed Versailles.

The king cashiered La Plante but restored him in grade a short time later (13). (1702-1703)

During the following years the ancestor, living at Laprairie, raising there his large family.

It was not until 1720 that he was promoted to lieutenant.

Clément Lerigé received three concessions of land from the Jesuits, seigneurial lords of La Prairie de la Magdeleine. The first, on 4 February 1714, of an area of 60 arpents (16); the last and the more important, on 29 March 1727, of an area of about 250 arpents (17).

One sees the presence of the officer in several civil documents in Canada, whether he would appear as godfather or witness. Thus on 20 April 1705 at Laprairie, we see him at the marriage of his brother-in-law, Pierre Roy, with Angélique Faye. And at the marriage of René Bourassa with Agnès Gagné on 23 October 1710 at Laprairie (18). Etc.

He knew the joy of holding at the baptismal font his grandson, René-Clément, child of Catherine, and his granddaughter, Elizabeth, child of Pierre. The ancestor will also be the godfather of numerous children of the colonists, sometimes giving them his name: Clément Lafontaine, son of Jean and Madeleine Roay, baptised on 30 August 1711; Clément Hardy, son of Michel and Judith Laverdure on 15 May 1723. Etc.

After more than fifty years passed in the service of his king and for the glory of France in this distant colony, the first Leriger in Canada gently passed away in the peace of the Lord in December 1742. Surrounded by children of his children, in this immense and rich country of America, he could only see a future filled with promises. This venerable patriarch bequeathed to his descendants a heritage of Faith, of honor and of culture.

"On 7 December 1742 I the undersigned priest buried in the cemetery of this parish the body of Clement Lerigé, écuyer, Sieur de la Plante, former Lieutenant of troops [who] died two days previously at the age of about eighty in communion with our Holy Mother Church and fortified [muni] with the sacraments; in the presence of Etienne Bariteau and André Banlier who declared that they could not sign their names to this inquiry [de ce enquis]."

Jacques Desligneris Priest". (19)

The companion of his life, Marie Roy, lived on for numerous years. She was buried on 2 January 1758 at Laprairie, age also 80 years.


NOTES AND DOCUMENTARY SOURCES

1. A letter from the governor de Callières to the Minister (4 November 1702) reveals that La Plante has been in the country 17 years.

2. Le Jeune: DICTIONNAIRE GENERAL DU CANADA. vol. II, p. 242.

3. "Collection of what has happened in Canada on the subject of the war , as it pertains to the English and the Iroquois, since the year 1682". Published by la Société Historique et Littéraire de Québec, 1871, pp. 24 and 25. The author would be Gédéon de Catalogne, according to Mgr. Tanguay.

4. Country of the Iroquois situated in the state of New-York, south of Lake Ontario.

5. Father de Belmont (HISTOIRE DU CANADA). Manuscript conserved at the Biblioteque du Roi in Paris. Published by la Société Historique et Littéraire de Québec, 1st series 1838-40-43-61. See also La HONTAN, vol. I, p. 193.

6. La Plante was "enseigne réformé" since 1688. The notes of M. J.-B. René Laplante, present Clerk of the House of Commons in Ottawa, appeared in an article of Monsieur E.-Z. Massicotte, in B. R. H., 1927, pp. 729ff, and served as a point of departure for our work on the family Leriger.

7. "...where they (La Plante and de la Chauvignerie) learned the language so as not to need too much interpretation...[on ne scaurait avoir trop d'interprettes...]" Letter of the governor de Callières to the minister, 4 November 1702.

8. Between Brockville and Kingston, according to Monsieur E.-Z. Massicotte. B. R. H., 1927, p. 730.

9. CHARLEVOIX, vol. II, p. 112.

10. Archives of Ottawa. Colonies B, vol. 16, p. 16 v.

11. Office Antoine Adhémar.

12. REGISTRE DE LAPRAIRIE, 1700. According to a certified copy preserved in the Judicial Archives of Montréal.

13. Archives of Ottawa. Colonies F-3, vol 8, tome 3, p. 299 (COPY). Collection Moreau de St-Méry.
Archives of the Colonies. Vol 222, Alphabet Laffilard, p. 271. OTTAWA.

14. Archives of Ottawa. Colonies B, vol. 42, p. 432.

15. Office Barette.

16. Office Le Pallieur.

17. Office Barette. Our thanks to Monsieur Jean-Jacques Lefebvre for having informed us about this important document. We are also grateful to him for some directives he gave us and the help he provided in our research in the bureau des Archives judiciaires de Montréal.

18. René Bourassa will marry a second time, some twelve years later, Catherine, daughter of Clément Lerigé.

19. REGISTRE DE LAPRAIRIE, 1742.

20. Annuaire Général du Clergé de France, 1938.

21. Imprimerie F. Dubois at Ruffec (Charente).

22. This copy is now in the Bibliothèque Municipale in the city of Montréal.

23. The Rev. Father Archange Godbout was not able to locate the baptismal document of Clément Lerigé in the course of his research in France. Numerous gaps exist all the time in the records of this region.

24. REGISTRE DE LAPRAIRIE, 1706.

25. Godfather of Marie-Louise, daughter of his brother Pierre and Marie-Louise Lacroix, on 4 September 1729, he is named "Gilbert Courville (deformation of Gourville) Sr. de la Plante".

26. "Louis Gourville de Laplante, écuyer" a the burial on 9 March 1802 at Laprairie.

27. "St-Michel--Gourville". Tanguay, Vol. IV, p. 491.

28. B. R. H., 1940, pp. 227-228.

29. Ibid.

30. "Dernon" in the marriage contract on 12 February 1752 before Jean-Baptiste Adhémar. His son was also named Dernon and "de Renom"; his document of burial on 3 October 1833 at Laprairie, called him "Joseph Leriger de La Plante dit De renom".
On Michel Du Pont, Sieur de Renom and St-Pierre, see B. R. H., 1940, p. 236.


http://familytreemaker.genealogy.com/users/l/a/p/Marilyn-J-Laplante/WEBSITE-0001/UHP-0288.html

 
Lérigé de La Plante Clément (I10262)
 
2249 Communications privées via le groupe YAHOO Acadian Roots Club Source (S63)
 
2250 Connue sous le nom de Alys Robi, chanteuse populaire Robitaille Alice (I11174)
 

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